Lors d’une promenade Linkhan rencontra un étranger il se disais être le prince d’une de ces petite planète je m’approchais de lui et lui fit un coup de poing qui le frôlait il s’énervait le soit disant prince se transforma en super guerrier de niveau 1.
L’homme : Prosterne toi tu est devant le guerrier légendaire.
Linkhan : Fais éclater ta puissance.
L’homme : D’accords mais fait le toi aussi YAHA.
Linkhan : Ok.
Nous faisions éclater notre puissance j’égalisais avec lui furieux il passait au niveaux 2 et moi au un notre puissance égalait a nouveau je passais au niveau 2 aussi. J’étais au dessus de lui en niveau puissance. Il n’avait pas vu mon coup dans son torse je me déplaçais dans son dos comme une ombre. Je lui plantais Excalibur dans le bras et je lui lançais un Kaméhaméha. Il se transformait en gorille géant notre puissance était égale. Je savais éperdument que je devais passer le stade 3 pour le tuer ou au moins le battre. Je fonçais vers lui et je me déplaçais dans son dos très rapidement j’activais l’Omnitrix et pris une sorte de nouveau monstre qui ressemblait a une momie. Je lançais un coup de poing mon bras s’allongeait grâce au bandage. Je me transformais en Inferno maintenant je lui lançais des boule de feu de 1500 degré. Je me transformais en duplico je me séparais en deux et en quatre deux de nous se transformais en momie et les deux autre en Inferno nous lancions des boule de feu très chaude et des boule de feu jaune avec des hiéroglyphe dedans. Il brûlait il allait connaître la puissance du Kaméhaméha quadruplé une technique très puissante mais je sentais ma puissance décuplé d’un coup je pensais a mon père j’avais enfin le stade 3 j’augmentais ma puissance au max et je riait en repensant a tout sa a chaque nouvel alliene un nouveau stade du super sayan. Je mis toute ma puissance dedans et la chaleur provoquait un nouveau soleil tout du moins la protection du soleil. Je m’en allais avec mes clones et nous nous retransformions en duplico nous réabsorbant pour laisser paraître l’originale. Je me tournais vers le ciel et je m’envolais.
A noter