Excusez moi du retard, mais le concours à été un total fiasco!
Finalement, les inscrits sont :
Moi, Juha, Kai, et Gothax.
Voici les textes!
Texte n°1 :
Je me balladais dans un supermarché, je passais par le saucisses ou se dressait devant moi un paquet de saucisses de morteau violettes. Je pris le paquet qui me tint ce language « Mouhahaha mange moi et tu deviendra violet ». Je me dirigea donc vers la caisse ou je reussi a payer ce paquet. J'en mangea un premier ma main devint violette j'engoufra tout le paquet avec energie et tout mon corps était violet. Un portail intertridimensionnel se forma devant moi. Un extraterrestre violet a corne me parla en me disant « Je suis Ginyu! Toi homme violet tu es mon ami » Il reparti dans son portail en me faisant un signe. Je me dirigea a nouveau au super marché, cette fois ci rayon informatique. J'acheta un clavier orange fluo, des enceintes jaunes comme les pigeons parisiens et une souris couleur champignon. A la sorti le portail réapparu, l'extraterrestre réaparu et me dit « Tu n'as rien de violet? Tu vas donc subir mon chatiment. » Il me donna une tappe sur l'épaule puis je redevint blanc, ma couleur d'origine.
La moralité est qu'il ne faut jamais faire confiance a un violet.
Texte N°2 :
Un rêve ? Ah, oui, sacré nom. Je me souviens, c'était il y a deux semaines. Pendant la journée, j'avais eu un cours sur Michel Henry. En plus d'être un amateur de saucisses de Morteau, ce brave homme était un penseur de la vie, de la conscience, et du monde humain. Nous avions lu un de ses textes. Il était question de ce qu'était la vie pleinement vécue et assumée. En fait, à ses yeux, cette vie n'existe qu'en l'être humain pour une bonne et simple raison : lui seul est réellement en mesure de l'éprouver dans tout son être, à travers son corps, sa sensibilité vis-à-vis du temps et sa conscience. Dans cette mesure, l'animal et le végétal sont demi-morts.
Ce rêve était en fait l'histoire d'un pigeon parisien. Tandis que je marchais seule au milieu du mystérieux univers des Pyrénées enneigées en automne, humant un air gorgé d'une bonne odeur de champignon, je tombai sur une foule de randonneurs. C'était une ruée vers l'or, comme si chacun désirait trouer l'horizon de ses pas le premier. Moi qui croyais être seule, je n'en croyais ni mes yeux, ni mes oreilles.
Le soir venu, je n'ai pas été capable de trouver un endroit de parfaitement libre pour dormir à la belle étoile. J'ai posé mon sac de couchage sur une sorte de corniche à flanc de montagne. Des anglais s'y trouvaient déjà, à l'opposé. Creusée dans la roche, il y avait une ouverture, qui donnait sur une porte, elle-même s'ouvrant sur une pièce chaude à l'intérieur de laquelle était posé un four (que j'ai d'ailleurs été incapable d'utiliser correctement). Plus loin, il y avait un nombre incalculable de galeries. A force de m'y promener, je suis parvenue à l'ambassade européenne... Deux hommes en costume, croix de la légion d'honneur agrafée au revers de leur veste, m'ont demandé de sortir, et de ne plus chercher à revenir.
De retour aux côtés des anglais, j'ai remarqué un étrange pigeon qui les accompagnait. C'était un de ces vulgaires animaux corrompus et dénaturés qui venaient poser leurs horribles chiures sur les bâtiments historiques et les statues, et qui n'avaient pas peur des hommes. Pourtant, il y avait quelque chose de différent chez lui. De petites plumes d'un rose très doux avaient poussé sous ses ailes. Son regard était affuté, et son bec, crochu comme celui d'un jeune rapace. Je ne fus même pas surprise, lorsqu'il se mit à me parler dans un français impeccable. En quelques mots, il me fit le récit de son histoire : simple crevard parisien, il avait un jour remarqué sur la Seine de longues traînées violacées, un violet très vif, à en faire pâlir Ginyu d'envie. Ces ondes de couleurs étaient radioactives et, soudain, son sang s'est mit à réagir curieusement. En une fraction de seconde, par l'entremise de la corruption de son organisme, il s'est mis à avoir une consience, et sa première pensée a été pour la vie qui l'habitait.
Alors, écœuré, il a prit ses ailes à son cou et a fuit Paris. Depuis lors, il suit les deux anglais qui, férus de randonnée, passent leur temps hors des villes. C'est ainsi que ce brave pigeon espère se soigner...
En me réveillant, j'ai rit de bon cœur. C'était un peu comme si la bête qui sommeillait en moi s'était brutalement rebellée contre Michel Henry, et avait tenté de lui répondre avec ses propres arguments (qui n'en étaient pas, du reste...)
