Les champs d'Ajissa

Date d'inscription : 13/02/2011

J’étais donc arrivé dans ce village. Apparemment, les habitants ne se doutaient pas de ce que je venais de faire à leur voisin. Ca arrange donc toutes les choses. J’arrêtais quelques Nameks pour leur demander ou était leur chef. L’un d’eux me montra une petite maison au milieu de la ville, je m’y rendais sans attendre en défonçant la porte à coup de pied. L’homme me regarda, il devait être surpris de ma façon de rentrer. Je tapai un grand coup sur la table avant d’entamer la conversation :

« Je veux… 3.500 Zénies pour la mission.

Mais… Quelle mission ?

Un homme m’a dit que vous offriez une récompense pour qui conque vous débarrasserez du fou qui a implanté un virus dans la forêt d’Ajissa.

Ah… Hey bien c’est d’accord… Même si je trouve la somme un peu grosse. »

Je m’en allais en rétorquant que ce n’était pas négociable, direction cette forêt toute moisie. Elle n’était pas bien loin et après 5 minutes de marche je me trouvais déjà devant cette tonne de bois. J’entrais sans broncher, regardant les arbres pourrir… C’était vraiment horrible, sur leur tronc se tenait une marque orange. Je devais donc trouver le responsable, mais comment ? Cette forêt est gigantesque ! C’est alors que devant moi, un arbre tomba… pour ensuite se relever. Attends… Depuis quand un arbre sa marche et sa t’attaque ? D’un pas sur le côté j’esquivai l’attaque avant de couper ce qu’on pourrait appeler le « bras » de l’arbre. J’enchaînai alors avec un coup de pied qui fendit l’arbre en deux. Il était redevenu ce qu’il aurait dû rester : du bois pour le feu. Malheureusement, un de perdu, dix de retrouver. Le proverbe est souvent vrai étant donné que là, j’avais neuf arbres mutants-tueurs devant moi. En partie, je ne pouvais rien faire, sauf que j’avais une idée. Les arbres m’attaquèrent en même temps, tandis que moi je tendais tranquillement le bras. Le choc s’arrête net juste avant ma main. Ma nouvelle création marchait donc… Je sautais en l’air derrière l’un des mutants avant de mettre mon bras dans son dos. On entendit un petit « clic » avant que le tronc de l’arbre de soit complètement détruit. L’impact… Petit objet ressemblant à un coquillage capable d’enfermer la pression d’une attaque pour la rejeter par la suite quand je l’enclenche.

Il n’en restait donc plus que huit, ça ne devrait pas être très compliqué étant donné leur intelligence… inférieure. Je sautai alors sur la « tête » d’un des arbres et armai mon arme vers le haut afin de lancer une « Emerald Sword » sur le troupeau d’imbécile… Mais je n’avais pas prévus leur réaction qui consiste à attaquer leur allié afin de me faire descendre, chose qui par ailleurs marcha, du moins qui allait marcher avant mon petit saut dans les airs. J’enchaînais ensuite par mon attaque que j’avais prévus. Deux en moins, deux. Il n’en restait donc plus que cinq. Alors que j’étais revenue sur le sol, un mutant m’attaqua. Une rapide esquive ne me sauva pas, mon visage fut coupé. Ca n’allait pas se passer comme ça… Je pris alors mes deux sabres et me positionnais face aux arbres. D’une vitesse à couper le souffle je passai littéralement dans le tronc d’un des arbres. L’action se répéta encore quatre fois afin qu’il ne reste aucun monstre. S’en était fini d’eux… J’allais rentrer au village… Du moins avant qu’un homme, mi arbre-mi humain s’interpose devant moi.

« Toi !! Tu as balayé mon armée. Je ne te le pardonnerais jamais ! Crève »

D’un coup, il me balança une sorte d’énergie verte. Je mis mes deux sabres devant moi pour me protéger de ce choc. C’était donc lui, le chef de ce projet. Il ne lui restait plus beaucoup de temps à vivre, mais il était assez puissant je dois le dire. Je courus vers lui afin de lui donner un coup de sabre, mais il para mon attaque pour essayer de riposter en me plantant son bras dans mon ventre. De ma main gauche, j’attrapai son bras pour littéralement le broyer avant de lui donner un coup de boule qui le fit reculer d’un pas. L’homme voulut rétorquer en m’envoyant une boule de Kikoho, chose que « j’absorbais » avec mon coquillage avant de tendre mon bras devant sa tête. J’eus juste le temps de lui renvoyer le choc e son attaque avant qu’il ne me donne un autre coup dans le ventre. On tomba alors tous les deux sur l’herbe de la forêt. Il se releva plus vite que moi et étendit son bras pour essayer de m’arracher la tête. J’esquivai l’attaque de peu. Je pouvais voir la poussière voler à côté de moi. Il n’était pas faible, à ça non et ça change de d’habitude. Je me relevais rapidement avant de l’attaquer avec mon sabre. A chaque coup, il parait mes attaques. Je devais réfléchir autrement, sinon, j’étais fini… C’est alors qu’une idée me vint. Je reculais de quelques mètres de mon adversaire qui se demandait ce que j’allais faire… Les arbres commençaient alors à se lever et à avancer pour attaquer l’homme qui ne comprenait en rien ce qui venait de se dérouler. Ce n’était qu’une banale illusion, les coups que donnaient les arbres le traversaient, mais lui il y croyait encore. Je sautais dans le ciel en faisant tournoyer mon sabre. J’allais le tuer ainsi qu’une grande partie de la forêt pour arrêter l’épidémie. Des dizaines et des dizaines de lames d’air partirent en direction des tonnes de bois qui s’écroulaient les uns après les autres. Le bruit était assourdissant tandis que mon adversaire devait déjà être mort. La forêt était entourée d’une aura poussiéreuse, c’est à ce moment que je décidai de m’arrêter et de rentrer au village pour prendre ma récompense.

Arrivé dans la ville, je racontais au maire ce que j’avais fait. Ce couard ne me cru pas et je fus obliger de l’emmener devant la forêt pour lui montrer que j’avais bien arrêté l’épidémie. Il me remercie alors joyeusement en me tendant le sac d’argent. Je le pris et le rangea les billets dans ma poche avant que quelqu’un n’apparaisse… Ce quelqu’un c’était Shiro… N’oublions pas qu’il avait accepté que je fasse la mission en échange, il s’occuperait de détruire le village…

Cet abruti d’Areldono avait tenu sa promesse, bien… J’attrapai l’épaule du maire qui commençait à s’en aller. Il se retourna et vu un tout autre regard dans mes yeux. L’homme qu’il avait vus jusque là n’étais plus le même. Je sortis mon sabre pour ensuite lui couper la tête. Le village était assez petit et rapidement, j’avais empilé les têtes des Nameks sur des potos. J’avais carrément tout décimé et je m’apprêtais à partir de la planète quand… Une pression aussi forte que la même que cette planète. Pas loin d’ici en plus… Enfin, un combat pour moi. Je me dirigeais dans sa direction tout en parlant à Areldono :

« Celui là, il est à moi, héhé. »

Date d'inscription : 03/12/2009

78 lignes -> 7.800 xp - 3.900 Zénies