Sujet: Sayan en Danger [Rang IV] [PV: Végéta] Sam 27 Aoû - 9:11
Dame en détresse
Le prisonnier numéro 69 de la planète Ginyu était ma mission du jour. Mon But était de sauver cette personne à la demande de sa famille, qui m'avait contacté quelques temps après mon départ de la cité aérienne de la planète Aegis sur cette planète qui avait pour nom en honneur du possesseur, un certain Ginyu Tokusentai qui voulait sans doute rester en tant que légende en ce monde. La femme du Sayan m'avait demandé de le protéger comme pour ma propre vie, une femme qui n'avait plus assez de moyen pour aider ses deux enfants dont une fille, et un garçon qui avait une queue en mémoire de leur père.
La femme se tenait là, affalée sur son vieux tas de bois pourri qui servait de canapé, elle ressemblait presque à une terrienne, le visage pâle de cette dernière se distinguait de l'obscurité de sa petite maisonnette insalubre. Elle abordait sur elle une de ces tenues qui ressemblait à celles des carmélites, c'est-à-dire ces tuniques noires et blanches à l'intérieur. La pauvre dame s'agenouilla devant moi tout en se courbant vers le sol qui n'était carrelé qu'à moitié. Elle fit signe à ses mômes de la rejoindre. J'avais remarqué que sa petite fillette possédait sur tout le long de son corps des traces pas très banales, ainsi que de vielles traces de poussières de charbon délaissées sur son visage pleurant aussi. Le garçon, lui, avait encore la fameuse arme sayenne, la queue de cette malédiction du Oozaru. Je vois... cette famille mal logée était donc d'origine sayenne. Je restais néanmoins immunisé à leurs pleurnichements et leurs sales mines. Enfin... du moins jusqu’à ce que...
" Je vous en supplie jeune guerrier aidez moi et faites évader mon mari en échanger de 5 Zénies pour vous. "
" Humm... Si cela me permettrais de me dégourdir assez mes jambes, je peux vous le ramener."
La dame semblait complètement émue mais triste en même temps, deux choses que je n'aimais pas vraiment. Mais cette dame m'inspirait une sorte de... pitié. Ses yeux ébahis devant moi me rappelait encore le bourrin que j'étais avant. La soif de vengeance m'aveuglait tellement que même mes parents ne pouvaient rien face à moi. Suis-je bête... La maman tint mes mains à genoux, m'implorant rien qu'avec ses yeux cette fameuse requête. Je me mis alors en route vers ce fichu camp de travail ou le Sayan demeurait incarcéré. Un petit chemin en pierres d'églises de l'ancien temps allaient me conduire directement vers cette prison de malheur. Une cinquantaine de pas ou plus que je faisais quand survint soudainement une voix qui me paralysait...
Sujet: Re: Sayan en Danger [Rang IV] [PV: Végéta] Dim 28 Aoû - 20:35
» Coca Coola :.
[Le RP se passe avant le combat contre chewing-gum:) ]
~ Flashback...
Coca Coola était un sayan qui méritait largement tout mon respect, ce valeureux combattant avait guidé mon peuple vers la victoire. C'était un chef de guerre très compétant. Coca, ou Coc' pour les intimes était d'une carrure extrêmement imposante, elle dépassait largement ma petite taille. Ce qui faisait alors que je devais voler pour pouvoir lui parler correctement. Coc' possédait une tenue vestimentaire unique en son genre, qui valorisait très bien son grade. C'était un mélange entre plusieurs styles de tenues que mon frère d'arme volait aux peuples qui furent détruits un par un, jours après jours. Ce colosse était chevelu, il possédait les cheveux courts et sombres comme presque tous les sayans. Ce dernier était très réputé pour avoir la force d'une brute, mais.. et bien, l'intelligence d'un âne. Coc' venait souvent chez moi, à la résidence royale, afin de me demander conseil. Ses qualités de combat devaient être à nouveau mise à épreuves lors d'une certaine mission de reconnaissance sur Vegeta 2. Lui et sa troupe s'étaient préparés la veille de leur mission. Vegeta 2 était à l'époque une planète composée d'un gaz étrange, le Nova 6. Et.. nous sayans étions très curieux et désireux en même temps. Mon père envoya alors notre meilleure recrue sur le terrain. J'étais avec eux pour motiver mes soldats avant leur excursion sur la planète qui se nommait avant Vegeta 2 « Dozat ». Mon discours de motivation se termina par un bon cri de guerre bien vivant de la part de l'armée la plus entraînée de l'univers. Ils étaient six, mais malgré ce faible effectif, notre peuple gagnait sans problème. Les six capsules s'envolèrent sur « Dozat », me laissant derrière eux, tout fier. Je retournai chez moi avec le sourire permanent, sans même me poser cette question : « Que va-t-il se passer ? »
~ A présent...
