Premier jour de l'année [fini]

Date d'inscription : 18/12/2008

PREMIER JOUR DE L'ANNEE

Spoiler:

Il aime griffer le bois de la table, son ongle découpant délicatement de fines lamelles de bois de forêt. Il ne dessine rien, il ne laisse aucun mot, il joue. A croire que même le plus grand méchant de l’univers aime s’amuser, comme il peut. Assis au fond d’un grand bar à la tombée de la nuit, des hommes festoyant le peu à festoyer, entrechoquant leur pinte d’un liquide jaunâtre peu envoutant, criant et hurlant des paroles inaudibles. Piccolo Daimaô reconnaît bien là les Hommes de la Terre, ces êtres stupides, inconscient de ce qui les entoure et de ce qui est assis en face d’eux, une grande cape marron sur le dos dans une salle où la chaleur humaine atteint plus de trente degré sans une seule ouverture extérieure, la capuche sur la tête, voilant sa couleur de peau et ses antennes. Piccolo Daimaô n’a pas des envies de meurtre, il a déjà tué quatre personnes aujourd’hui et ingurgité plus de six litres de sang, il a seulement envie pour terminer en beauté cette journée de faire souffrir, hurler pour d’autres raisons que l’allégresse ces infâmes humains. Pourtant aucun sourire, aucune lueur dans ses yeux laisse présager chez lui de telles pulsions, il a trop l’habitude pour ne plus cacher sa joie. Il va pouvoir s’amuser ce soir. A chaque mouvement d’une serveuse vers lui, d’un geste de sa main il fit comprendre qu’il ne désire rien, seulement se reposer et observer. Son comportement n’inquiète personne, un errant, des vagabonds, il en existe beaucoup ici. A quelques mètres de lui justement, un petit homme barbu se noie dans son verre, la fatigue et l’alcool le décime. Pourtant Piccolo est intéressé par ce personnage, il l’observe depuis plus de vingt minutes d’après son horloge interne surdéveloppée. Le Namek pense beaucoup aussi, il pense à ce qu’il fait. La vie sur Terre est tellement excitante qu’il préfère perdre son temps, il comprend en partie la lenteur de son fils Piccolo qui faillit à sa mission. Il se trouve actuellement en Enfer se dit-il. Bien fait pour lui. Une serveuse fit encore un pas vers lui mais Daimaô répéta son geste de sa main droite griffue cependant la serveuse semble résignée à venir lui parler et s’approche à quelques mètres. Elle sent le parfum bon marché, son visage doux laisse planer le doute entre le mal et le bien. Sa voix ne fait qu’achever cette hésitation.

- Excusez-moi monsieur mais si vous ne voulez rien consommer, mon patron m’oblige à devoir vous faire sortir. Vous pouvez rester que si vous buvez ou mangez quelque chose, je suis désolé.

- Comment savez-vous que je suis un monsieur ? Vous ne m’aviez jamais entendu, ni vu sous cette cape. Je ne veux rien, je n’ai pas soif, j’ai assez bu aujourd’hui.

- Dans ce cas vous devez partir, c’est la règle. D’autres personnes aimeraient bien boire à votre place.

- Que fêtent ces gens là, au milieu de la salle, hurlant des chants piteux et exhibant leur graisse pathétique ?

- Nous sommes le premier jour de l’année ce soir, monsieur. Vous ne le saviez pas ?

- Non.

Et le Namek se leva, finalement il n’en avait plus rien à faire de rester ici, il trainait trop, il le savait. Retrouvant le froid de l’extérieur, Piccolo Daimaô se trouvait dans la ville nord de la Terre, entre grands immeubles et galeries marchandes. Il ne savait plus trop ce qu’il attendait ici, peut-être un signe, quelque chose. Un an s’était écoulé depuis son retour parmi les vivants et il n’avait encore jamais quitté la Terre mais enfin il se souvint pourquoi il ne bougeait plus. Sa mémoire était défaillante et sa jeunesse se perdait entre ses rides et ses trou de mémoire, Piccolo Daimaô n’avait pas de vaisseau et la Terre était bien le lieu où l’on pouvait se procurer le moins de vaisseau spatial. Il était bloqué depuis un an, aucun moyen de transport et ses objectifs devenaient de plus en plus contraignant.

