Requiem for a crazy man (Aucun rapport avec la chanson, si vous la connaissez pas, n'allez pas chercher sur google)

Date d'inscription : 19/04/2010

Prélude : apocalypse...

« We are all crazy my dear »

Il ne faisait pas très beau aujourd'hui,mais malgré tout,le soleil tenter toujours de percer,le sombre nuage de poussière qui s'était amassée autour du monde. La troisième guerre mondiale ravagea la planète. Rabaissant le nombre d'humain à quelques millions à peine qui errent tentant de survivre à cette atmosphère. Quand les bombes tombèrent par centaine sur toute la surface du globe,tout le monde tenta de fuir,en vain. Une onde de choc terrible souleva le nuage de poussière qui,depuis 99 années est en suspension au dessus de nos têtes. La vie en bas est pire. Les rares survivant s'organise pour la plupart et tente de reformer des villes,bien que ceci ressemble plus à des bidonvilles. La mélancolie omniprésente dans chacun des endroits de cette terre et la noirceur de la planète on en rendu fou plus d'un...Moi ? Mais notre folie n'est elle pas l'égal de ceux qui veulent tout reconstruire ? Notre monde est perdu...Voilà bien longtemps que je l'ai compris.
Tout se mélange dans ma tête,les idées,les sentiments,les phrases,les mots,les lettres. Mon esprit dérangé arrive tout de même à comprendre. À comprendre que notre monde est foutu,mais pourquoi tuer sans vergogne ceux que je rencontre pourquoi m'amuser du sang sur mon visage,pourquoi me délecter de leur cri horrifier ? Tout ça,je ne sait pas. Mais entre nous...Je m'en balance,j'aime ça...C'est tout,j'aime lire la douleur sur leur visage j'aime voir leur mine dépité quand il se rendent compte que leur vie se termine maintenant. J'aime trancher leur gorge et les voir se vider de leur sang,j'aime sentir leur douleur à travers ma lame. Pourquoi ? Sûrement parce que je suis fou, ils ne peuvent pas comprendre,il ne peuvent pas saisir ma personnalité,ni même mes faiblesses,je peut lire en eux et eux ne peuvent pas. Ils ont peur,voilà à quoi en est réduit la race humaine à la peur. Où est passé notre grandeur passé ? Celle où nous dirigions cette planète ? Cette apocalypse,j'aurais préféré la voir comme nos ancêtre dans les livres. Cette histoire vous raconte ma vie,celle d'un fou errant,qui tua tout le monde sans se soucier de ce qu'ils avaient fait,leur vie,valent moins que la mienne,leur vie voué à l'utopie ne vaut pas mieux que celle de ceux qui ont détruit notre monde. Les autres ordures de ce monde sont les militaires,qui n'ont apparemment rien compris de la destruction du monde et qui persiste à crée une armée pour une fois de plus ravager la planète. Le manque de soleil à aussi crée des engeances :les chimères qui sont à la tête des trois armées les plus grandes : Leaves , Opposite et Return . Ainsi,dans notre monde dévasté, se trouve : Les quelques millions de citoyens,les armées de Leaves, Return d'Opposite,et moi...

Date d'inscription : 30/04/2010

C'est bien mais tu as pris quelque chose pour base ou tu l'a inventer ^^?

Date d'inscription : 19/04/2010

Bien sûr je me suis inspiré de quelques trucs, mais cette histoire est totalement originale =)
je vais poster la suite, elle est pas très intéressante, mais elle est indispensable ^^

Date d'inscription : 19/04/2010

Le premier héros ! Solea !

