Pillage et Destruction

Date d'inscription : 04/07/2009

Lorsque j’arriva sur Namek, je vis ce beau paysage vert. Un paradis dans l’univers. Le soleil me tapait dessus avec toute sa force. Cette planète était constituée à 80% de végétaux pour 20% d’eau. Même les habitants en étaient. Je m’avançai vers une petite île. Ginyu m’vais dit de le rejoindre au vaisseau de freezer. Je voulais d’abord faire une surprise à Ginyu en lui donnant une Boule de Crystal. Je partais donc vers cette île. Je volais tranquillement vers elle. Sur le chemin, je vis un village égaré. Je me suis dit alors qu’il devait savoir où ce trouvais les boules et même je pensais aussi qu’il en avait peut-être une ! Je mis le turbo et je me posai sur le sol parsemé de terre. Une troupe de Namek vint à moi. Ce sont d’étrange extra-terrestre vert avec des antennes sur la tête. Ils avaient l’air bouleversé par ma présence. Un des namek s’avança vers moi. Il me dit alors :
-Vous n’avez rien à faire là. Déguerpissez sur le champ ! Les étrangers sont interdits !
-Et bien merci de votre superbe accueil. J’en ai les larmes aux yeux. Bon arrêtons cela. Où sont les Boules de Crystal ! Je l’ai veux sur le champ !
-Vous les étrangers, vous ne pensez qu’au Boule de Crystal. Elles apportent malheur à ce qui ne sait s’en servir. Et puis si tu les veux, tu devras passer sur les corps de nos trois combattants !
Trois nameks vinrent à faire leurs apparitions. Un petit, un grand et large et un namek assez normal mais étrange. Je ne sentais pas sa force. Il restait immobile tandis que le petit fonça vers moi. Il était très rapide mais pas très fort. Sa vitesse dépassait le son mais sa force ne dépassait même pas celle de la plus faible des Sayens. Ses coups me frappaient dans tous les coins. J’essayais d’éviter mais sa vitesse me dépassait. C’est alors qu’il fit une bourde. Il ce repris sur son pied gauche pour ne pas ce déséquilibrer. Il perdit donc quelques secondes, de précieuse seconde. J’eu le temps de l’apercevoir et de lui mettre un uppercut. Du sang s’évacua de sa bouche. Vu la crispation de son visage, il eu mal, très mal. Mon enchainement n’était pas fini. Je me retournai et je pris de la vitesse pour renvoyer un autre coup. Le talon de mon pied frappa son coude d’où un bruit sourd en sortie. Un bruit d’os que l’on casse en l’envoyant par terre. Il cria de toutes ses forces. Un sourire narquois marquait mon visage parsemé de fine gouttes de sang. Presque évanoui, le namek voulu dire une chose. Je ne lui laissa pas le temps. La paume de ma main frotta son torse et un éclair noir ressorti dans son dos. Un vague de sang et de chair s’écoula sur le sol. La face du namek devenu vide. Un vide comblé par un filet de sang sur la bouche. Il s’écroula avec un trou béant dans le bras. L’un des deux autres nameks, le plus costaud, m’attaqua. Ce type était le contraire de l’autre. Il était costaud, féroce, rigoureux et vraiment coriace. Ce genre de type qui ne lâche jamais le morceau. Un homme aussi dur que du métal. Pour faire une description de ses capacités, je me lassai faire. Il me frappait dans tous les angles possibles. J’avais mal, très mal mais il faut souffrir pour devenir fort. Le moment voulu, j’avais fait dans ma tête un bilan de ses caractéristiques. Aucune rapidité dans ses mouvements. Des coups puissant mais sans vitesse. Je vis dans ses yeux l’instant précis où il allait donner son plus puissant coup, je l’esquivas donc facilement grâce a ma vitesse. Mon bras pris le sien, celui qu’il envoya pour me frapper et mon autre bras heurta violement son visage. Je vis la déflagration de son visage. Une vague ondulait sur sa face ensanglanté. Il s’écroula de tous son poids. Etrangement que cela puissent paraitre, il tomba raide mort. Ou presque, je sentais encore un minimum de sa force. J’aurais sans doute du le tuer car le plus improbable se passa. Le dernier namek, le plus fort je pense, se rua vers le gros namek et mit sa main sur son thorax. Mon doute était bon. Un éclair blanc troubla ma vue. Je vis, pendant quelque seconde, tout flou. Mon esprit eu un choc lorsque je vis le namek plus fort et plus charismatique. J’eu, pendant un instant, peur. Peur de devoir affronter un adversaire très fort, plus fort que moi. Mais bon, il le fallait. Je pris de l’élan et je m’élançai vers lui, le pied en premier. La rapidité de cet extra-terrestre me surpassait. Il m’attrapa la jambe et me fit valdinguer contre le sol, cinq ou six mètres plus loin.
*Impo…ssible, j’ai mal, j’ai très mal …*
Mon subconscient me rappela une chose. J’étais un sayen, de race pure. Un guerrier né et une bête féroce. Un sayen peut se montrer coriace dans ces moments là.