Date d'inscription : 04/08/2009

Kamizuru, toujours dans sa quettes de connaissance et actuellement a la recherche du palais du tous puissant,venant de quitter une magnifique plaine, perdu en foret ou il avait médité durant presque trois jours. Il volait par dessus les nuages, a pleine vitesse, fendant en deux les cumulus qui s'interposait devant lui, il fixait sous lui, l'océan bleu ou plutôt verdâtre, un énorme navire flotter a sa surface, avec des hommes a son bord riant et tirant un énorme filé, extirpant de pauvre poisson de l'eau. Cela allait faire une semaine qu'il était sur terre, et lui qui avait reçu du doyen des Namek l'enseignement pacifique, ressentait depuis peu l'envie de tuer...

* Les terriens, cette race pitoyable, il consume leur propre planète, s'extermine entre eux dans des guerre sans nul but... comment l'un des nôtres peut il vivre et protéger une race aussi... *

Alors qu'il s'approchait du continent, le Namek amorça une descente assez brutale sur une ville côtière, volant a basse altitude entre les immeubles, l'effet de sa vitesse sur se qui l'entouré fit éclater les vitres et retourna les voitures. Sans s'en soucier, le Namek quitta la ville en longeant un route le long de la cote vers le nord. il pu observer d'autre terrien dénude sur une plage, certain frapper un objet rond toujours en riant, d'autre se prélasser sur la plage ou se laver ans l'eau de mer...

* Voila pourquoi l'eau est aussi sale sur terre, les terriens se lavent dedans ! et y jette leur saleté ! *

Le Namek, dégouté de cette vision, décida de partir vers le centre des terres. Il vola par dessus des champs, défigurant le paysage, par dessus des villages un peu plus en harmonie avec la nature.

* Il y a encore des humain qui vive a peu prêt normalement... peu être que c'est sa... la lumiere que le tous puissant veut protéger... l'espoir... *

Le Namek vit de loin, un grande ville devant lui, ralentissant progressivement, il finit par atterrir. Pour ne pas se faire remarquer, le Namek décida de mettre sa cape de façon a cacher son corps ,et pour cacher son visage, il mit une capuche. En marchand dans la rue principale, au milieu des passants, le Namek continué d'être un peu dégouté, il y avait tellement de chose a dire, forcé de marcher sur un petit bout de passage, un trottoir, ou la majeur parti de la rue été réservé au machine qui polluer l'air... Puis, suivant le mouvement de la foule, le Namek se retrouva dans une galerie marchande, comme emportait par le courant. Des boutiques, exposant leur bien a la vue de tous avec des étiquettes... se mettant contre un mur pour ne plus être emportait par la foule, Kamizuru eut son attention retenu par une silhouette, un individu de l'autre coté de la rue, cachant aussi son corps et son visage... mais pourquoi ?

Date d'inscription : 18/12/2008

Le petit matin s’était déjà levé alors que la nuit froide prolongeait son existence en cet hiver glacial. Le travail pouvait enfin reprendre et la ville comme par magie s’illumina de plus belle avec d’activités variés. La ville avait repris vie. Et comme cela se doit, la foule pressant le pas dans les rues accompagna Piccolo Daimaô dans des directions inconnues mais le Namek se laissa faire, il s’en fichait éperdument, il était coincé et cela n’allait pas changer en quelques heures. Finalement quand il y pensa, il n’aurait pas eu son dessert, la torture qu’il voulait infliger aux personnes du bar, tant pis il fera autrement de toute façon. Parmi les nombreuses vitres éclatantes de propreté où Piccolo voyait plus son reflet que la marchandise, il put voir aussi parmi les habitants qui passait d’un côté à un autre de la galerie, un homme qui le fixait non loin, habillé de la même façon. Daimaô préféra rester un léger moment sur cette vitre, prenant soin de jouer la comédie d’un intéressé mais tout en ne quittant plus du regard cet homme dont le reflet laissait pour grand, sombre, mystérieux et caché. Il fit bien car celui-ci ne bougeait plus depuis plus d’une minute à l’observer, Piccolo comprit qu’il avait à faire à quelqu’un. Quittant la vitre de la boutique d’un pas vif, comme pressé, il accéléra la marche. Il devait voir si l’homme le suivait et que faire si ses intentions étaient bonnes car qu’elles soient mauvaises, il n’y aurait aucun problème, le Namek le tuerait mais si elles sont bénéfiques, que ferait-il ? A l’extérieur de la galerie marchande, après avoir poussé une dizaine de personnes, Piccolo Daimaô s’adossa à un mur et attendit. L’homme ne devrait plus tarder et s’il tenait absolument à le rencontrer, il viendrait par lui-même. Et c’est ce qu’il se déroula, sortant lui aussi de cette galerie bruyante et exaspérante, Piccolo à l’autre bout de la rue, adossé à un mur d’une boulangerie célèbre, fit d’un signe de son doigt crochu de le suivre et contourna la rue. Quoi de mieux qu’un endroit tranquille pour discuter de choses et d’autres. Patient dans une petite ruelle où les seuls débouchés étaient de droite à gauche ou voler, il retira sa capuche à la vue de l’homme qui l’avait suivi et s’était présenté face à lui. Les yeux perçants, comme s’il dénudait l’individu auquel il faisait face, il prit la parole de sa voix faible et vieillit avec l’âge :

- Bonjour Namek.