Chapitre 1 : Solea

Deux hommes se tenaient là, l’un , d’une quarantaine d’années, à l’allure noble,il portait une tunique avec une insigne florale sur un blason, il fixait intensément l’homme qui lui faisait face, l’autre, on aurait pu en dire tout son contraire, relativement jeune était habillé des morceaux de cuir fortement abîmés parsemé aux endroit les plus importants de son corps le reste étant simplement couvert d’une tunique noire.il souriait avec un éclat de démence dans les yeux.Les deux hommes étaient armés l’un porté un petit pistolet, tout juste en état de marche, et l’autre, plus original était armé d’un sabre, plutôt fin, faisant au moins deux métres de longueur.L’homme au visage noble brandit son arme en direction de l’homme au sabre et il lui lança, impérieusement :

<<-Pourquoi ? Pourquoi t’oppose tu a Leaves ? Il œuvre pour notre bien, à tous ! Ton talent au combat nous permettrait de mettre fin à la vie des deux autre chimères ! Et Leaves à promis qu’il nous libéreraient tous ! Joint toi à nous tu… !>>

Il ne pus finir sa phrase que sa main disparue, et il se rendit compte avec dégoût que sa main se trouvait empalée au bout du katana, il ne l’avait pas écouté, et son rictus ne cessait de grandir, il aimait ça, il tint droit puis brandit son katana juste au dessous de la gorge de son adversaire :

« -Vous êtes chiants les émissaires, vous m’resservez l’même discours à chaque fois, et à chaque fois, j’vous butent ! Parce qu’en plus d’être chiant, vous êtes stupide ! »

Il fit volé le katana écorchant que très légèrement la gorge et profita que la tête de l’homme soit relevée pour lui donné un coup en plein estomac, le poing perça d’ailleurs celui ci,il rattrapa le katana par le bout de la lame puis lui fit terminer sa descente entre les deux yeux de « l’émissaire ».Le cadavre encore chaud s’écroula, et le rictus du « fou » s’accentua d’autant plus, il finit même par rire plein de démence.Il en était à combien ? Deux cent victimes, peut-être plus, mais c’est ça qu’était bon ! Il récupéra l’arme sur le corps sans vie, puis attrapa celui ci par le col et le traîna négligeament pendant quelques heures, la route qu’il emprunta était glauque, c’était un sentier, bordé d’arbre calciné où mort à cause du manque de soleil. L’odeur et les arbres donnait une ambiance profondément morbide, mais cela ne semblait pas le gêner outre mesure, il avancé tranquillement, des gens guettait, cela se sentait, mais il n’était pas gêné plus que ça, il avançait poussant parfois de petit rire inquiétant.Personne n’osait lui barrait la route, et lui semblait le savoir.Lorsqu’il s’arrêta, ce fut devant une immense tour faite de toute sorte de matériau, du plastique au métal.Il se présenta devant une petite porte avec un œil de bœuf.Il frappa vigoureusement à la porte on pus entendre résonner dans la pièce un « Le repas ! Le repas » et la porte fini par s’ouvrir, un petit homme, tout recourbé, aux canines extrêmement développée, avec un sourire béat se présentait devant lui, le dément lui lança le cadavre sans aucun respect et « l’animal » se jeta dessus avidement l’homme au sabre le laissa manger quelques minutes puis quand l’horrible personnage eu terminé, il se releva, reconnaissant puis lui dit joyeusement :

« ça change des utopistes ! Les émissaires sont toujours les mieux nourris !!! Merci ! Merci ! Merrrci ! En plus t’a mis qu’une heure à amener le cadavre ! T’a le droit à l’immeuble des nécrophages ! Merci ! Merci ! »

Sa voix était horriblement nasillarde, mais il lui était reconnaissant, cependant, il aurait été logique, qu’il profite de cet avantages, ralliant quelques nécrophages à sa cause –Quelle qu’elle soit – mais lui n’avait aucune logique, il ramena le sabre à l’avant, et transperça sans aucune gêne le nécrophage, celui ci dans un dernier élan de haine tenta de remonter la lame pour s’attaquer a cet homme mais il réagit à temps,il lâcha son sabre, puis brisa la nuque de l’homme avec ses deux mains.Les autres furent alertés par le hurlement final du monstre et descendirent en catastrophe l’escalier, ceci galvanisa l’homme qui sortit deux petits couteau de ses étuis à ses hanches et se jeta dans la foule qui s’était amassée en bas, ils ne firent pas long feu, et se firent décimés sans aucun remord, quant plus aucun bruit ne vinrent chatouiller ses oreilles, il sourit fier de lui puis reparti, soudain, un enfant sortit d’une des cachettes et le dément lui lança nonchalamment :