Seulement voilà, je me retrouve sur cette fameuse planète violette sombre. Cela faisait déjà une bonne dizaine d'année que je me rappelle de ce moment là. Moi qui ai l'habitude d'oublier fréquemment ces choses là du passé. Seulement voilà, je m'en souviens encore...
~ Flashback...
La vie de prince me dégoûtait vraiment. J'étais assis sur mon trône, à côté de mon père, qui fut le roi en ce temps là. Son siège était plus élevé par rapport au mien. Le silence régnait sur l'immense salle royale, ornée d'or et de toutes richesses pillés par mon peuple. Cependant, un certain soldat osa interrompre ce silence, ouvrant par la suite la grande porte qui donnait accès directement au long chemin, couvert par un long tapis rouge, qui conduisit le jeune soldat impertinent face à moi et mon père. Nous n'étions pas trop de bonne humeur ni vraiment de mauvaise humeur à ce moment là. Seulement cette entrée fracassante mit moi et mon père dans un état des plus déplaisants. Mon père se mit alors debout, pour placer une kikoha violet basique qui alla exploser sur ce misérable soldat. Pourtant ce soldat portait l'uniforme à notre couleur. Un traite certainement... Je fis signe à mon père de ne point bouger, une sorte de signe pour lui dire que je m'en occupais. Je me levai alors, devant le fameux soldat, qui allait certainement finir dans les pires situations qui soient. Je descendis les marches en rigolant, puis brisai un vitrail., pour ne ramasser qu'un petit fragment de verre. Ainsi débuta la fameuse torture spéciale des sayanjins, j'ouvris la misérable gueule de l'assaillant, puis mis le fragment de verre récupéré. Je fis un coup de poing ni trop fort au cas où il crèverait, ni moins non plus au cas où il ne cracherait pas le morceau. Le sang coulait de la langue du présumé traître, un sourire se forma chez moi, puis je m'écriai tout en rigolant.
« Alors ? T'as quelqu'chose à faire ? Va te faire voir ! »
« Héhéhé.. Dozat, c'est la fin pour vous... K-k-kkk-k Kisama ! »
« Que veux-tu dire par là ? »
« Va te faire voir ! Autant mourir ! »
« ENFOIRE ! Crève !!! GARIKU HÔ ! »
Je fis un coup de poing dans le ventre de l'insolent, puis forma en même temps un rayon violet qui désintégra tout le corps meurtri du pauvre assaillant, mon rayon fut assez puissant pour l'emmener au loin. Seul quelques gouttes de sang tombèrent et ruisselèrent dans mon visage en colère. Je n'étais pas si con que ça, mon père avait lui aussi remarqué le retard imaginable de la troupe Coca. Je criai à mon père, alors que j'étais à cinquante mètres de lui, l'écho retentissait.
« Papa... J'essayerai un jour de les revoir. Dozat reste une planète inconnue à mes yeux... »
~A présent...
Je pensais alors que c'était le moment. Le destin m'a certainement mené jusqu'ici. La planète avait bien changé, elle s’appelait Ginyu à présent. Tiens tiens... Cependant, d'après les données que j'avais recueillis, la planète n'avait pas changé géographiquement. Beaucoup d’événements ce sont déroulés ici, dont la reconstruction de Ginyu par les partisans de Bardack, un survivant sayan. C'était donc lui qui a provoqué la chute de l'empire du Nokatis. Même si je savais déjà que Ginyu, malin comme il est, allait riposter. Et dire que ces partisans se donnent tant de mal... Il faisait moins sombre que ce qu'on m'avait raconté, même si le ciel dégageait quand même un pressentiment que Ginyu était toujours là, certainement dut à la couleur de l’atmosphère. Je devais peut être retrouver Coc', et sa troupe par la même occasion... Je marchais tranquillement sur le sol de Ginyu. J'avais entendu dire dans les chantiers ces certaines rumeurs disant que le guerrier légendaire traînait dans les parages. Certains envisageaient l'aide de Bardack. Mais je savais que Broly avait reprit ses consciences, ses vrais raisons. J'avais donc prévenu les habitants de ne pas s'inquiéter, que j'allais m'en charger, ce qui était faux. Je traversais toute la planète, pour enfin me téléporter vers Broly, qui n'avait même pas changé depuis notre dernière rencontre. Je fis un sourire avant de lui dire.