Date d'inscription : 04/08/2009

Avec le levez du jours, et les quelques minutes que le Namek avait passé a regarder l'intriguant passant en face de lui, Kamizuru sentait qu'il n'était pas loin de son but, ou qu'il trouverai enfin une piste à ses désires. Alors que la foule avançait, des passant entrer, d'autre ressortait des différentes boutiques, Kamizuru interrogeait toujours sur se qu'il allait faire, quand soudainement, l'intriguant personnage qu'il épiait accéléra ses pas et disparu dans une ruelle.

* OU va t'il ? *

Le Namek, Kamizuru, se posa ainsi la question, il bondit au dessus de la foule et prit la ruelle par ou l'autre avait disparu, ne le voyant pas du regard, le Namek décida de le prendre en chasse, il se hâta dans la ruelle et se rendit invisible grâce a son Kousen Gisou. Arrivant au bout de la ruelle, il regarda a sa gauche, sans voir celui qu'il chercher puis a droite, La rue était presque déserte, mais l'on pouvait voir a l'autre bout de la rue, l'arrière d'une boulangerie, sur laquelle s'était adossé l'autre qui intriguait temps Kamizuru, ce dernier dit alors:

" Bonjour Namek "

* Un... Namek ? étrange, je ne me rappelle pas... il ne devrait y en avoir que deux selon le doyen, un autre serait arrivé entre temps ? et comment sait il que j'en suis un aussi ? *

Kamizuru ne répondit pas tous de suite, il était toujours invisible, puis après un petit moment, il répondit enfin, sans pour autant se montrer, sa voie raisonnait dans toute la ruelle, comme si il était partout:

" Alors tu es aussi un Namek... nouvelle intéressante, je pensais qu'il n'y en avait que deux sur terre... Le tous puissant et Piccolo... mais tu n'es aucun des deux n'est ce pas... et une dernière... comment a tu su que j'étais moi aussi un Namek ?"

C'était une question assez intéressante en réalité, Piccolo Daimaô étant en quelque sorte le père de Piccolo et aussi d'une certaine façon, Dieu ! Kamizuru dans son invisibilité, ne dit plus un mot de plus, attendant et scrutant son interlocuteur qui le chercher du regard...

Date d'inscription : 18/12/2008

Le Namek se cachait face à Piccolo Daimaô, à quoi bon après tout ? Le père de Piccolo l’avait pourtant bien repéré et rester sous l’anonymat alors que son Aura dégage la même particularité de la sienne est inutile. Pas très intelligent. Puisque Piccolo avait commencé la communication entre les deux personnages, c’est tout naturellement que son interlocuteur se prit à lui répondre à son tour d’une voix un peu surprise. Mais le ton était bon, rien ne laissait apparaître un quelconque manque de respect vis-à-vis de l’être qu’il avait en face de lui et démarrait sur ce bon point avec Daimaô était très bon pour la suite, si les choses en restait là bien évidemment.

- Alors tu es aussi un Namek... nouvelle intéressante, je pensais qu'il n'y en avait que deux sur terre... Le tous puissant et Piccolo... mais tu n'es aucun des deux n'est ce pas... et une dernière... comment as-tu su que j'étais moi aussi un Namek ?