« T’aura à bouffer pour un moment ! Quand tu s’ra grand ! souvient toi d’mon nom : Solea ! Ouais…Solea ! »

Et il explosa d’un rire effrayant tandis qu’il s’en allait, traînant le sabre derrière lui, comme si il n’avait fait que passer.Ainsi était la vie de Solea, des meurtres, des meurtres par centaines, et sans aucun remords, il aimait ça, il avait même fini par y prendre goût , oui, ainsi était la vie de Solea, pleine de sang et de démence.Après avoir décimé tout ces pauvres fous, il se décida, à partir, car là bas, il avait récupéré quelque chose, un papier sur lequel ont pouvait lire :

« Solea et les deux autres ,au seizième bidonville…pour la purge »

Date d'inscription : 01/11/2008

J'ai lu l'intro, pas mal, quand j'aurai le temps je lirai le chapitre 1 Smile

Date d'inscription : 30/04/2010

J'adore vivement la suite et j'espère qu'on va voir comment Solea est devenue comme ça.

Date d'inscription : 19/04/2010

=D merci, mais deux autres vont le rejoindre Golgoth "la bête" et L'inconnu "L'illuminé", au prochain chapitre tu va découvrir la bête è_é

Date d'inscription : 19/04/2010

Le deuxiéme héros ! Golgoth !

Chapitre 2 : Golgoth

Dans ce qui restez de la forêt, un homme courait, langue négligeamment sortie de la bouche, il courait comme un animal ses cheveux d’une longueur extravagante, il était vêtu de haillons parsemé d’acier pour se protéger, et à ses mains des griffes métallique d’une acérées comme celles d’un vautour, ses yeux en amandes, était actif, il regardait partout autour de lui, ses yeux était à l’affût, soudain il s’arrêta et bondit sur le côté, ses griffes entrèrent dans ce qui semblait être de la peau et le sang gicla à profusion. L‘homme en avait attrapé un autre, cet autre homme était vêtu d’une robe blanche, et était effrayé, où plutôt l’était, la mort venait de le frapper et celle ci l’avait figé dans la douleur, une femme et un enfant était tomber plus loin, l’enfant était déjà blesser, et la femme se tenait devant lui,un bâton à la main.L’homme-bête se releva puis se lécha les doigts rougi par le sang de l’homme, il s’approcha en souriant fier de sa chasse puis déchira comme du papier le bâton que tenait maladroitement la demoiselle.

« Pétasse ! Cette endroit n’appartient pas aux utopistes, ni à personne d’autre, cet endroit est la dernière plus grande forêt terrestre et moi Golgoth j’en suis son gardien ! »

Sa voix était rocailleuse semblable à un aboiement de chien, à peine sa phrase terminée il se jeta sur elle lui déchirant le visage à grand coup de griffes, l’enfant apeuré, tenta de se protéger, mais sa jambe portait une trace de griffures profonde Golgoth le souleva en l’attrapant la gorge prenant soin de ne pas trop serrer pour ne pas lui planter ses griffes, mais juste assez pour le faire saigner, il lui lança hilare, sa langue toujours pendue :

« -Petit bâtard ! C’est toi que j’ai eu y a trois jours ? T’a eu de la chance que tes potes te défendent sinon tu s’rai d’jà mort ! »

Et il resserra ses griffes supprimant à jamais le jeune enfant, cependant, ce fut des bruits de pas ordonnés qui l’alertèrent, des soldats des pseudos-gouvernements ? Peut-être pire…Les armées des chimères était partout, mais ce fut les hurlements des soldats qui l’avait sur leur faction. C’était bien les pseudos gouvernements, il monta un arbre comme une véritable araignée et se plaça stratégiquement, pour tous les observer sans en manquer un seul, ils étaient dix, mal armés mais quelques balles aurait raison de lui, celui qui les dirigeaient avait fier allure, une grande casquette militaire, et un treillis parfait comme si il était neuf.Il bavait, il allait avoir assez à manger jusqu’à être complètement repu, il se jeta sur la troupe et profita de son effet de surprise pour en éliminer rapidement et furtivement quelques un, cependant les autres ne tardèrent pas à le remarquer et se mirent à scander le nom de la nouvelle république « L’euramérique » Qu’il étaient stupide, ils étaient armé mais pas ou peu entraîné et leur balles fusaient un peu partout tandis que Golgoth les évitaient avec une habilité loin d’être commune, ainsi, il les décima tous ou presque, en effet, seul le chef du régiment tenait encore debout, certes chancelant, mais toujours debout…Soudain, une balle fusa et explosa la tête du chef, un homme, plutôt étrange fixa longuement Golgoth qui étrangement ne se décida pas à l’attaquer, complètement omnibulé par cette aura horriblement neutre que dégageait cette homme.L’homme en question s’approcha et lui tendit un papier, un peu jauni…

