La Naissance d'une légende

Date d'inscription : 17/12/2008

Chapitre 1 : L'enfance d'une Légende, Première partie.

« On passe toute sa vie à chercher une vérité qui nous torture, sans savoir qu'une fois confronté à sa lumière, la route ne fait que s'ouvrir à soi. »
Citation de Hafid Aggoune.

« Papa, est-ce qu’un jour tu m’apprendras à manié l’épée comme tu le fais ? Je veux devenir aussi fort que toi plus tard ! »

Snow, 6 ans. J’étais encore qu’un petit garçon et je voyais mon père s’entraîner jour après jour pour devenir plus fort. Je ne savais vraiment pas comment il fessait, mais il arrivait à couper l’acier tellement son pouvoir était grand. Et ses sabres tellement beau et rayonnant. Toujours à me dire de ne pas y toucher, sinon, je risquerais de me couper. Toujours à s’occuper de moi. Je n’avais que 6 ans et je voulais déjà devenir aussi fort que mon père à manier le sabre comme il fessait. Mais en étais-je capable ? D’avoir une seule once de son talent. Les jours passèrent et je demandais à mon père de m’apprendre… les jours passèrent et il refusait toujours. Jusqu’au jour où…

« Fiston, tu m’as dit que tu voulais apprendre à manier le sabre. Hey, bien c’est ton jour de chance. Je viens de t’inscrire dans une école. Tu pourras t’entraîner là-bas. N’es tu pas content ?

Mais papa… c’est avec toi que je veux m’entraîner, pas avec les autres ! Je ne veux pas partir d’ici pour ne plus te revoir…

Ecoute ! Ton papa doit partir faire un long voyage, je te promets de revenir te voir. Aller… ça devrait prendre 3ans avant que je ne te retrouve de l’école. Jusque là tient toi bien hein… »

Ce jour-là… je pleurais toutes les larmes de mon corps quand je vu la voiture de mon père partir loin dans la route qui me semblait interminable… Mes bagages en mains je rentrais seul dans l’école où mon père m’avait inscrit. Le doyen me guida alors dans une chambre. Heureusement, je n’étais pas seul. Il y avait des gens avec moi. L’école pouvait paraître bizarre, mais on mélangeait les filles et les garçons, car, à 6 ans il n’y a aucun risque. Je m’en rappel encore… C’était des chambres de cinq et dans la nôtre était présente deux filles et deux garçons. Il y avait Melissa, une jeune fille aux cheveux blond, long allant jusqu’aux épaules, un visage simple et souriant à chaque heure de la journée, Franky un gamin qui s’amusait systématiquement à terrorisé ceux qui fessaient du mal aux filles de la chambre, Tony Tony un gentil garçon ne se démarquant pas des autres, aux cheveux courts se redressant sur la tête, Lola une fille aux cheveux roux attachés en queue de cheval, et moi ayant déjà les cheveux qui descendaient sur le côté de mon visage aux mèches noirs qui se distinguaient des autres. A peine arrivé dans la chambre que je me fis attaquer à coup d’oreiller dans la tête par Franky. Il me regardait du haut de son lit en hauteur et l’oreiller derrière son épaule, prenant la place d’un katana, m’annonça directement :

« Toi, t’es nouveau non ? Bienvenue dans notre chambre alors. Je te présente le groupe : Tony Tony, Lola, Melissa et moi, Franky. Je te préviens on est tous soudés alors ne t’avise pas de toucher à un de nous sinon t’aura affaire à moi ! »

Je me rappelle encore son visage qui me regardait en souriant et en me tendant la main pour m’aider à me relever. Je pris sa main et me leva en annonçant :

« Bonjour, moi c’est Snow, enchanté. »

J’étais heureux et j’avais déjà oublié le départ de mon père, car je m’étais fait de nouveaux amis. Je m’installais sur un lit qui était entre les deux grands lits à étage, placé contre les murs des côtés. Je n’eus même pas le temps de défaire mes bagages qu’une sonnerie retentit. Franky me tira alors pas le bras et m’emmena dans une salle ou tous les élèves de l’école étaient présents. L’enseigna parla alors :

« Bienvenue à cette nouvelle année dans ce lieu. Nous accueillons ici des enfants de tous âges. Bien nous allons passer à la distribution des sabres en bambou de chacun … (Plusieurs personnes passèrent et s’était mon tour) alors qu’elle sabre choisit tu ? Tu as le choix entre les longueurs, le nombre, la garde… »

Je choisis deux sabres identiques aussi longs que moi, même un peu plus, à la garde en croix et l’autre en « S ». Puis je partis avec mes deux sabres en bambou dans ma chambre. Le doyen m’avait dit que les cours commencerait demain et que j’avais la journée et pour m’adapter et visiter les lieux. J’étais tellement content au fait que je pourrais, comme mon père apprendre l’art du sabre. Arrivé dans ma chambre je posai mes sabres sur la table de nuit qui était à côté de mon lit et commença à m’en aller quand Franky arriva et me bouscula, en fait, il l’avait fait exprès :

« Ecoute je dois tout te dire ou quoi ? Jamais tu ne dois laisser tes sabres seuls. Tu dois les considérer comme un frère pour toi et toujours les porter sur toi. »