« Yo ! Que fais-tu là ? »
Dernière édition par Végéta le Mar 30 Aoû - 10:23, édité 1 fois
La jeune dame pleurait quelques instants avant, se lamentant sur son sort, me suppliant de ramené son mari qui demeurait autrefois Soldat de la garde Royale du Roi Végéta. J’imaginais la souffrance qu’elle ressentait, les personnes que j’avais tué de mes propres mains tel un chien enragé par la colère. La femme se levait alors les larmes aux yeux, ayant salit sa longue tunique noirâtre qui cachait son visage à moitié dans le sombre qui s’installait à l’endroit ou l’on se tenait. Le femme me dit alors en chuchotant à côté de mon oreille d’une voix basse:
« Vous le reconnaitrez car il possède une cicatrice sur l’œil ainsi que le 69 pour numéro de prisonnier sur sa tenue orangée avec quelques rayures noirâtres »
Une Information qui pourrait me servir dans les heures à venir. Quand Une voix familière m’appela soudainement:
« Yo ! Que fais-tu là ? »
Cette voix qui me rappelait plusieurs années de vie à travers toutes ces planètes, fuyant le père de cet personne qui finissait par devenir émotionnellement gentil à mon égard? Je fermais mes yeux riant de la phrase d’amitié qu’il ouvrait, quand je le fixais alors d’un regard banale. Il souriait montrant ses dents blanches sous sa tenue ridicule qui démontrait qu’il venait de la planète des Sayans d’autrefois. Ses cheveux étaient à l’état normal, son aura de couleur violette débordait un peu plus à chaque minute qui passait et son Niveau me rendait effroyablement craintif envers lui.
Le vent commença alors à devenir mouvementé, laissant une fraîcheur tout le long de mon corps musclé et bien actif. Ma taille était toujours un détail frappant quelque soit la situation ou nous l’on se rencontré. La dame aux habilles de none ainsi que ses mômes vinrent alors aux côtés de leur mère. Leur paternel restait emprisonné sur cette planète dans une dés prisons la plus connu de ce peuple pour les méthodes qu’ils employaient pour attrapé un tolard qui pourraient s’évadé à tout instant.
Une tâche que je ne pouvais point accomplir seul, me donnant alors l’idée ou plutôt la solution à cet énigme là: Se servir de la force et de la connaissance en combat du guerrier/Prince Sayan Béjitâ. Un silence s’installait alors quand la dame dit alors d’un ton d’espoir:
« Vous pourriez peut être aider ce jeune homme vous là qui semblez être un Sayan très riche »
La femme s’adressait au jeune Végéta qui était à l’instant même gêné en regardant le ciel. Quand je dis alors à la femme du Sayan:
« J’ai besoin d’aide pour faire évader le mari de cette femme, es tu prêts à m’aider Végéta? »
Disais je d’une voix amicale… Malgré le temps qui s’écoulait je ne pouvais pensé au passé et à mon père que j’avais tué de sang froid comme si il ne l’était pas. Aider un Sayan serait la seule manière pour ma personne de me racheté dans le temps et dans ce monde afin de devenir moins ingrat que je ne l’étais auparavant. Quand le bruit de pigeons se retentirent dans ce silence émouvant et émotionnellement vide, je m’étirais alors les muscles des bras retournant mes mains dans chaque sens libérant quelques craquements de contractions. Quand je me mettais alors à marcher tout le long du chemin de pierre qui se situait sous mes pieds et sous moi servant de guide vers la prison que l’on dénommait « The Hell » signifiant L’Enfer en français parlant !
~ Subconscient:
* Rappelles toi et essayes de retrouvé cet homme qui est prisonnier dans cette prison*
Le vide de la pensée commençait à disparaitre, les détails que j’ajoutais à chaque informations que je dégottais de la bouche de sa femme me donnait un moyen de reconnaitre en quelques sortes cet individu qui doit être libéré tardivement dans la nuit. Une tenue orangée suivit de tracés noirâtres, une plateforme de prison très comparable à celle des temps anciens comme celle de la planète Végéta qui avait des cages à chaque coins de l’endroit. Une lueur lumineuse du numéro de série du prisonnier était le 69 pouvant immédiatement nous donné la connaissance de la personne sans même la reconnaitre et pour finir une cicatrice sur son œil gauche donnant alors la visualisation la plus complète qu’il soit.
~ /Subconscient !
J’avais à présent une vue complète du Sayan en Danger et je devais désormais attendre la réponse de Végéta pour pouvoir commencé l’aventure la plus étonnante qu’il soit...