Piccolo Daimaô comprit la surprise du Namek, il était naturel qu’il ne connaisse son existence puisque lui-même était coincé ici et voudrait bien partir le plus tôt possible mais des moyens techniques l’en empêchait. Ca c’était pour la première question, ensuite la deuxième introduisait une interrogation sur le fait que Piccolo eut le pouvoir divin de reconnaître la race de son camarade sans même l’avoir vu réellement si ce n’est sous cette cape et maintenant en tant qu’être invisible mais très facilement détectable par sa puissance d’énergie supérieur à celle de Daimaô. Mais cela ne surprenait guère le Namek, il était coincé ici, il n’avait que peu de moyen pour s’entrainer, il se faisait vieux et il avait trainé beaucoup trop de temps en Enfer en attendant stupidement que la bonté divine de son fils lui vienne à accomplir sa mission. Il ne pouvait s’en prendre qu’à lui-même et se devait de retrouver sa force d’antan et même plus aujourd’hui car plus le temps passe en ce monde de vivants, plus les guerriers deviennent puissant. Alors qu’il n’avait la force de l’être invisible en face de lui, il avait réussi à créer un climat de terreur sur Terre, au jour d’aujourd’hui, s’exhiber comme étant un guerrier pratiquement invincible avec cette puissance serait du domaine du suicide ou de la folie, à choisir.

- Je ne suis pas d’ici, je suis… coincé. Je n’ai aucun moyen de transport interplanétaire, les Humains sont bon à rien et ils ne construisent pas de vaisseaux, ne serait-ce que des capsules risibles, en tout les cas je n’en connais pas après un an d’attente et de recherche. Ceci était pour répondre à ta première question, la seconde, elle me semble sotte. N’es-tu jamais allé sur ta Terre d’origine Namek ? Ne connais-tu pas les personnes de ta race ? Tu aurais du depuis le temps apprendre à reconnaître l’Aura que nous dégageons et cesse ce pitre camouflage ! Tu es ridicule, comme si je n’avais pas besoin de te voir pour te détecter, tu n’es pas plus en sécurité que si tu étais nu au sol. Et toi, que fais-tu ici ? Comment m’as-tu trouvé ?

Date d'inscription : 04/08/2009

Kamizuru ne se sentait pas menacé, malgré les dires de Piccolo, Kamizuru savait que pour être détecter des plus puissant, il devait déployer son énergie, se qui n'était pas encore le cas ici. Le jeune Namek souffla un coups, un peu ennuyé, il regarda un instant le ciel, puis de nouveau le vieux Namek:

" Connaitre et reconnaitre sont deux chose bien différente, j'ai grandit sur la nouvelle Namek... et... les Namek n'ont pas d'aura en générale, excepter pour les quelques guerriers de notre race qui se trouve être trop faible pour défendre notre planète... Nous manquons de moyen, l'univers se fait soumettre petit a petit et perd sa liberté d'antan, jadis opprimer par le tyran freezer, et maintenant par tout un groupe..."

Kamizuru apparu enfin, toujours vêtu de sa cape et de sa capuche. Kamizuru avait subit l'entrainement du doyen des Namek, créateur des dragon ball les plus puissantes de l'univers actuellement, cependant, il n'avait pu se distinguer en temps que guerre, vaincu en finale pour le titre de Capitaine des forces Namek et donc reclassé a simple guerrier. Mais l'a n'était pas l'opinion du Namek, son souhait depuis l'enfance, rester encore irréalisable avec son piètre niveau...

" Je suis sur terre pour apprendre, le doyen refusant de m'enseigner se que je souhaite, je me suis décidé à venir sur terre, ou un autre Namek aurait aussi créer des dragon ball, bien que plus faibles. Et c'est en le cherchant, que je t'ai trouvé... "

Face au vieux Namek, Kamizuru ressentait un légère angoisse, en effet, le vieillard semblait connaitre beaucoup de chose, mais aussi cacher une incroyable noirceur dans son cœur, plus noir que celle des hommes...

* Le Néant, je ne ressent rien de plus que le néant, un vide noir et absolu dans son cœur... *

Sans trop tardé, le Jeunot fixa le vieillot, il ne savait pas comment interpréter une telle sensation, et préféra donc la mettre de coté, il dit alors:

" Coincé tu dit ? la terre bien que primitive dispose de vaisseau, certes pas très avancé, mais suffisant pour voyager ! leur technologie a été en majeur parti, volé sur des appareilles s'étant écraser sur terre... Bien sur, les humain sont des êtres cupide, pour obtenir un vaisseau, il faudra le leur acheter... "

Le jeune Namek sourit alors, il avait sa petit idée en tête, il n'avait pas le cœur pure, mais son cœur n'était pas négatif non plus, il était entre les deux, sa vision du monde, telle une balance ne favorisé ni le bien ni le mal... il reprit la parole:

" Je me fiche de savoir se que tu veux, si tu m'aide je t'aiderai, temps que tu respectera sa, je serai de ton coté, peu importe tes actions future, me comprends tu ? c'est la la fondation du clan que j'ai fondé... si tu nous rejoins, je m'arrangerai pour que tu puisse quitter cette planète sans dépenser quoi que se soit... c'est a toi de voir ? "

Puis le silence, l'attente d'une réponse valsé sous la brise ensoleillé du matin...

