Après avoir presque visité toutes les parties de la ville, il ne me manquait que le taudis du continent inférieur. L'envie me prenait d'aller marcher quelque temps dans ce taudis. Plusieurs heures de marche me montrèrent, comment cette partie de la ville était pauvre. Les murs étaient fissurés de toute part, les rues n'étaient que de petits sentiers peu entretenue. Plusieurs hommes et femmes se promenaient dans les vieilles ruelles. Un homme dans la quarantaine, poussiéreux de la tête au pied m'aborda :
-Monsieur...Avez-vous quelque zénies pour moi? J'ai une femme et trois enfants à nourrir. S'il vous plait... Mes enfants n’ont pas mangé depuis plusieurs jours, et ma fille est tombé malade et je ne peux me payé quelqu'un pour la soigné, s’il vous plait !
-La seule chose que je peux vous donner ce sont quelques paroles pour vous sortir de cet enfer qu'est cet endroit. Je n’ai que très peu de zénies, je ne fourni que pour me nourrir et me loger.
- Fou le camp ! Tu n’es qu’un imbécile sans conscience ! Tu n’aide même pas les pauvres alors que tu es riche ! Tu possède une armure saiyenne ! A vaut ben cher, jsuis p’o un imbécile! S’vaut au moins 4000 zénies S’taffaire la ! Tu pourrais au moins nous donné un zénies ! Crève en enfer !
Alors que j’allais répondre, l’homme se leva. La puanteur qu’il dégageait me dégoutait ! Il me fixa intensément avec ces grands yeux noirs quelque instants. Il me quitta sans rajouter d’autre mot.
Je continuai ma promenade dans ce quartier, plus j’avançais plus les maisons devenait petite et en mauvais état. Tout ceci me fessait pitié à voir.
Lorsque le soleil commença à partir ce couché, je décidai de rebroussé chemin et de rentré dans ma demeure. Près d’une heure de marche, je revis l’homme qui m’avait mendié. Il était toujours aussi poussiéreux, sauf que cette fois ci, je vis la colère animé ces yeux. Je fis semblant de ne pas le remarqué. Il se leva et m’interpella :
-Tu va payer pour ce que t’a fait ! Je suis revenu a m’aison ! Ma femme était en pleure, par ta faute ma fille est morte ! Si t’aurais pus au moins donné quelque zénies on n’aurait pus la sauvé ! S’pas si chère que s’o un médecin ! Tu va souffrir dans pas long. Pour toi s’doit pas ben être cher un médecin ! MEURTRIER !
La tristesse et la colère se voyait bien dans c’est yeux. Pendant un moment j’ai cru qu’il allait tomber en larme... Et non, sa rage était trop profonde. Toute la colère et les peine vécu dans ce taudis me retombaient dessus.
-Je ne cherche pas la bagarre vieil homme, je vous avais dit que je n’ais pas de zénies pour vous.
-Ah ! Bien sur, M’sieur, veux garder ces p’tit zénies pour s’payer des médecins, juste pour lui !
Soudainement, j’entendis un bruit de pas derrière moi ! Trop tard, je reçu un énorme coup d’une violence inouïe. Mon corps fut pris de violente convulsion. Un autre coup derrières la tête me fit perdre connaissances.
On me lança plusieurs seaux d’eau directement au visage. Ma vision était encore embrouillé, je vis que deux homme ce tenait devant. L’humidité m’étouffait tellement elle pesait dans cette pièce. Un des deux hommes m’agrippa fortement les cheveux et me flanqua une énorme gifle. Totalement réveillé après plusieurs autres coups.
- On fait moins malin... Quand on n’est plus devant un vieillard hein ? Tu as complètement détruit sa vie ! Père avait de grand projet pour sa fille !
Cette fois, c’était un coup de poing qu’il m’envoya a la figure. Une colère en moi fessait vibré chacun de mes membres, sentant mon cœur s’accéléré de plus en plus. Je voulu utilisé mon kikoha afin de neutralisé pour de bon cette famille de dégénéré. Dès que je lançai mon ki sur l’homme en face de moi, je senti toute mon énergie ce vidé d’un seul coup !
-Haha haha ! Tu me crois niais a ce point ! J’ai pris quelque précaution avant de t’emmener ici ! Je te présente mon frère qui a un pouvoir particulier a lui, dès que quelqu'un essaie d’utilisé son ki près de lui, il aspire toute son énergie. Et bien, je vais te laissé réfléchir a ce que tu fais subir a notre famille. Je vais revenir d’ici une journée.
En me laissant seul ici avec son frère au pouvoir immense, il venait de faire la pire erreur de sa vie. Ce qui était dérangeant, c’était le vieillard qui dormait sur le lit a coté. Il me serait beaucoup plus difficile d’exécuté mon plan avec ce problème. Pendant un moment, j’observai le jeune garçon, il était vraiment maigre on voyait ses côte traversé sa peau. Lui aussi il était poussiéreux. Alors que je le fixais, il leva les yeux vers moi, je vis en lui la peur.
-Alors petit quel est ton nom ?
-Mon grand frère m’a interdit de vous parlez, il ma dit que vous êtes le monsieur le plus méchant de cette planète.
-Tu sais que tu ne devrais pas respecté les ordres de ton frère, tu n’as jamais rêvé de liberté. Partir d’ici et allez vivre au palais avec le grand seigneur Kuja ?
-Oui....Bien sur... Mais c’est impossible !
-Tu sais quoi ! Mon garçon ! C’est possible, je fais partie des soldats divin ! Je peux même lui faire une requête en personne ! Mais a une condition.
-C’est quoi cette condition....
-Détache-moi et je vais directement parlé de toi à Kuja.
-Non ! Vous allez faire du mal à ma famille !
-Bien sur que non ! Puisque tu bloque toute ma force !
-Si vous me le promettez d’accord.
Le jeune homme se leva et commença a me détaché les pieds, ensuite il me détacha les mains. Tellement content de savoir qu’il allait habiter au palais, il me regardait avec un grand sourire. Dès que j’eu retrouvé ma liberté, j’enfonçai mon poing dans le ventre du garçon qui s’envola jusqu’au mur, le bruit sourd que fit son crâne, réveilla le vieillard. Il me fixait sans dire de mot....Je lui pris le poignet et lui cassa d’un coup sec...Le crie qu’il fit, alerta l’ainé qui arriva en courant, il donna un coup de pied a la porte ce qui la défonça ! Mon attaque de kikoha le frappa en plein fouet dans la figure ce qui le tua sur le champ. Le vieillard hurlait a mort... Je lui chuchotai a l’oreille que sa femme allait servir de concubine pour les soldats en repos, il me supplia de ne pas faire sa ! Il pleurait comme un bébé, ces a ce moment que je décidai de lui brisé la nuque.
Je montai l’escalier et vit la femme en pleurs, couché près de sa fille morte il a peu, elle tenait un couteau, elle me menaçait de me tuer si je ne quittais pas sur le champ sa maison. J’avançai tranquillement vers la mère, chaque pas que je fessais la rendait de plus en plus nerveuses... Elle tremblait tellement fort, qu’elle en échappa le couteau. Elle tendit la main pour reprendre le couteau, c’est a ce moment la, que je lui flanquai un coup de pied qui lui broya la main. Je la soulevai par sa main broyé et l’entraina vers le châtiment que j’avais dit a son mari.