C'était bien ce visage pâle que j'avais reconnu, Broly, le sayan légendaire. Il n'était pas si légendaire que ça finalement. Son intelligence complètement bouché s'était dissipé. J'avais un petit sourire par la même occasion. Ce nouveau Broly me plairait bien... Sa taille et tout son physique restait le même, ce géant de cent kilos de pur muscle se tourna vers moi avec un petit sourire. Le sayan légendaire était tenu compagnie par une vielle femme mal vêtue, elle dégageait ce sentiment de tristesse et de peine. Cependant, la madame semblait garder dans ses yeux une lueur d'espoir, définissable grâce à ses yeux complètement ébahis face au fils de Paragas. La dame se tint à genoux, se mettant à pleurer comme une madeleine, laissant ses larmes couler le long des bras musclés du jeune Broly. Ce dernier ne porta alors même pas attention à ce que je lui avais dit. J'en profitai alors pour m'incruster dans cette pièce sombre, qui paraissait être la seule pièce de bâtiment amoché certainement par le temps. La femme rassembla ses enfants, qui se tinrent aussi à genoux devant Broly tout en s'essuyant leurs larmes. Ah pitié ! Ce genre de scène me rappelait encore ces films à l'eau de rose que regardait Bulma quand elle avait terminé de fabriquer son petit bazar technologique. Le petit garçon fut très vite reconnu par moi, c'était l'enfant qui attirait l'être que je suis. Sa queue plus particulièrement. Cette fameuse queue ressemblait à la nôtre, une queue longue et marron sombre que le garçon utilisait pour en faire une modeste ceinture, qui se contentait de serrer les vêtements déchirés et salis par de la terre. La jeune fille avait le regard d'une pauvre enfant, qui n'avait aucune idée de ce qu'elle attendait. J'en déduis alors que ce n'était qu'une pauvre fille jeune qui ignore tout de la vie.
« Vous pourriez peut être aider ce jeune homme vous là qui semblez être un sayan très riche »
« Plus maintenant. La monnaie n'apporte que des malheurs, même si pour certains sont heureux avec... »
« J’ai besoin d’aide pour faire évader le mari de cette femme, es tu prêts à m’aider Vegeta ? »
Je n'avais même pas remarqué en détail la pauvre dame qui se tenait aux côtés de Broly. La pleurnicheuse en détresse portait des habits similaires aux jeunes pèlerins que je croisais souvent. Vous savez.. qui portent les tenues noires et blanches de l'intérieur. C'était une tunique en fait. L'obscurité m'empêchait la bonne vision des visages, même si je pus distingué malgré tout se visage pleurant, la dame continuait de pleurer, mais moins qu'avant, signe d'espoir. C'était à mon tour de n'avoir pas avoir prêté aucune attention envers ce que mon confrère sayan m'avait dis, mais j'eus repris aussitôt mes esprits. Même si lui semblait rêvasser à son tour. J'étais venu simplement pour retrouver un de mes meilleurs soldats perdu certainement sur Ginyu il y a déjà cinq bonnes vielles années, et le hasard a fait que je me retrouve ici, avec mon ancien ennemi, à penser à ce fameux mari qui doit s'évader. Je restais tout aussi pensif que tout à l'heure, c'est-)-dire que je restais les bras croisés, tout en regardant vers le bas, sous le vent soufflant. Je dis alors.
« Non... Finalement, j'ai autre chose à faire. Je verrai ça plus tard »
Ma réponse était négative, je n'en attendais pas moins de moi. La femme semblait choqué du fait de ma réaction ? Je sais mais... j'ai un copain à sauver moi ! Je n'attendis pas alors pour sortir de ce tas de ferrailles grinçant durant tous les coups de vents. Dès que je sortis, je vis la lumière revenir pour le plus grand bien de mes yeux, qui n'étaient pas adaptés à l'obscurité qu'il faisait dans la pièce. Même si il faisait aussi un peu sombre, c'était ça Ginyu. Je survolais toute la planète à vive allure, afin que je puisse voir l'aspect général de la planète. Celle-ci n'étais pas très grande, même si elle était, comparée à la Terre, deux fois plus grande ! Il y avait énormément de poussière dans ce coin là, certainement à cause des constructions incessantes des partisans de Bardack. L'odeur était répugnante par ici. Je ne savais même pas d'où venait cette couleur violette du ciel. Je savais qu'il y avait une couche spéciale qui permettait de b loquer le passage du soleil, du moins, de quelques rayons de soleil. Ce qui était plutôt un atout majeur pour les pauvres travailleurs de Mushakitai, les défenseurs du bien... Le vent froid allait contre mon sens, les cheveux suivaient donc le sens du vent, mes deux bras allongés sur tout mon corps. Mon voyage ne fut pas bien long ? J'espérais ne pas paraître pour un con devant les reconstructeurs avec la puissance que je dégageais au dessus d'eux. Toujours en plein vol, je pus admirer néanmoins les différents lieux géographiques que comportait cette planète en majeure partie aride. Je pus apercevoir le plus grand désert de cette planète, bizarre, ça paraissait agité par là-bas... Tant pis, je verrai ça un jour . Puis vint les usines désinfectés, qui étaient placés côtes à côtes. Je ne savais pas si « désinfecté » était le bon mot pour l'associer avec ces vielles usines, plantés au beau milieu d'un désert. Vint finalement la chose la plus merveilleuse qui soit... la chute de Ginyu. Son symbole, réduit en poussière par un sayan. C'était un Nokatis qui a réussi à se relever, pour fonder à son tour un empire quasiment parfait pour lui. Et dire que je l'avais combattu... Bref j'en avais marre, je n’allais pas utiliser toute ma réserve d'énergie débordante quand même ! Je choisis un endroit au pif, pour tomber finalement dans une sorte de prison. Tiens tiens, justement... Un vieux pénitencier, rien de mieux que de faire sortir tous ces prisonniers...