« Golgoth et les deux autres au seiziéme bidonville pour la purge »

Ceci ressemblé à un piège, mais il aimait ça, et il se dirigea sans plus attendre, vers ce bidonville…Comme un mouton dans la gueule du loup…Ainsi était la vie de Golgoth, la vie des autres pour la sienne.Ainsi était la vie de Golgoth, dans le sang et la folie.

Date d'inscription : 30/04/2010

j'aime bien solea il est bien avec son sabre è_é

Date d'inscription : 19/04/2010

Et enfin le dernier héros ! FZX 636!

Chapitre 3 : FZX 636

« Écoutez la sainte parole des cieux…Oui ! Au nom des cieux je vais purger ce bidonville ! »

Les quelques personnes qui s’étaient regroupés ne furent guère inquiété par cette déclaration des plus effrayantes, l’homme qui était là, était en tenue d’ancien prêtre, un peu « arrangée » à sa sauce, car elle comportait un grand soleil d’un côté et une lune entière de l’autre, il paru un peu triste en embrassant le pendentif représentant une nouvelle fois le soleil et la lune d’un côté, il brandit un énorme pistolet complètement modifié, et commença à ouvrir le feu, son pistolet n’avait que deux coups, mais il faisait voler en éclat un bras sans difficultée, et de plus malgré sa robe, il arrivait facilement à recharger les balles cachées un peu partout dans sa soutane, les hommes sur lesquels ils tiraient était des utopistes, pour la plupart pacifiste, il se firent décimés sans aucune gêne, l’inconnu tirait sur tous ce qui bouge, enfants, femmes, hommes, et ne cessait de répéter, à haute voix : « Pour les cieux, vous allaient tous mourir ».Certes les utopistes étaient pour la plupart pacifiste, mais certains refusaient de se plier, et se battaient, comme des diables, malheureusement, aucun d’eux ne tenaient plus de trente secondes face à lui il était,disait-il l’envoyé des cieux, bien qu’il ne soit rien de plus qu’un fanatique sanguinaire.Il termina le dernier des utopistes en salto arrière, puis retomba à genoux, les mains ouverte en direction du ciel :

« Que ces balles bénites leur permettent de vous atteindre, et de les purifiés, sanctis caelum ! »

Il se redressa et constata la poussière qui lui servait de ciel et pointa le bout de son arme vers celui ci, comme en signe de prière, fermant les yeux et il marmonna silencieusement :

« J’étais aveugle,j’ai vu, je ne pouvait marcher je l’ai fait, grâce à vous ô ciel ! Bien que je ne vous ai vu qu’une seule fois, je vous remercie de m’avoir choisi moi, celui dont personne ne connaît le nom.»

Soudain, un hurlement retenti dans le bidonville jusque là désert, un homme d’imposante carrure, faisant au moins deux mètres pour deux cent dix kilos, tout ça en muscle.Mais étrangement « L’inconnu » ne fut pas impressionné et regarda l’homme avec mépris :

« -Comment ose tu m’interrompre dans ma prière aux cieux ? Si tu à peur de ne plus les revoirs, ne t’inquiète pas mon enfant, tu rejoindra tes frères aux cieux ! »

L’homme avait les larmes aux yeux et il tomba à genoux sur les cadavres de ses anciens compagnons, il frappa du poing par terre, tant d’années de travail, réduite à néant en tout juste une cinquantaine de minutes :

« Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi les avoirs tués »

Sa voix était pleine de tristesse, le prêtre se baissa à sa hauteur et lui répondit, avec un sourire réconfortant :