Texte n°3
Mon nom est Patrick, un jeune élève de terminale, ainsi qu’un friand de Mathématiques. Je bosse dessus à fond tout les soirs, mais cela, je pense que vous vous en fichez. Aujourd’hui, je vais vous raconter un rêve très étrange, auquel j’ai du faire face, lors d’une nuit, la veille de mon Baccalauréat.
Je finissais en vitesse mes devoirs de Mathématiques, car il était tout de même 2 heures du matin, et que j’avais cours le lendemain. Je me couchai dans mon lit, les idées pleines d’équations, et de fonction, ainsi que ce fameux théorème de Pythagore. Mes yeux se fermèrent devant mon livre de Guy de Maupassant : Une vie. J’attendais la douce mélodie du rêve arrivé.
Je me trouvai à présent dans un univers sombre. Le paysage au fond était rouge et noir, et un avion volait en l’air, avec une banderole disant : « La saucisse de Morteau Bilibili vous remercie ! »
« C’est quoi ce Bordel ? »
J’avais sorti ça malgré moi, car je ne dis jamais d’injures d’habitude. J’explorais ce paysage étrange, découvrant des monuments bizarres, comme une statue de pigeon parisien difforme, où encore des structures en forme de boules, qui flottaient en l‘air. Sur la suite de mon chemin, je rencontrai un homme, un homme avec des cornes, et avec une peau violette. Je m’approchai de lui en l’observant d’un air comique. Puis, soudain, il se tourna en faisant une espèce de chorégraphie et en disant :
« Le commando Ginyu va vous tuer ! »
Je sursautai, je ne m’attendais pas à un tel spectacle. L’homme s’approcha du pigeon parisien avant de dire :
« Voici la statue à mon effigie !, je suis le DIEU de ce royaume… »
Je m’approchais de lui en lui touchant l’épaule, et je lui dis :
« T’as pas l’impression d’être débile ? T’as mangé un champignon hallucinogène ? »
L’homme se retourna et devint tout rouge. Il lui hurla dessus :
« QUOI !?? Mais c’est toi qui es fou ! Tu es aussi débile qu’une saucisse de Morteau ou quoi ? »
L’homme commença à baver, et en sortit une de sa poche. Je souhaitais quitter ce rêve à tout prix. Je vis l’homme transformer sa saucisse en épée, et il me poursuivit :
« Je vais te saigner ! »
J’attendais le coup d’épée, quand elle fit un bruit énorme. C’était mon réveil.
Le lendemain, lors de mon Bac, j’étais tellement troublé, que j’écrivais les mots Ginyu, Saucisse de Morteau, et Pigeon parisien dans ma rédaction de Français. J’ai raconté mon rêve avec détail, comme je vous l’ai raconté maintenant. Mais malheureusement, ca n’était pas le sujet…
Texte n°4
Voila, mon rêve étrange... Il s'est produit cette nuit, pour être étrange il l'est ça je peux vous le dire. Alors en fait, c'était un soir, je me trouvais avec Mogin, Jr et Ginyu (Alexis, Jean et Rudy). On mangeait tranquillement des saucisses de morteau. Il faisait déjà noir. On finit de mangé à l'aise, en fait on mangeais dans le jardin de Rudy. Après une trentaine de minutes ou on à tous digéré, Mogin (alexis) eut la brillante idée de jeter des pétard cher les voisins de Rudy qui eux, avaient la fenêtre ouverte. Jean sortit sortit alors un briquet et le donna à Mogin. Rudy insista pour les allumer. Il prit les pétards à Alexis et en alluma un pour directement le lancé dans la maison du voisin.
A la place de courir, nous sommes resté sur place jusqu'à attendre le bruit d'explosion du pétard. Il fallut attendre seulement une dizaine de seconde avant de l'entendre péter. Le voisin de Rudy vint alors à la fenêtre et se mit à nous gueuler dessus comme un possédé. On décida alors de courir mais le vieil homme s'exclama avant. Il nous menaça et dit alors qu'il va nous lancé ses pigeon parisien. Le vieil homme partit et on décida de partir en courant. Une longue s'offrait à nous et on commençait alors à la faire en courant. Après cinq petite minutes, le vieux sortit de cher lui avec des cages ou des pigeons étaient enfermé. C'était surement les fameux pigeon parisien et ils les libéra pour nous les envoyé. Les pigeons se mirent à volé après nous. On décida alors de virer sur la gauche. Mon rêve commençait a être flou...
On entrait dans celle-ci. Les pigeons nous cherchaient surement. Tous ce que l'ont pouvait voir dans cette forêt était des arbres et des champignons. On s'arrêta de courir et on marchait lentement histoire de reprendre un peu notre souffle. Quand alors en marchant, un piège nous a été tendu et nous sommes tombé dans un trou.
C'est la que ma maman est venue me réveiller en me disant qu'elle m'avait fait un bon chocolat chaud !
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Sujet: Racontez votre Rêve! 
Dim 5 Déc - 16:17
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