* Héhéhéhé *
Dernière édition par Végéta le Mar 30 Aoû - 10:20, édité 2 fois
Sujet: Re: Sayan en Danger [Rang IV] [PV: Végéta] Mar 30 Aoû - 3:18
The Hell
La dame en larme se mettait alors à posée une question à Végéta. celle-ci lui demandait de me suivre dans la quête de libérer son mari qu’elle voulait tant revoir. Chaque goute qui coulait sur mes bras me mettait un frisson dans le dos. Ses enfants se mettaient également à pleurnicher devant moi comme pour me faire accepté cette demande, alors que j’avais accepté ils se levèrent tantôt me fixant avec quelques larmes de joie et d’espérance. Je demandais par la suite au jeune Prince ou plutôt Roi si il voulait m’aidé quand celui-ci déclina mon offre ainsi que celle de la dame. Je pouvais distingué que la seule chose qui pouvait intéressé Béjitâ était la queue de l’enfant qui marquait si l’on pouvait dire la malédiction des Sayans du monde entier. Malgré cela le jeune enfant ne se rebellait point et se transformé en gorille géant d’Oozaru car les nuages grisâtres suivit d’un gaz violet qui contrait le soleil et ces rayons.
Quand Le Sayan Végéta s’était mit à plané dans les airs quelques instants après, libérant alors son Ki/aura se déplaçant à toute vitesse dans les airs laissant la petite famille de la pauvreté surprit par sa technique de vol, la dame elle était comme perdu dans ses pensées me donnant la possibilité de partir en route vers cette fameuse prison qui se situait au Nord de la maison de la famille que je commençais à côtoyé. Un temps plus tard Béjitâ avait disparu et cela ne m’étonnait pas vu la vitesse à laquelle il avait démarré, je ne voulais point gaspiller mon énergie que je me mettais en route vers la prison. Une bonne demi-heure de marche, un marathon qui commençait ? Mes pieds commençait à sentir un mal profond qui créait quelques problèmes lors de mon parcoure suivant la route en roche volcaniques qui ne pouvait que de me conduire à la prison.
J’arrivais peu à peu près d’usines infectées qui rejetaient de la fumée et le gaz qui bloquait les rayons de soleils en même temps au beau milieu d’un désert suivi de poussières dérangeantes. En allant un peu plus loin une cage se montra soudainement devant moi, une petite tour d’environ 4mètres de hauteurs qui avait sur son toit 4 micro qui servaient sûrement pour prévenir les prisonniers ou pénitenciers. 10 gardes se trouvaient à l’extérieur portant des tenues que les Tsufuls avaient créer pour les Sayans ainsi que des casquettes qui cachaient leurs visages. Ils avaient tous une force banale pour moi mais n’étaient pas plus fort pour autant. Alors que je fixais au loin les gardes, je me mettais alors à m’adressé à celui qui se situait au centre:
« Bonjour Monsieur, j’ai droit à une visite avec le prisonnier 69 »
Ils me fixaient en rigolant machiavéliquement tel des pervers excités qui ne pouvaient s’empêcher de pensé à des choses mauvaises. Quand ils me dirent alors:
« Ah Ouais, A Combien il t’a prit ? T‘es torse nu en plus avec un déguisement de Moyen Age !»
Je ne disais rien et je tentais de fermé ma bouche me demandant se qu’ils voulaient bien dire par là ! Pensaient ils que j’étais un… Oh Erk. Rien que d’y pensé je pouvais déjà vomir au sol mais je devais à tout pris rentré dans cette prison qui restait bruyante et invivable. Ils m’ouvrirent alors le portail quand je me dirigeais alors vers la cellule du prisonnier 69 à l’aide d’un autre garde qui me conduisit. Quelques temps plus tard je n’eus point le temps de voir le prisonnier car c’était l’heure de l’exploitation des hommes dans le Camp de Travail ou l’accès restait difficile à y pénétrer.
- Le prisonnier se trouve dans le C.D je vais vous y conduire !