« Parce que ce sont des humains…Regarde le ciel, que voit tu ? L’immense poussière qui recouvre notre monde, à cause de qui ? À cause de nous…Humain ! Mais j’ai vu les cieux, resplendissant, bleu, magnifique, je n’ai pu dire qu’une seule chose, les cieux, sont nos dieux, et nous les avons trahi, en m’éclairant, il m’a désigné comme son envoyé et je te promet que quand tout sera fini, je te rejoindrais , en mourrant, tué par ma propre balle, les cieux m’ont choisi, je leur suit entièrement dévoué, sanctis caelum ! »

Il posa son arme sur le front de l’homme, complètement désespéré et lui souffla, avec un sourire qui ne manquer pas d’amour chaleureux :

« -Croit moi, nous nous retrouverons mon enfant ! »

Et la balle partie…Un homme vêtu de noir, fit son apparition, son visage était marqué d’une svastika turquoise sur un masque entièrement noir, qui lui couvrait totalement son visage, l’inconnu tira une balle et celle ci traversa rapidement la tête de l’homme, étrangement, aucune marque ni de blessure, ni de chancellement, il continua d’avancer et donna au « prêtre » le même papier donné plus tôt à Golgoth dessus était marqué :

« L’inconnu et les deux autres au seizième bidonville pour la purge »

Le prêtre aquiesca puis se mit en route en lançant :

« Le ciel en à voulu ainsi… »

Date d'inscription : 19/04/2010

Chapitre 4 : Le seizième bidonville

Ravagé, c’est la façon dont on aurait pu facilement qualifier le bidonville, ou plutôt ce qu’il en restait, Solea était là, et marchait sur les cendres de ce qui autrefois était un refuge pour utopiste, on aurait pu croire à sa tristesse, mais il était plutôt énervé, il donna un coup avec une violence plus qu’étonnante dans les cendres et jura sans aucune retenue, il finit par se lancer à lui même :

« -L’armée, ou les chimères ! Ces bandes d’enculés m’ont jamais foutu les boules, mais putain ! Ce bidonville, ces merdes d’utopistes, c’est moi qui devait les buter ! Comment y s’permettent de tuer MES adversaires, j’leur promet que j’vais les faire souffrir longtemps ! Personne, personne… NE DÉFIE SOLEA DE CETTE MANIÈRE ! »

Soudain un hurlement bestial retentit, Solea bondit sur le côté, esquivant de justesse un coup, cet homme, cette dégaine d’animal, ça n’était personne d’autre que Golgoth, qui se retourna, et lança un sourire ironique à Solea, montrant ses dents acérées il souffla puis dit :

« -Ils ont quand même pas buté toutes mes proies ! Hein l’palichon ! Y’me bute tout les utopistes, mais y touche pas aux balaises hein ! »

Sa langue pendait à la manière d’un animal et sa posture recourbé ne faisait qu’accentuée cette impression mais Solea avait vu des choses bien pires et ne se laissa pas impressionner, il le fixa méprisamment, il était doublement en colère, non seulement, il venait de se faire voler toutes ses victimes, mais en plus la seule restante le défiait :

« Putain, t’es qui connard ? J’vais te faire souffrir aussi longtemps que ces fuckin’ enculé qu’ont buté tout le monde ! »

Il se mit en garde, puis donna un coup violent dans les cendres, créant un nuage les faisant disparaître, idée stupide, puisque la bête avait l’habitude des denses forêts d’arbres morts, qui était si fréquente,celui ci traversa le nuage en distinguant rapidement les formes de son adversaire, et la bête finit par traverser le nuage et se jeta sur Solea qui encaissa le coup avec son sabre , la puissance était telle, que ses pieds commencèrent à s’enfoncer en terre.La bête fit quelque salto, le faisant revenir à sa position de départ, il sourit en se léchant ses griffes métallisées, puis Solea se mit à rire,comme à son habitude avec démence, il semblait galvaniser par le combat qui venait de débuter et lui dit :

«-Ouais ! Putain Ouais ! J’aime ! vient te battre ! »

