L'assaut dans les montagnes n’allait pas être plus dur que ce que j’avais vécu avant… Ca, c’est ce que je croyais. Quelques heures après m’être endormis je me réveillai et sortit de la grotte le ventre bien remplis du repas d’hier soir. Je me lançai alors dans les montagnes. Elles étaient tellement grandes que leurs sommets dépassaient même les nuages. Heureusement que je devais simplement faire le tour puisque la cascade se trouvait derrière la grande montagne qui se tenait sur la gauche. D’où j’étais ou pouvait déjà voir le chemin qui se dressait sur le côté du mont. Alors, d’un pas décidé, je me précipitai vers la montagne. Le chemin était blanc, d’un blanc pur et immaculé. Seul mes pas et ceux de certains d’animaux étaient présents et incrustés dans la neige. C’est alors que je pensais que les humains gâchaient tous et m’arrêta net dans la neige pour observer celle qui était devant moi. Après tout… Qui est-ce qui enlevait le chemin de la neige en traînant ses pieds dans la neige : les hommes. Qui est-ce qui tuait les animaux pour en récolter des fourrures où autre ? Les hommes. Les êtres vivants étaient la cause de plusieurs disfonctionnement dans ce monde, et même dans le pays où j’étais je devrais faire quelque chose contre ça… Qui sait ? Peut-être que la bête est née de façon génétique ou autre. En tout cas, il fallait que je trouve comment et pourquoi cette bête avait fusionné avec l’explorateur qui était venue, comme son nom l’indique, explorer la nouvelle grotte qu’il avait découvert. Peut-être avait-il trouvé un trésor et qu’il voulait le garder pour lui, d’où l’invention de la bête ? Non, il se doutait bien que quelqu’un enverrait une autre personne pour vérifier… Mais alors, il allait l’intention de tuer ceux qu’il trouverait sur son passage ? Toutes ces idées cogitaient dans mon cerveau à telle point que j’en avais mal à la tête. Je ne devais pas penser à ça tout de suite. Je le verrai en tant voulu.
Je continuai ensuite mon chemin vers ses grandes et magnifiques montagnes et quelques heures plus tard j’étais arrivé devant l’une d’elle. Je tournai ma tête à droite et à gauche pour apercevoir qu’elle montagne je devais prendre pour me rendre à l’endroit prévus et continuai de marcher en direction de celle-ci. Enfin, j’avais enfin atteint la route que je devais prendre, mais devant elle ce tenait deux boucs d’un blanc assez intense et des cornes d’au moins un mètre de long. Ils étaient assez grand et prenaient la place du chemin à eux deux. Au début, je ne savais pas s’ils allaient m’attaquer ou s’ils comptaient simplement rester sur mon chemin. J’eus la réponse à ma question quand une des deux bêtes se jeta sur moi, les cornes en direction de mon ventre. D’un pas certain sur le côté j’esquivai son attaque puis je lui pris une de ses cornes avant le balancer contre le sol. Le bouc releva une quantité assez élevée de neige avant de rester sur le sol. Je l’avais juste assommé, car je n’avais pas envie de le tuer. L’autre bête fonça alors sur moi au moment ou je ne m’y attendais pas et me percuta entre ses cornes de plein fouet. Un filet de sang sortit alors de ma bouche avant de tomber sur la neige, pendant que moi j’étais déjà sur le sol. Le coup que m’avait donné la bête blanche m’avais simplement fait mal sur le coup, mais par la suite, je ne sentais plus rien. Sans mal, je me relevai pour essuyer mes vêtements de toute cette neige. Le bouc, lui, comme un taureau commençait à gratter du pied le sol avant de me charger. Je cherchai le moment où il allait me percuter et juste avant de recevoir le coup, j’agrippai mes mains à ses deux cornes pour l’empêcher d’avancer. Bien sûr, au début je reculai légèrement, mais une fois stoppé je soulevai le mouton blanc dans les airs pour ensuite tourner sur moi-même et le faire écraser sur la falaise de la montagne. Je me frottai les mains d’avoir enfin battus cette bande de bouc avant de repartir vers mon chemin initiale. Après un combat comme ça, je ne risquai pas de plaindre d’avoir froid ! La route que j’empruntais était assez étroite et à tout moment je risquai de tomber dans ce qui était les abysses de la montagne. Je pensai m’en tiré sans danger, mais arriver au milieu du chemin je fis la connaissance de trois boucs qui à vrai dire, n’étais pas tellement content de me voir puisque l’un d’eux se jeta sur moi. Dans mon précédent combat je les avais déjà observés et contre eux, je ne risquai rien. J’esquivai sans mal la première attaque de cette bête sauvage, mais c’est à ce moment là que les deux autres se mirent à m’attaquer. Je les regardai bien, puis à l’instant où il allait me percuter je sautai dans les airs, puis gonflai mon poing pour qu’une tête de dragon apparu. C’est alors que je le lançai sur les trois boucs assommés tout en criant : « Poing du Dragon ». L’attaque n’avait pas été critique pour eux puisque j’avais bien évidemment baissé sont taux. Epuisé mais content, je continuai mon chemin et quelques minutes plus tard j’étais enfin arrivé à la fin du chemin où m’attendais quelqu’un.
Il était tellement grand qu’il faisait au moins deux mètres de haut pour 200Kg… Ses cornes étaient tellement grandes que si elles me pénétraient, elles ressortiraient de mon corps. C’étais un magnifique taureau…Je pris alors une grande inspiration. Pourquoi tous ses animaux m’attaquaient comme ça ? Voulaient-ils protéger quelque chose ? C’était tout de même bizarre. Enfin pour l’instant je devais battre ce taureau, je n’avais pas d’autre alternative si je ne voulais pas mourir. Je préparai alors un Super Kaméhaméha que je lançai quand il me chargea… Mais la poussière dissipé, je remarquai qu’il avait juste quelques brûlures sur son poil. Il fonça alors sur moi avec une telle vitesse que je ne pus esquiver qu’une corne, puisque une des corne se planta dans mon épaule et je fus percuter par la tête de se monstre. Il leva sa tête pour me balancer juste à côté du chemin. Par chance je me rattrapai à une pierre avant de le voir venir vers moi. Il n’était pas bête et voulais me faire tomber, mais moi. Je mis mes deux doigts sur ma tête et concentra une force au bout de ceux-ci et c’est au moment où le taureau marcha sur ma main que je lançai le Makankosappo qui rentra dans sa tête pour ressortir de l’autre côté. J’en avais fini de l’épreuve de la montagne et à partir de maintenant je pouvais continuer pour atteindre le souterrain. Une fois sortit d’affaire, je cherchai une grotte pour me reposer cette nuit et une fois trouvé, je m’y installai pour dormir jusqu’au levé du soleil… Demain serait un grand jour pour moi, le jour où j’allais enfin avoir la réponse à toutes mes questions… Je l’attendais avec impatience !