« Mais à présent vous serez obliger de faire le travail comme les prisonniers si vous voulez rester dans le Camp de Travail »
« Mais!? »
« Il n’y a pas de MAIS, alors soit vous vous bougez ou soit je vous botte votre cul à coups de pied aux fesses ! »
« Ok ! Je me bouge alors »
Je prenais par la suite une pelle creusant le sol avec force et vitesse en attendant de retrouver 69. Le temps passait quand une personne vint soudainement puis me dit:
« Hey…Toi…Pss Pss. T’es un nouveau ? J’ai un Plan pour nous évader moi et Coc’ avec Jin & Suke car j’ai le plan sur la peau ! Mon tatouage signifie un plan d’évasion donc… Je m'appelle Ball»
Qui était ce gars là? Je n’en savais rien mais je devais à tout pris sortir. Je le fixait alors en souriant quand il me dit:
« Trouve nous une sortie et j’te choppe le prisonnier 69 »
Me disait il en faisant un clin d’œil. Je ne pouvais plus attendre il fallait que j’agisse au plus vite. Quand je partais alors un peu plus loin allant taper sur des roches à côté de l'homme qui avait pour nom (Ball) car c'était un voleur de Balles les plus riches du monde et qu'il avait par la suite des balles technologique qui emmenaient des choc électriques ayant tuer plusieurs personnes. Les gens ne pensaient qu’à taper sur des roches marrons qui auraient servi pour la construction de la maison du Boss de cette prison là. Béjitâ se trouvait aussi dans la prison et il souriait avec un air pensif.
«T'es toujours là ? »
Disais je à ce Béjitâ qui revint alors dans le monde actif semblant avoir pensé à quelque chose. J'attendais désormais le Bon moment pour retrouver ce prisonnier et me barrer de ce trou à rat de malheur. Aucun plan ne me traversait l'esprit seul balancé des Kikoha dans la prison me tourmentait le crâne. Quand une personne se mettait alors à me dire:
"Salop là donnes moi tes bracelets d'ors ou je te tue compris?"
Un prisonnier m’ordonnait de lui donné mes bracelets en or qui restaient les seuls objets de mon passé. Il avait une moustache le rendant plus moche qu’il ne l’était déjà, avec des cheveux longs et noirâtres qui allaient jusqu’à son Cou. Avec la Tenue identique que celle des prisonniers il était sûrement la racaille de la Prison et il était entouré de plusieurs hommes autour de lui qui n’attendaient que la bagarre. Je souriais en face de lui, quand j’enchainais alors plusieurs coups sur cet homme avec peu de force sur le ventre du prisonnier pour finir avec une boule de Ki explosive qui l’emporta dans les airs. Tout le monde me fixaient à part les gardes qui eux étaient en pause de diner comme tout les humains de la Terre. Ball me fixait alors avec surprise quand il me dit alors:
« Encore Mieux »
Il était avec ses deux amis qui me fixaient avec tant de assurance sur l’évasion qui allait se produire dans quelques minutes. Un ennemi en moins qui n'allait m'embêter dans cette cage ! Végéta allait il m'aider? On le saura plus tard...
Sujet: Re: Sayan en Danger [Rang IV] [PV: Végéta] Mar 30 Aoû - 10:17
» Wood et moi, sommes pareils :.
La prison était juste devant mes yeux. C'était une sorte d'assemblage de cinq bâtiments. Il y avait quatre longs bâtiments qui formaient un carré tandis qu'à l'intérieur de cette structure architectural, se trouvait un immense dôme en verre, qui était très reconnaissable de là où j'étais. Les rayons du soleil qui arrivaient bien sûr si ils le pouvaient à pénétrer se mettaient à refléter au contact de l'immense verre en forme de demi cercle. Cette prison était différente à ceux que la Terre avait construite. Cette prison était plus qu'une prison, celle-ci était tellement mieux gardée que celles qui appartenaient aux Terriens. Aucune issue était possible d'après ce que je voyais, des caméras étaient installées un peu partout, chaque angle était surveillé par une troupe de soldat armée, qui discutaient entre eux à l'ombre, bien au frais grâce à une tourelle qui se plaçait juste derrière le béton armé du gigantesque mur qui me séparait moi et le pénitencier. Je vis alors quatre soldats, alignés, devant la porte principale, armés eux aussi de fusils d'assauts, avec comme motif une simple couleur violette, peut être pour se dissimuler dans les airs, ou pour une autre raison. J'avais remarqué néanmoins que toutes les choses qu'utilisaient ces salauds de soldats venait de notre technologie... Cette remarque m'avait donné une idée à laquelle je pensais depuis tout le temps que je regardais cette structure semblable à notre prison sayenne. J'allai voir les quatre gardes, qui restaient droits et froids devant moi. Le vent soufflant, je m'écriai.
« Tiens tiens, il y a-t-il un certain Coca Coola par ici ? Ou... si vous me mentez, vous savez bien ce que je pourrais faire de vous, non ? »
Les soldats se mirent à rire assez calmement, ce qui ne me plaisait pas du tout. Je poussai un petit cri de rage envers ces quatre soldats, je fonçai mes sourcils, puis mettais enfin mes poings au niveau de mon bassin. Comme par hasard ces gardes s'arrêtèrent à rire, même si ils gardaient tout de même le sourire.
« Oui il est là, tu peux vérifier héhéhé »
« Merci... »
Je me frayai un passage entre ce petit groupe de gardes extérieurs, seulement, alors que je dépassais le seuil de la porte automatique en métal, les salauds qu'étaient les soldats se mirent à me frapper derrière ma nuque, je sentis cette énorme coup de métal se fracasser derrière mon cou je ne sais comment, puis là, noir total...