Golgoth fini par sourire lui aussi, et recommença à se battre, les coups s’enchaînèrent, jusqu’à ce que soudain, il réussi à placer un coup, son habileté au combat rapproché était sans égale alors que Solea tentait désespérément de s’éloigner un peu, parant les coups à la va vite, il privilégiait le corps à corps dit : « à distance ». Il s’éloignèrent tout les deux et Solea recommença à pousser son rire tonitruant, et Golgoth le suivait avec un style plus animal, tout cela n’était qu’un jeu, et leur folie, bien que clairement différente, en quelques sortes, les unissait, soudain, une balle fusa, et vint taper le sabre de Solea, lui retirant des mains, une seconde arriva et effleura la joue de la bête, l’homme qui venait de tirer cette balle, était impassible calme, il ne pouvait s’agir que de l’inconnu, qui était tant redouté pour son habileté avec son arme si puissante.Les trois hommes était ainsi réuni, l’homme en soutane, s’approcha des deux autres, un peu interloqué par cette soudaine apparition, l’homme en soutane, avait les larmes aux yeux :

« Mes enfants ? Pourquoi ? Pourquoi l’armée veut-elle me retirer ma mission divine ? »

Il jeta le cadavre d’un militaire, dans un piteux état, le visage à moitié explosé par l’une de ses balles, l’anthropophage, ne résista pas à l’envie de se jeter comme l’animal qu’il était dessus pour dévorer ce qu’il restait du corps, il était répugnant, déchirant les habits, violemment, et enfonçant ses dents dans la chaire humaine.Le prêtre en soutane fit un signe religieux puis souffla :

« Pardonnez moi, mes seigneurs, si je ne pus abréger les souffrances de ces deux animaux tout de suite, mais je ne me doit pas de mourir, et ce sont les seuls capables de m’aider ! »

Golgoth toujours à dévorer sa proie, n’était guère préoccupé par les propos quelques peu inquiétants du « prêtre », mais Solea lui souriait ricanant quelques fois.Il finit par dire en tendant son sabre, qu’il venait de récupérer :

« Qui t’es toi ? T’es un fuckin’ prêtre ? »

L’homme lui sourit gentiment comme s’il s’adressait à un enfant :

« Mon nom n’a pas d’importance, je l’ai oublié, depuis que je me suis dévoué aux cieux , sanctis caelum, sanctis caelum ! Le plus important c’est que les armées de l’Euramérique, sont en train de raser les bidonvilles les un après les autres, au lieu de les purger, il les rasent sans âmes, et apparemment, ils nous avaient envoyés ici, pour faire d’une pierre deux coups, ils sembleraient que vous aussi soyez des purgeurs ?»

Golgoth répondit à la place de Solea :

« -Lui c’est chais pas s’que c’est ! Mais moi, j’me bat pour me nourrir, et tu m’a pas l’air bouffable ! »

Solea le bouscula puis lança :

«-Ta geule le vert, moi j’suis un juste un taré ! qui bute tout le monde ! Et j’te propose d’aller y passer aussi ! »

Sa phrase se termina par un horrible rire et il donna un coup de sabre, l’inconnu n’ayant pas vu venir le coup bondit en arrière tout en tirant sur les deux hommes, pendant ce temps, Golgoth était passé derrière Solea et tenta de lui asséner un coup dans le dos, cependant, il l’avait vu venir, et esquiva sans problèmes l’attaque lancé contre lui.Une fois le coup esquivé, le dément, atteignit l’illuminé qui para le coup avec son pistolet, avec un soutien manuel, mais pendant sa parade, une de ses phalanges se brisa, mais il répliqua immédiatement en tirant une balle vers la bête qui la détruisit, mais la balle fut déviée et un éclat revint vers son visage.Ainsi, ils était tous légèrement blessé, une phalange cassée, une coupure et un éclat de balle dans la joue, mais pourtant, aucun d’entre eux ne semblait gêné, Solea souriait, Golgoth avait la langue pendante et l’autre restait comme toujours impassible, mais ce fut des appels qui les firent soudain tourner la tête, un homme se tenait là, des lames hérissait son corps qui semblait le torturer, un autre apparu, aux deux ailes , l’une démoniaque et l’autre angélique, son visage se contrasté, affichant une peau d’un sombre rouge d’un côté et d’un blanc clair de l’autre, et enfin le dernier à apparaitre avait un nombre incalculable de bras et des mandibules ces hommes étaient les trois chimères, ces hommes étaient Leaves,Opposite et return…

Date d'inscription : 30/11/2008

Ayé, ai tout lu!!!