[Pas fini !]

Date d'inscription : 04/07/2009

Je me relevai avec douleur. L’esprit sayen en moi, je ne perdrai pas. Je le regardai avec un regard noir. Une dangereuse aura commença à m’envahir. Mes cheveux se dressèrent rapidement. Plusieurs éclairs bleus m’entourèrent. Mes yeux sont devenus blanc. Mes muscles grossissaient a vue d’œil. Une teinte jaunasse apparut au niveau de mon capillaire. Un vague de ki explosa. Je me transformasse en Super Sayanjin de niveau un. Le namek fit un pas en arrière. Il avait de gros yeux fixé vers moi. Je fonçai sur lui et je lui assénai un coup de poing féroce dans le ventre. Il cracha du sang. Je continuai mon combo par un crochet féroce dans le visage. Il tituba en arrière mais il ce reprit. Du sang s’écoula par son nez. Mais un phénomène étrange apparut. Il avait gardé une technique en réserve. Ses bras grandirent d’un coup, puis ses jambes, puis son corps, et enfin sa tête. Il avait gagné 3 mètres en plus. Bon, je devais trouver une solution pour le battre. Sauf que contre toute attente, il concentra son énergie dans sa main droite. Son poing devenu fluorescent et il me regarda d’un air de dire, « tu ne peux me vaincre ». On verra ça. Il fit un bond un bond en arrière qui, pour lui faisait 5 ou 6 mètres. Je l’entendis crier le nom d’un kikoha surpuissant. Eraser Canon, je crois bien. Le sous-disant laser fila droit sur moi. Il fallait l’arrêter. Je récitai les paroles incantatrice du kikoha, kaméhaméha.
-KAAAAAAAAAMEEEEEEEEEEEHAAAAAAAAAAAAAMEEEEEEEEEEEE …
Mon énergie fut concentrée au maximum, je n’en pouvais plus. J’avais même mal à la tête. Le cerveau était mal irrigué. Mais il le faut.
-HHHHHHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
Ma vague de ki s’envola contre celle du namek. L’impact fût terrible. Mon super Kaméhaméha arrêta le kikoha mais il fallait continuer l’effort. Mon énergie commençait déjà à faiblir alors que le namek ne semblait pas épuiser. Il renforça même son attaque m’affaiblissant encore d’avantage. Je crié de toute mes forces, en vain. Mon esprit sayen m’énervait. La compétition, toujours la compétition. J’allais mourir ici, par un namek à cause de mon caractère. Sans avoir encore servis a maitre Ginyu. Je fermai alors mes yeux. Je vis un homme, sombre et vêtue d’une tunique s’approché vers moi. Il me dit que je n’utilisais pas ma force. Que je n’étais pas faible, loin de là, juste que je n’utilise pas ma véritable force. Il me dit de laisser allés les choses, de forcer sur mon pouvoir. Je rouvris les yeux et compris mon erreur. Mon regard devenu plus confiant. Je me laissai alors allé. Le kikoha me fonça droit dessus. Je me le pris de plein fouet. Le namek rigola doucement puis il fût pris d’une grosse grise de fou rire. L’épaisse fumée noire englobait toute la plateforme de combat. Le namek reprit sa taille normale et se tourna. Erreur. Je n’étais pas mort, au contraire, j’étais en pleine forme. Mes cheveux jaunit était encore plus piqués. Des éclairs m’entouraient et mes muscles doublèrent de volumes. J’étais en Super Sayanjin de niveau deux. Il ne me voyait pas mais moi je le voyais. Des scintillements entourèrent ma main droite. Je fléchissais mes genoux et je bondis vers lui. Mon Ryu-Ken le frappa de toute ma force. Il fût projeté contre un gros rocher. Je me posa et j’alla constater mes dégâts. Il était complètement épuisé et cassé de partout. Quelque chose d’étrange était en lui. Je lui demanda qui il était et il me répondu qu’il était juste un namek.
-Comment se fait-il alors que tu as autant de haine en toi. Tu es le mal.
-Oui, j’ai peut-être beaucoup de mal en moi mais je suis là pour te tuer.
J’hésita puis je demandât :

-Tu es très fort. Mais moins que moi. J’ai une proposition à te faire. Tu me suis et je te garde vivant ou tu ne me suis pas et je te tue.
-Comment veux-tu que je répond a ça. Bien sûr que je te suis … Maître.

Je sourit. Un nouvel allié. Un nouveau combat …

Date d'inscription : 01/11/2008

Majin 93 Lignes = 9300 XP & 4650 Zénies.

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