Date d'inscription : 18/12/2008

C’était certes un petit speech qu’avait fait là Piccolo Daimaô mais celui qui suivit ne fut guère plus reluisant, son interlocuteur développa une de ses idées et convictions sur leur planète natale jadis un peu plus imposante qu’elle n’est aujourd’hui.

- Connaitre et reconnaitre sont deux chose bien différente, j'ai grandit sur la nouvelle Namek... et... les Namek n'ont pas d'aura en générale, excepter pour les quelques guerriers de notre race qui se trouve être trop faible pour défendre notre planète... Nous manquons de moyen, l'univers se fait soumettre petit à petit et perd sa liberté d'antan, jadis opprimé par le tyran freezer, et maintenant par tout un groupe...

Piccolo était essentielement d’accord sur ce qu’il avait été dit. Namek est ridicule face au danger qu’il l’entoure actuellement et les habitants de ce nouveau Namek très faible, seul quelques exceptions que Daimaô appelait « génie Namek » se montraient plus puissants et plus respectable que la population par défaut de cette génération Namek. Manque d’entrainement, d’ambitions et d’éducation. L’être toujours invisible face à lui continua en chevauchant sur la deuxième question de Piccolo.

- Je suis sur terre pour apprendre, le doyen refusant de m'enseigner se que je souhaite, je me suis décidé à venir sur terre, ou un autre Namek aurait aussi créé des Dragon Ball, bien que plus faibles. Et c'est en le cherchant, que je t'ai trouvé...

Après un léger moment de silence, il reprit de plus belle :

- Coincé tu dis ? La terre bien que primitive dispose de vaisseau, certes pas très avancé, mais suffisant pour voyager ! Leur technologie a été en majeur parti, volé sur des appareilles s'étant écraser sur terre... Bien sur, les humains sont des êtres cupides, pour obtenir un vaisseau, il faudra le leur acheter...

Ca commençait mal malheureusement, le ton du Namek n’était guère apprécié par Piccolo. Il lui faisait la leçon, lui apprenait des choses que pourtant lui-même connaissait comme s’il était stupide. Les choses tourneraient vite mal pour les deux guerriers mais ce qui suivit abaissa l’entrain de Daimaô et il y réfléchit à deux fois avant de cogner son interlocuteur.

- Je me fiche de savoir se que tu veux, si tu m'aide je t'aiderai, temps que tu respectera sa, je serai de ton coté, peu importe tes actions future, me comprends tu ? c'est la la fondation du clan que j'ai fondé... si tu nous rejoins, je m'arrangerai pour que tu puisse quitter cette planète sans dépenser quoi que se soit... c'est a toi de voir ?

Le silence se fit et piccolo ne comptait pas le briser de si tôt, qu’allait-il répondre à cette « invitation » ? Que serait-il le mieux pour lui et non pour cette personne ? Le mieux serait de quitter cette terre et de s’acquérir, enfin, un vaisseau pour, enfin, commencer sa quête. Mais l’être invisible lui avait manqué de respect, volontairement ou non, suffisait-il de mettre les points sur les i ?

- Sache que je ne suis le larbin de personne ! M’entends-tu ?! Plus jamais je ne veux que tu t’adresses à moi sur ce ton, plus jamais ! Je rejoins ton groupe à une condition ! Que mon nom ne soit pas scander dans tous l’univers et que l’on me laisse ma liberté ! Vos objectifs, vos ambitions je m’en fous, moi dès que je quitte cette planète, je pars faire ce qui m’intéresse. Et je le répète, je ne suis le larbin de personne ! Et il est très indélicat de faire une telle offre alors que l’on se cache encore derrière un petit tour de passe-passe. Avant que nous partions rejoindre l’espace, quel est ton nom ? Moi, je suis Daimaô.

Date d'inscription : 04/08/2009

Le mot larbin scandalisa Kamizuru, aprés tous, son clan respecter qu'une chose, la libérté, et si le Vieux Namek ne le savait pas, il était bien temps de le lui faire savoir.

" Je n'ai nullement l'intention de te soumettre, j'en vois pas l'intérêt, tu fais se que bon te semble, mais sache une chose, tous se que je te demande, c'est d'accepter l'entraide, les autres membres du clan t'aiderons, en échange tu devra en faire de même. "

Puis, après quelques secondes, Kamizuru ôta son camouflage, pour lui maintenant il était claire, que le namek en face de lui ne représentait a l'heur actuelle, aucune menace, mais qu'il pourrait l'aidé dans sa tache le moment venu...