Le contexte est assez vu et revu (apocalyptique) mais bon, après il faut bien le traiter. Or là, tu ne fais qu'enchainer des scènes de violence, sans donner de profondeur à l'histoire. Même si c'est pour la présentation de tes personnages, mettre pour les trois l'accent sur leur côté psychopathe avec plein d'hémoglobine fait un peu répétitif.

Ensuite, je ne sais pas si c'est volontaire, mais dans le quatrième chapitre, y'a tellement de "fucking" que c'en devient ridicule. Tes personnages ont beau être très vulgaires, abuser de gros mots les tournent en ridicule. Et aussi, pour montrer la folie de tes persos, ça donne le même résultat:

Kuja le faible a écrit:: «-Ta geule le vert, moi j’suis un juste un taré ! qui bute tout le monde ! Et j’te propose d’aller y passer aussi ! »

Ensuite, dans ton dernier chapitre, tu parle des mecs qui viennent d'arriver comme si on était censé savoir qui c'est. Or, durant ma lecture, j'ai bien du voir leurs noms, mais c'était pas assez développé. Ces personnages arriveraient trop tôt?

Pour l'instant, j'ai pas trouvé ça vraiment intéressant, puisque que j'ai vu qu'un flot de violence gratuite.

J'attends tout de même de voir ce que va donner la trame principale, bonne continuation^^

Date d'inscription : 19/04/2010

è_é Je vois, je vois, pour la psychologie je comptait la faire avancer au fur et a mesure ^^ et ces "personnages" ce sont tout simplement les trois héros, aurait tu lu trop vite =P

et pour les fuckin', c'est fait exprès xD j'te jure que j'vais me calmer...Les prochains chapitres seront plus "psychologique" ^^

Date d'inscription : 30/11/2008

Je parlais de Leaves, Opposite et return qui apparaissent juste à la fin^^

Date d'inscription : 19/04/2010

Ha ! Y sont dans l'prologue les trois "chimères", mais disons qu'y faut bien les rencontrer un jour, on en parle quasiment jamais Razz

Date d'inscription : 30/11/2008

Ouais mais quand tu en parles, on à l'impression qu'on est censé savoir qui c'est, je pense que t'aurais du développer leur "réput'", un truc dans le genre, pour qu'on sache qui c'est vraiment. S'comme si dans une histoire, tu mets "Roger arrive" sans que l'on ai expliqué qui était vraiment roger^^

ou alors fallait ne pas dire leur noms et juste les décrire^^

Date d'inscription : 19/04/2010

Ben y Solea en parle rapidement bref...Faut que j'écrive la suite mowa è_é

Date d'inscription : 19/04/2010

Chapitre 5 : Guerre

Solea et Golgoth était immobile, leur sourires, pourtant si présent tout à l’heure venait de disparaître, avait il…peur ? Non, ils semblaient y avoir autre chose, autre chose comme de la familiarité…Solea, fit quelques pas en avant, comme si il cherchait à s’approcher de son adversaire, ces pas étaient hésitant c’était à se demander comment pouvait-il tenir debout. Golgoth le suivait de près, ils étaient comme hypnotisé par ces nouveaux arrivants, Golgoth était comme possédé, lui qui haïssait les humains, il semblait retrouver son frère, son ami, le même phénomène était en train de se produire chez le dément, qui s’avançait, presque contre son grés.En vérité, aucun des deux n’avait jamais vu les chimères, ils s’avançait donc vers elles sans savoir qui elles étaient, jamais depuis la dernière fois, il n’avait suivi aveuglément quelqu’un.Golgoth n’avait pas non plus suivi quelqu’un ainsi depuis des années, et pourtant, une étrange confiance les animés.Les trois chimères, s’approchèrent à leur tour. Et ils s’étreignirent tout 5, tel d’anciens frères se retrouvant après des années d’absence, une larme coula sur la joue de Golgoth, et Solea se contenta de rire béatement, dans les bras de personnes qu’il n’avait jamais, vu…N’était-ce pas pathétique ? Une balle fusa, perçant le bras gauche de Solea, et traversant l’estomac de la chimère aux mandibules…Le numéro 636 :