Franky, qui depuis le début m’avait tout dit, m’aida à me relever. Je pris alors mes sabres et les mis près de ma ceinture. Je sortis ensuite de la chambre pour aller au panneau d’affichage où toutes les informations étaient accrochées. Une fois arrivé je me mis à les lire :

« Alors… Le règlement y est même attaché. C’est cool ça. Mais il n’y a que 3 règles. La première : Un élève doit toujours assister au cours et ne doit pas sécher. La deuxième : Si un élève à envie de se battre qu’il le fasse, mais il doit prévenir son adversaire et, lors du combat, aucun des deux élèves ne doit être couvert de sang, même minime. La troisième : Amusez-vous bien et apprenez bien l’art du sabre. »

Je pensais de plus en plus que cette école sera géniale. Je marchais dans toutes l’école et certain élèves étaient déjà entrain de s’entrainer pour perfectionner leurs techniques. Le soir venu, je rentrai dans ma chambre très tôt pensant que je serai le dernier arrivé et que les autres étaient déjà entrains de dormir, mais il n’y avait personne dans ma chambre… Inquiet je sortis voir dehors, à ma grande stupeur en ouvrant la porte je vis trois élèves entrain de se battre. C’était Franky, Tony Tony et un garçon qui paraissait avoir 12ans, et pourtant les deux petits avaienet l’avantage. Je m’approchai alors des deux filles qui étaient à côté et leurs demanda ce qu’il se passait. Elles me répondirent :

« Oh, ça ? Ça arrive souvent t’en fais pas. Encore les deux garçons qui veulent nous protéger. Tu sais en fessant ça il s’entraîne et deviennent vraiment forts. Heureusement qu’ils sont là. Mais toi qu’est-ce que tu fais là ? Tu ne devrais pas dormir ? Pour les nouveaux, le rythme de l’école est assez dur. »

Je n’avais vraiment pas envie de passer pour un faible. Alors, je regardai le combat et une fois fini nous partîmes dormir dans notre chambre. Je demandai alors à Franky :

« Mais… comment faites-vous pour être aussi fort vous deux ? Je n’arriverai jamais à votre niveau c’est horrible !

Mais non ne t’en fais pas. On est réputé pour être la chambre la plus forte alors ne t’en fais pas. Si tu as du mal nous t’entraîneront. Le plus fort ici, enfin devrais-je dire la plus forte ici c’est Lola.

Je ne comprends pas ? Pourquoi la protégé vous alors ?

Une question d’honneur. Elle ne veut pas qu’on sache qu’elle est forte et tu imagines un garçon se faire battre par une fille ? Nous pensons aux autres aussi ne t’en fais pas, c’est pour ça que nous la protégeons. »

Je réfléchissais cela toute la nuit… Ces garçons étaient vraiment forts. J’étais tombé sur une chambre ou le niveau était très élevé… Il ne fallait surtout pas que je ternisse la réputation. Le lendemain matin je me levais après tous les autres qui était déjà parti s’entraîné. Je me demandais vraiment comme ils fessaient pour tenir le rythme… Les cours passèrent et chaque soir je m’entraînai en cachette dans une salle spéciale que Franky m’avais montré. Les jours passèrent et je devenais de plus en plus fort. Chaque jours, quelqu’un me défiait au combat. Des fois je perdais, des fois je gagnais, mais ce qui m’étonna plus que tous c’est ce qu’il se passait à la fin de chaque mois…

« Vite les gars, on est déjà fin septembre, ils sont là. On va voir qui sait le meilleur, cria Franky. »

Melissa se jeta à la porte de la chambre et attrapa 5 papiers sous la porte. Puis elle annonça en passant vers Lola :

« Lola… alors alors… 40.000 Zénis. Ça va c’est potable mais bon pour ton talent tu pourrais avoir mieux, Tony Tony toi c’est 45.000 Zénis. Sur ce coup vraiment pas mal je crois que c’est ta meilleure prime, non ?

Non tu te trompe Melissa. Ma meilleure c’était 47.000.

Ah désolé. Franky… comme d’habitude 50.000 Zénis. Vraiment génial. Snow toi, y a vraiment de quoi ce moqué. Seulement 10.000 Zénis. Et moi 40.500… pas mal.

Mais attend Melissa je ne comprends rien, lui dis-je. C’est quoi ce truc ?

Ah on ne te la pas expliquer ? Chaque mois les élèves sont notés, mais pas en note, en prime. Plus ta prime est élevée et plus ta note est bonne quoi. Chaque année, Franky était le meilleur. Allons voir au tableau d’affichage si c’est toujours le cas. »

Tout le groupe se précipita au tableau et Franky était troisième. Devant lui il y avait un élève à 51.000 et le premier à 100.000. Tout le monde fût stupéfait de l’annonce. Franky en colère voulut aller voir cet homme seul. On était tous Inquiet à son sujet et tout le monde ce demandai ce qui allait se passer. Le soir il arriva alors dans la chambre en pleur et plein de bleu, juste avant de s’écrouler sur le sol il annonça à toute l’équipe qui avait les yeux écarquillé :

« J’ai… perdu… c’est un… monstre !»