" Peu importe qui se trouve en face de moi, peu importe sa race, son appartenance, son rang ou sa puissance, je lui adresserai la parole de la même façon ! "

Puis Kamizuru Ôta sa capuche, montrant pour la première fois son visage, le jeune Namek cacher toujours son corps, il attendait encore, seul sa main sortit de la cape, avec a l'intérieur de son points, un petit appareille:

" Prend ceci, en appuyant sur le bouton rouge, tu fera venir ma capsule, je te l'offre sous une condition: dit moi ou trouver le Namek qui dirige cette planète, celui qui est surnommé le tous puissant. "

Puis son autre main sorti de sous sa cape, lui tendant un autre appareille avec dessus un logo, celui des pirates de l'espaces:

" Mieux vaut pardon que soumission, alors je m'excuse auprès de toi pour le ton que je t'ai adresser, cela n'est pas volontaire, c'est une habitude que je ne perdrait sans doute jamais, alors autant t'y habituer. L'autre dispositif est un émetteur-récepteur, tous les membres du clan en ont un a leur entrer, l'écran actuellement noir indiquera la position ou nous nous regrouperons, histoire de se tenir au courant de se qui se passe dans l'univers, de prendre des mesure pour nous protéger. Cette position change régulièrement, et seul se dispositif l'indiquera... a toi de le prendre si tu désir toujours nous rejoindre, les réunions: certaine ne sont pas obligatoire, d'autre le son si c'est urgent ! L'appareille dispose d'autre option, permettant de savoir se qui concerne le clan sans se déplacer au réunion, mais sa tu le comprendra bientôt..."

Puis toujours les deux bars tendu vers Piccolo Daimaô, Kamizuru dit d'un ton assez calme:

" Pour ma part, je suis Kamizuru, le clan n'a pas de rang, donc ni sous fifre, ni boss. En cas de gros problème, tu pourra me joindre avec l'émetteur, tous comme tu pourra joindre les autres membres... "

Puis, le Jeune Namek attendit, que Daimaô vienne prendre les appareilles, bien qu'il serait fort celui de sa capsule pour obtenir l'information qu'il souhaitait.

Date d'inscription : 18/12/2008

Kamizuru s’excusa auprès de Daimaô, c’était certes surprenant mais plutôt bon, les deux êtres se respectaient donc : parfait. Tout en dévoilant les particularités de son clan, Kamizuru s’était enfin rendu visible. Il était grand tout comme Piccolo, les Namek sont naturellement grand mais eux deux étaient impressionnant à voir, l’être était sage au contraire de Daimaô, cela posera sûrement quelques soucis dans l’avenir pensa t-il. Lorsque Kamizuru balança son bras en avant, la main tendant une télécommande, celle de sa capsule, une envie folle rongea Daimaô d’arracher cet appareil et d’appeler l’engin en laissant seul le Namek mais il ne pouvait pas, Kamizuru était plus puissant et puis fuir ainsi serait lâche. Puis toujours en expliquant les fonctionnements du clan, il tendit dans son autre main un appareil familier du groupe, selon lui il servait de renseignements et de localisation des membres des pirates. Kamizuru ne l’avait jamais signifié mais le clan était pirate, Piccolo eut un geste de recul, il se demandait s’il était bon de vraiment accordé la proposition. Les pirates étaient mal vus, des mafieux, des bandits sans honneur. Pourtant il n’avait pas le choix et puis, il verrait bien de toute façon. Il accepta donc de devenir membre des pirates de l’espace et attrapa les deux appareils des mains de Kamizuru. Mais lors du speech du Namek, celui-ci avait noté qu’une aide se devait d’être rendue et le seul moyen qu’avait Daimaô de lui rendre était de lui faire rencontrer le Tout Puissant. D’un sourire amer et un regard fuyant, il dit :

- Tu sais, ce n’est pas parce que le Tout Puissant est Namek qu’il est en accord total avec moi, je vais t’y emmener mais je ne t’accompagnerai jamais jusque là-haut. Le vol sera parfait pour s’y rendre, c’est à une centaine de kilomètres d’ici je pense. Suis-moi et ne parle pas, je hais les personnes bavardes, tu en as assez dit comme ça !

Date d'inscription : 01/11/2008

Piccolo Daimaô 137 lignes = 13700 XP
Kamikuzu 83 Lignes = 8300 XP

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