« -La prochaine fois, c’est la tête »

L’illuminé était resté là, regardant avec haine cette horrible démonstration d’amour.Soudain, ce fut à son tour de se poser des questions, pourquoi ne l’avait-il pas tué sur le coup ? Était-il lui aussi en rapport avec eux ? Non…Ça n’était pas possible…Il n’était pas une des horreurs des cieux, mais cette question revint l’assaillir, pourquoi n’avait il pas tiré ? Pourquoi ? Il tomba à genoux, se tenant la tête, il n’avait jamais eu depuis…sa naissance, à se poser de telle question, mais celle ci en souleva une autre, quant était-il né ? et la dernière, fit aussi son apparition…Qui ? Qui était-il ? Tant de question qu’il ne s’était jamais posée, lentement, il sombra dans le pays des songes, laissant les autres aux chimères.
Cette balle venait en quelque sorte de les ramener à la réalité, ils étaient misérablement tombé dans les bras des chimères, dont une avait un trou plutôt imposant pour une simple balle, mais les dommages étaient collatéraux et un trou de même envergure avait fait son apparition sur la main de Solea.Golgoth et lui s’étaient écarté, mais Solea était énervé, il s’était rendu ridicule.Il commença à rire nerveusement, puis se jeta, comme un fou dans sur son adversaire, tranchant celui-ci en deux à l’aide de son gigantesque katana, au lieu de tomber en hurlant de douleur l’image de la chimère s’évanouit, quand Solea tourna la tête, il se rendit compte que Golgoth venait de faire la même chose.Cependant, dans leurs coups, ils leur avaient semblé ressentir une appréhension au coup.Dans leur disparition, les chimères rirent et celle aux deux facettes lança un peu moqueur :

« -Ainsi, vous avez choisis la voie de la solitude, je vous avertis, vous serez seul, contre tous…L’armée, les utopistes et enfin les trois chimères…Vous êtes…Perdu… »

Et ils disparurent en un éclat de rire. Solea et Golgoth ne furent pas immédiatement convaincu…Une grossière erreur.Lorsqu’ils comprirent, qu’enfin, ils n’étaient plus seuls, des deux côtés, cinq armées se dessinaient de tout les côtés, ils étaient à présent seul, au milieu de tout, au milieu de la guerre…

Chapitre un peu court, j'en suis désolé, mais j'ai introduit un peu plus de psychologie, enfin j'ai essayé Razz

Date d'inscription : 30/11/2008

Un peu brouillon le coup de la balle, et la scène "d'embrassade", bien qu'originale, n'est pas forcément bien amener. Si tu veux mettre l'accent sur la psychologie c'est ton choix, mais je te conseillerait alors de passer plus de temps sur chacun des personnages, ceux-ci étant à priori complexe.

Date d'inscription : 19/04/2010

Ho yeah ! Mais je me suis rendu compte, que Solea était un peu trop proche psychologiquement de Golgoth, j'ai essayer de rendre Golgoth plus sérieux.

Date d'inscription : 30/11/2008

Bah l'autre prêtre s'en rapproche aussi, puisqu'au final ils sont tous cinglés et ultra-violent. Et Golgoth, c'était plus une bête, non? Ca serait lui qui devrait être le plus déshumanisé, non? m'enfin, fais comme tu veux^^

Date d'inscription : 19/04/2010

Ben ouais, il bouffe les gens quoi Very Happy

, le prêtre lui est plutôt complétement illuminé si il est violent, c'est pour sa cause quoi =D

Date d'inscription : 30/11/2008

Oui mais au final, ils sont tous ultra-violents... Ils peuvent dire n'importe quoi, dans leurs actions, ce sont les mêmes. Après, tu as le droit de les faire pareil, c'est un choix.

Ah, et ton scénario se lance peu à peu, mais il n'a pas l'air très original...

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