J'étais sur Terre juste à présent. Je me disais de découvrir une nouvelle planète ne devrait pas être si mal. Je me rendis sur Namone, il y avait une quête sur cette planète. Un soit disant héros qui fait de sacrées bêtises tout en essayant de les protéger. Ils ont mis une tête à prix du fameux justicier pour une somme de 1000 zenies. Sa me convenait parfaitement moi qui est une personne généreuse et noble. Je suis prêt à protéger mes amis dans tous les cas et aussi à aider les pauvres personnes en difficultés même si cela m'est impossible. Je pris une capsule et j'entrai les coordonnées de Namone. D'après ce que me dit la machine, le voyage durera trois jours et nuit. Après sa, la porte de la capsule s'est refermé et s'éjecta de la piste. Je m'envolais dans l'espace, c'était étrange de voir la Terre au loin. J'avais une étrange sensation de regret de la quitter. Cette planète ou j'y ai vécu toute ma vie et ou j'y ai tout appris dont l'amitié, la joie de vivre... Après quelques heures , j'observais l'espace. C'était beau, un endroit rempli d'étoile à proximité de soit dans un endroit sombre mais il y avait ces lueurs qui étaient des astres qui montre chaque vie humaine peut-être. Je fini par m'assoupir après quelques heures de vue. Trois jours après, j'étais arrivé devant la planète. Ma capsule spatiale était en train d'atterrir sur un objet mou pour éviter que le sol soit détruit. C'était en quelque sorte mon premier atterrissage, je ne savais pas quoi faire. Donc j'ai attendu, au contact de l'objet et de la capsule, j'étais tout chamboulé. C'était trop bizarre, j'avais une envie de vomir. Comme si j'étais dans les montagnes russes. La capsule s'ouvra et j'y sortit, après quelques pas, j'ai dégueuler sur le sol. Après avoir dégueulé, je me senti un peu mieux. Je me haleta au village maléfique, au moment ou j'arrive, je trouvais ce village particulièrement bizarre. Il faisait assez sombre, les habitants de ce village étaient très étrange. Il avait une aura maléfique qui dépassa toute ceux qu ej'ai rencontrés auparavant. J'avais très peur même, je suis parti dans une maison et demande :
« Bonjour, je suis venu ici après avoir vu votre requête. Il paraît qu'un justicier fait un peu n'importe quoi dans le coin. Mais où pourrais-je le trouver ?
- Bonjour, tu pourras le trouver tout en haut de cette colline. Il pointa du doigt la colline.
- Ok, merci et désolé de vous avoir dérangés.» A chaque mot que je disais, je ne le disais pas fort du tout.
Je sortit de la maison et me rendit à l'endroit indiqué. J'arrivais devant la maison, elle était terrifiante de l'extérieur. J'ouvris la porte de l'entrée et j'y pénétra. Il faisait moins lugubre qu'a l'extérieur. Le fameux justicier avait senti ma présence donc et venue m'accueillir. Il savait s'en doute pourquoi, vu sa position. Moi j'étais normal, je faisais semblant de qu'est-ce qu'il me veut lui... Son visage montra qu'il avait l'air perdue. Je sortis mon épée, mon hirondelle me suivait de très près. Je m'apprêtai à faire un bond dès que l'hirondelle se mit en place. Une charge d'énergie m'entourait, pendant ce temps je courais, j'étais très rapide et quand j'arrivais devant mon adversaire. Il avait repris ses esprits et il vit un raz-de-marré d'eau dans sa demeure. Il n'y avait aucun moyen de l'esquiver de si près. Mais il rassembla ses deux mains et les mis en arrière, quand le raz-de-marré allait l'atteindre, il projeta ses mains à l'avant. Elle contenait de son KI, une onde de choc sinistre en forme d'un dragon allait sur moi. C'était surement sa plus puissante technique donc sa décidera l'enjeu du combat. Si je détruit cette technique donc je gagnerais. On était de force égale, l'énergie qu'on vient d'utiliser se formait en une boule, un coté bleu et un coté noir. Le coté bleu le remporta un moment mais ensuite le coté noir remonta... sa continuait comme sa pendant quelques minutes jusqu'à que la technique explosa. On avait reçu de plein fouet les deux techniques en même temps. Nos vêtement était en lambeaux, il restait seulement quelque morceau qui trainait. On était tous les deux à terre et on se releva mais on avait du mal. On tenait à peu près plus debout. Il courut vers moi, a bout portant, je fis une série de coup d'épée extrêmement rapide mais moins rapide que d'habitude. Arrivé au 30ème coup, il n'avait l'air plus vivant. Je sortit de la maison et me rendit de nouveau au village. Un villageois passait là par hasard et je lui dis :
« C'est bon j'ai fini le travail »
Je repartis directement ensuite comme j'avais l'habitude.