« Une goutte d'eau.. Huh ? Qu'est ce qu’est que ça ? »
Je me réveillai alors brusquement, grâce à quelques gouttes d'eau qui ruisselaient tout le long de mon visage. J'eus le réflexe de me lever, prêt à combattre, oui, c'était un réflexe sayan... Mais, il n'y avait rien. Je m'étais réveillé dans une grotte, sombre et qui n'avait que pour bruit d'ambiance celle des gouttes d'eau qui tombaient, seconde après seconde. Je pensais que j'étais seul, jusqu'à ce que je me fasse frapper par un inconnu, je me reçus alors le coup de poing sans même savoir connaître l'assaillant... Mon combattant profitait du noir qu'il faisait pour m'avoir en traître, je lâchais beaucoup de sang, le combattant mystère me dit tomber par terre, sur le sol poussiéreux dont j'avalais quelques fois ses composants. Je souffrais de plus en plus jusqu'à ce qu'un homme certainement de bon cœur vint et cria alors.
« C'est bon Wood ! J'ai d'la lumière ! »
Un petit bruit de craquement résonna en échos, j'entendis par la suite le bruit que le feu fait lorsqu'il apparaît. Soudainement une lueur orangée apparut dans cette minuscule grotte. Je pus découvrir le lieu où j'ai dormis je pense il y a de bonnes heures. C'était un grotte qui se remplissait d'eau petit à petit, je me relevai alors, les vêtements tâchés de boues, je fis un droite-gauche un peu partout pour alors apercevoir deux-trois pelles ainsi que du charbon. Je tentai alors un coup de poing face à mon assaillant, eh bien c'était loupé... Le dénommé Wood d'après ce que j'ai entendu prit sans trop de difficulté ma main puis commença à la broyer jusqu'à ce que son accompagnateur ne montre son visage puis il prit ma main à son tour, mais.. lui, l'avait pris avec moins de force, il me dit...
« Vegeta ! Qu'est ce'tu fous là !? Eh bien t'as pas bonne mine. »
C'était Coc' ! Je l'avais retrouvé par miracle, Le destin s'était acharné sur moi et m'avait ordonné de rentrer dans ce pénitencier à la con. Wood lâcha ma main subitement, je regardais les deux hommes qui me fixaient aux aussi. Ce Wood avait les cheveux sombres ni trop longs, ni trop courts, ni trop gros, ni trop mince. Ni trop musclé, ni trop faible. Ce dernier avait une barbe noir qui suivait tout le long de sa joue gauche jusqu'à sa joue droite. Il avait les yeux revolvers, le regard qui tue. Il paraissait comme moi, un vraie gars qui sait se battre ! Coc' lui... n'a pas changé du tout, à part la barbe qu'il avait acquis depuis notre dernière rencontre. Coca avait gardé sa carrure de colosse, l'ex- chef de guerre avait conservé sa tenue de sayan, à laquelle il avait rajouté des pics afin de transpercer ses ennemis avec. Ce gars était un génie. Je répondis alors.
« On s'en branle de la mine. »
Moi et Wood nous nous contentions juste un échange de regards, Wood prit parole ensuite, nous étions alors replongés dans le noir total...
« Héhéhéhé Coc', tu m'as jamais dit que tu connaissais un gars comme lui ! »
Coc' répondit par la suite, tout en toussant.
« J'ai p'tet oublié, mais on devrait se magner avant que les soldats ne nous choppe ici, on va rejoindre le camp de travail principal... »
Je fus alors conduit dans le noir par Coc' et mon nouvel ami, Wood, nous traversâmes le tunnel qui ratachait l'extérieur et la grotte, qui était au fait un piège de la part des soldats. L'eau montait de plus en plus, alors que nous avions déjà quitter les lieux, ça serait dans ces moments là que je dirai un grand « Ouuuuf ». Nous quittions un univers sombres pour revenir comme avant, avec un peu de lumière. Je me retrouvais enfin à l'air libre, j'étais considéré comme prisonnier à présent. Je me trouvais en compagnie de mes deux amis, tous les trois munis d'une pioche. On traînait un peu partout tout en faisant mine de travailler devant les soldats qui nous surveillaient. Le sol était composé que de terre et de poussières, comme dans la grotte. Mais c'était plus agréable bien sûr que dans la grotte. Au loin, j'avais aperçu une silhouette que je reconnaissais, Broly. Hahahaha ! Je ne l'avais jamais vu dans une telle posture, Nous fonçâmes, moi et mes deux copains vers Broly, ce dernier était sur le point de se faire agresser par un groupe de racaille
.
