Des bonbons ! (PV Juha)

Date d'inscription : 26/05/2011

:::.↑ Miam ! ↓ .:::

J'étais sur Terre depuis un bon bout de temps et à chaque moment où je changeais d'endroit je ne pouvais m'empêcher d'admirer ce paysage, j'étais perché sur les hautes montagnes que possédait la Terre, à sentir le doux vent parcourir mes.. mes.... rhaa j'ai oublié ! Mes poils ! Voilà ! Ahh ce mot était juste sous mon museau ! Bref, où en étais-je... Ah ! Euh... Le Soleil s'illuminait devant moi, je restais debout, une pose comme si j'étais énormément fier, j'étais en haut de tout ce qui était imaginable ! Les grosse fondations, les sortes de grosses carcasses qui roulaient, tout ça ! J'étais là à les regarder, depuis en haut, fier comme jamais... Tiens c'est bizarre parce qu'à Oblivion, quand je me tenais sur les montagnes, il n'y avait pas de bruit, juste le vent souffler comme d'habitude, ici on pouvait entendre des sortes de " Bip ! Bip ! " , des bruits infernales de grosses carcasses, et la fumée qu'elle dégageait ! Aaaaaah ! Horreur ! Franchement, j'adore les Terriens mais faudrait faire attention au moins, m'enfin...; La seule chose qui pourrait me réconforter ça serait des bonbons... Ouiii, de bon gros et sucrés, plus sucrés l'un que l'autre, et plus que sucrés je veux oui ! Je sais qu'il y en aura p'tet, car j'en ai une sur moi, une sacoche rempli de bonbons.... Mmmmmmh....

J'avais donc fais escale sur Terre, afin de rechercher une des meilleurs choses que la vie peut nous offrir, les bonbons ! Eh oui ! D'ailleurs je sortis délicatement de ma petite sacoche une petite confiserie, celle spéciale Oblivion, je n'avais qu'une chose à dire, " Vive la Terre ! " ! Je savourais, mâchouillais avec douceur mon petit bonbons, plus je mâchais et plus le goût juteux de ma petite sucrerie se sentait dans tout mon corps... Miam ! Malheureusement, j'avalai de travers cette petite boule sucrée, ma mère me disait toujours d'arrêter les bonbons.... Moi j'adooore ça ! Et qui pourrait m'en empêcher ! Les Bonbons pour la vie ! Je m'allongeai subitement, pour en sortir une autre alors, je ne perdis pas de temps, je me mis à la mâche, encore et encore, jusqu'à ce que tout son goût n'aille dans mes papilles, c'était sûr maintenant, il fallait que j'aille chercher des bonbons ici ! Je me levai donc, je commençais à marcher, sur mes quatre pattes, mais je m'arrêtai brusquement, je me mis à renifler, comme tous les chiens d'ailleurs.... Je sentis quelque chose, je n'étais pas seul ! Je rangeais ma sacoche, attention aux voleurs... Je me mis à pousser un petit grognement, et je dis alors...

" Tiens ? Quelqu'un ? "

Date d'inscription : 15/07/2008

[Hrp: ce Rp se déroule juste après la mission de Juha pour Mercenary, sur Mercenary...]

Ah, dame ! Une révolte, une liberté à regagner, ce n'était vraiment, vraiment pas de la tarte ! D'abord, il fallait trouver suffisamment de force et de détermination en son cœur, pour cesser de trembler sur ses quatre pattes, la queue entre les jambes, en regardant les bistrots fermer... Une première étape de validée. Mais la suite était encore plus ardue: il fallait trouver des compagnons ! Et lorsque l'on était un oblivien fier de se comporter comme un fou, plaçant l'apéritif sur une terrasse ombragée et la philosophie socratique en position d'absolus, c'était avec un bel handicap que l'on commençait le recrutement.
C'était avec ce genre de pensées que Juha était revenu sur Terre, dans l'espoir de retrouver des compagnons fiables... Quelques semaines auparavant, il avait déjà convaincu Tenshinhan, jeune combattant de son état, de le suivre... Mais il n'avait reçu aucune nouvelles de sa part depuis leur rencontre. Il était vrai que le guerrier avait affirmé devoir terminer certains préparatifs, avant de le rejoindre... Il n'empêchait qu'en attendant, le fauve rongeait son frein, n'en pouvant plus de devoir porter la souillure de l'esclavage imposé par Mercenary sur sa personne...

Tout comme la fois précédente, il se mit donc en quête d'une forte puissance sans aucune méthode, se contentant de se promener de part les rues et les vallées, truffe au vent, tantôt sous forme de base, tantôt sous forme de condor. Cette dernière transformation était décidément utile, lorsqu'il s'agissait de voler sans trop risquer l'agression... Elle offrait un confort qui permettait de profiter du paysage qui, souvent vallonné, réjouissait l'oblivien au plus profond de lui-même. A certains moments, la terre lui rappelait Oblivion, qui sommeillait encore, paisible, oubliée au fond de la galaxie... Heureuse petite planète, atome libre de toutes chaînes !

Mais une odeur de sucre ramena Juha à l'instant présent, tandis qu'il se promenait à quatre pattes à flanc de colline, gagnant en altitude à chaque pas. L'endroit lui avait simplement plut, aussi s'était-il décidé à gagner le plus beau point de vue à pattes... et ce devait être le destin qui l'inspirait, car une formidable surprise l'attendait, tout en haut.

-Bon sang, c'est pas possible, tout ce sucre ! J'en ai la truffe encombrée comme l'agora... aah... tchfaaa !

Éternuant bruyamment, à plusieurs reprises, Juha larmoyait, lorsqu'il remarqua qu'il avait été repéré... Et l'être qui se tenait devant lui, et dont il percevait à présent très nettement l'odeur n'était autre qu'un … oblivien ! Il n'y avait pas matière à douté. Sans doute un gars du réseau sud, à juger de son apparence... et jeune. Mais un oblivien ! N'y tenant plus, oubliant la décence qu'il n'avait de toute manière jamais eue, le fauve se jeta sur son congénère, le faisant rouler dans la poussière, tout en le serrant affectueusement entre ses pattes.

-Ouarf ! Par Zeus, tu sens le pays, malgré le sucre ! Eh ! Eh ! Comment ça va, sur Oblivion ? Et comment tu t'appelles ? Et qu'est-ce que tu fais là, tu es tout seul ? Bon sang, comment ça me fait plaisir !

Au bout de quelques minutes, après avoir assaisonné le malheureux gourmand de questions, Juha accepta enfin de le lâcher. Cependant, la joie se lisait très largement dans son regard. Derrière lui, sa queue flamboyait d'un ki très bleu, signe d'émotion chez tout oblivien n'ayant pas appris à maîtriser cette réaction. Plus calme, désireux de ne pas effrayer son compatriote, il prit même la peine de se présenter.

-Moi, c'est Juha ! Je suis du réseau centre-nord, et j'ai été adopté récemment par les Kovorans ! Tu es un gars du sud, toi, je parie ? Hein ? Pourquoi tu es parti ? Ça te dit, un apéro ? Eh, c'est moi qui régale !