Mon atterrissage sur la terre ce fit en douceur, en atterrissant, je vis plusieurs autres vaisseaux atterrir et s'envoler. C'était un beau spectacle, voir la nouvelle technologie des humains, pour eux c'était nouveau le voyage spatial. On voyait beaucoup d'enfants qui regardaient les navettes en espérant à leur tour un jour visité cet infini qu'est l'espace. Je sortis de la zone de lancement. En avançant tranquillement dans les longs couloirs gris et bleu de la base de lancement, j’aperçus un jeune garçon en pleure, il portait une longue tunique rouge et orange, c'était vraiment immonde comme habit, ses yeux étaient ceux de quelqu'un qui a eu la peur de sa vie. . Je le fixai pendant un long moment et je l'abordai :

- Pour quelle raison pleures-tu ainsi?

- Snif... Mon papa a recommencé a me fra... Snifff... Frappé parce que j'ai brisé le pot préféré de maman en accide... Sniif....accident. Il ma pris par le cou...Snifff... et il ma donné plein de claque sur moi...
Je vis que le garçon pleurait encore plus qu’au début, je compris que je pourrais corrompre ce petit garçon au vice. Pendant qu’il me regardait, je ne pouvais m’empêcher de rire. En le regardant plus fixement, je voyais qu’il avait énormément de colère en lui. Je pouvais me servir ! De lui très facilement.

- Aimerais tu te vengé de ton père petit ? Partir de cher toi et savoir que ton père ne pourras plus jamais te frappé ?

- Oui mais comment faire... Snifff... il ma dit de ne pas revenir a la maison.

- Essuie tes larmes garçon, je vais expliquée comment faire.
Après, lui avoir expliqué comment il pourrait ce vengé de son père, il m’amena cher lui. La maison était assez grande comparé a ce que j’avais vue auparavant. Le garçon rentra dans la maison et me montra ou était le bureau de son père. J’entrai dans la pièce, il y avait plusieurs bibliothèques remplis de livre, la table de travail était complètement ensevelis de feuilles. Je fis signe au petit qu’il pouvait le faire.
Il mit le feu au papier qu’ils avaient sur le bureau, tout s’enflamma très vite, pendant qu’il allumait le feu, j’allais a la cuisine et je vis le père qui était en train de mangé, je lui assenai un coup derrière la tête, il s’affaissa directement sur le planché de cuisine. Le prenant dans mes bras je le remmenai dans le bureau enflammé, je laissai le corps inconscient du père sur le plancher. Le garçon avait déjà fuit par peur que son père le voit en train d’enflammé son bureau de travail. Je sortis de la maison, et je vis que plusieurs personnes entouraient le domaine, ce fut une perte totale. Tout avait brulé même le père.
J’en avais assez de m'attardée ici, je commençai a marché vers l’endroit ou la femme savait fait volé sa sacoche. Après une bonne heure de marche, j'aperçu l’endroit ou la femme c’était fait voler. Une grande femme aux cheveux bruns arrivait en courant vers moi et me dit !

- Dieu soi loué ! Vous êtes venu pour m’aidé a trouvé la bande de voyou qui ma volé mon argent et ma sacoche !

- Oui, auriez-vous une idée de qui aurait volé votre argent ?

-Il a la bande de voyou, les Gyurs, qui font souvent ce genre de méchanceté ! Je n’ose même plus sortir de cher moi la nuit depuis ce jour ! Souvent ils se tiennent dans le parc, faites attention, ils sont réputés pour vite sortir leurs armes.

Je ne sais pas ce qui me retenait, mais l’envie de faire taire cette femme me prenait de plus en plus. Après une longue et fatigantes conversation sur les voyous, je marchai en direction du parc ou se tenait la bande de voyou. Approchant du parc, j’entendis un cri perçant. J'accouru directement en cette direction et je vis une femme qui criait au voleur ! Je vis un homme qui courait à une vitesse incroyable pour un humain.

En courant après le voleur, je vis une vive lumière, elle me happa de plein fouet dans le ventre. Ce qui me fit perdre mon équilibre, en tombant. J'aperçu le voleur rentré dans un bâtiment. Je me relevai et je rentrai moi aussi dans le bâtiment. Le bâtiment était d’une laideur extrêmement tout les murs était vert et sale, le plancher avec des excréments, je ne pourrais même pas dire ci ces humain ou animal. L’odeur était si fort qu’elle me donnait la nausée, j’entendis une porte claqué, je couru vers le son. Et je vis le voleur qui tenait un bébé en pleur ! La mère à coté le suppliais de lâché son bébé, l’homme me menaçait de tuer le bébé, si je ne partais pas immédiatement. Quel imbécile, il pensait vraiment qu’un bébé allait m'empêchée de tuer cet ordure.

Je concentrai mon kikoha dans ma paume et le lança sur le directement sur le bébé qui explosa, le sang se projeta partout dans la pièce. La mère qui criait au meurtre, elle était en larme, je venais de brisé tout ce qui était logique en dedans d’elle. Elle me criait que j’étais un monstre de la pire espèce. L’homme tremblait de peur devant la cruauté que je pouvais faire.

- Ou est la sacoche que tu as volée a la femme au centre ville !

L’homme me l’apporta, sa main tremblait tellement qu’il ne pouvait même plus la remettre près de son corps. La mère me criait encore, je la regardai fixement et je lui mis une bonne droite au visage. Pendant que je la frappais le voleur essaya de s’éclipser. Je le fis tombé a la renverse, je levai mon poing droit en direction de son visage et je lui brisai le crane tellement l’impact était fort.

En sortant de l’immeuble, je vis le jeune garçon que j’avais corrompu en début de journée, il marchait tout droit devant lui, je l’interpellai. Il me regarda et il me dévisagea et me dit :

-Vous avez tuez mon père ! Vous allez me le payer ! Je vais vous faire souffrir autant que lui !

-Je t’avais dit qu’il ne te dérangerait plus ! J’ai réalisé ton souhait haha ha
La colère bouillait en dedans du petit garçon, je n’ai même pas eu le temps d’évité qu’il me donna un coup de tête dans le ventre. L’impact fut si puissant que je m’envolai j’us qu’au mur. Mon armure saiyenne était toute fissurée. Une chance que je la portais, sinon j’aurais été gravement blessé. La colère du petit diminua grandement. Pendant un moment il perdit l’attention du combat, j’ai profité de cet occasion pour le soulevé par les cheveux, je lui éclatai le visage sur le mur, j’us qua ce qu’il meurt.

Je me penchai, je repris la sacoche de la dame. Je marchai tranquillement vers le centre ville ou j’avais laissé la dame attendre mon retour avec sa sacoche et son argent qui se trouvait a l’intérieur. Elle me remercia et elle rentra chez elle.
Je repassai devant la maison du petit garçon, je vis une femme et sa fille en pleur devant la maison, et pleurais la mort qui venait des les frappé. Je repris ma capsule pour retourner à ma planète d’origine.

Je demande le bonus (merci)