« Wood, Coc', j'pense qu'on va devoir se présenter en tant que renforts... »
Nous nous tenions alors prêt au combat à main nu, au cas où les soldats ne nous mettent la main dans le sac. J'analysais la situation . Apparemment Broly était accompagné d'un mec lui aussi. Que Coc' semblait connaître. Cet homme qui tenait compagnie Broly était très très malin paraît-il, il avait les cheveux très courts, ainsi que les yeux bleus. Il s'appelait donc Ball. Ce dernier semblait tatoué de partout, même si il était pas très musclé, il se lança lui aussi dans la baston générale contre les racailles. Le sang de je ne sais qui giclait vers le haut, les racailles étaient supérieurs à Broly et son pote numériquement. Mais nous allâmes alors rejoindre le champ de bataille afin de rééquilibrer ce combat injuste. Nous nous jetâmes comme des gros bourrins au plein cœur de l'action, tout en se rappelant de ne pas utiliser de kikoha au dépourvu de sa faire attraper par les gardes. Les poings étaient donc nos seules armes. Notre combat commença, le sang allait couler sur le sol aride de cette planète...
Dernière édition par Végéta le Mer 31 Aoû - 10:14, édité 1 fois
Sujet: Re: Sayan en Danger [Rang IV] [PV: Végéta] Mar 30 Aoû - 23:57
Ball‘s Story
I. Histoire de Ball
Ball, un nom qui paraissait plus étrange que marrant ! Cet homme se nommait au début: Mason Smith. Une famille cubaine qui étaient alliées à une famille de président autrefois et qui ne voulait point devenir pauvre. Sous les guerres et les batailles qu’ils causaient dans toute les régions adverses, une malédiction semblait s’y répandre. Mason était un génie de la technologie électrique, sur les grenades et les C4 qui causaient des ondes énergétiques invisibles. Tout le monde l’appelaient Empereur car son caractère restait des plus fier qu’il soit, il avait également sa propre usine ou il tentait toute les expériences qu’il aurait pu découvrir. Il avait une femme et une fille qui se nommaient Juliette & Julia qui n’aimaient autre que de faire du Shoping. Chaque pays de la Terre leurs voulaient la mort de cette famille cubaine qui n’inspirait que guerre et souffrance. Quand un jour tout bascula du mauvais côté des choses pour le Génie, c’était une nuit ou la Lune inspirait mort et désolation, elle était d’une lueur scintillante qui exprimait un événement dés plus dévastatrice. Un groupe de mercenaires vinrent une nuit puis ils tuèrent le père de Mason ainsi que sa mère dans une scène choquante. Le jeune Mason et sa femme se dirigèrent de l’escalier jusque la porte de couleur marron ou des bruit et des cries s’étaient fait entendre quand ils ouvrirent soudainement la porte qui dégageait quelques grincements de bois d’ébène suivi de bruits de pas qui provenaient du sous sol de leur immense demeure. Quand des morceaux de cadavres se montrèrent sur le lit du couple qui avait plusieurs goutes de sang qui giclaient dans tout les sens dans la pièce. Le lendemain, des gardes venaient alors pour enquêtés sur cet accident qui restait pour le moins tragique. Les policiers et la DBI (Dragon Ball Investigation) pensaient tous que le tueur en question était Mason qui voulait sans aucun doute l’héritage de ses parents pour devenir riche et milliardaire. Ils se mettaient alors à suivre le dossier du jeune suspect qui avait causé lors de sa jeunesse plusieurs braquages avec ses copains ainsi qu’une guerre contre son père dû à un problème familiale. Tout portait à croire que le tueur était: Mason Smith. Ils le mirent en état d’arrestation quand le Génie sut alors par la suite qu’il n’allait jamais en sortir vivant, il se sauvait avec une voiture des plus luxueuse qu’il soit allant vers une Ville complètement invivable. Il jetait la voiture rougeâtre dans une rivière en mettant une pierre sur l’accélérateur de celle-ci qui dirigea la caisse dans les flots qui le cachait peu après. Il s’installait alors dans un entrepôt ou il créa alors Une Balle des plus dévastatrice. Cette balle consistait à émettre des fréquences qui pourraient arrêter n’importe quel chose en s’opposant à n’importe quelle construction activée. Quand la DBI le trouvèrent par la suite dans l’entrepôt à l’aide d’un coup de fil vocale qui mirent la localisation immédiate avec le suspect/Tueur. celui-ci n’avait désormais plus d’autre choix que de se servir de sa petite merveille qui tua par la suite une dizaine de flics.
II. Révélation:
Des années plus tard, alors que Mason s’était mit à recherché les personnes qui avaient tuées ces parents il découvrait alors une nouvelle. La mort des parents de celui-ci avait une cause inconnue ainsi qu’une espèce totalement méconnue pour les scientifiques. Ayant remarquée des traces de sur le Cou du côté de la veine centrale du corps ou le sang semble y passé le plus possible, un ragot circulait alors: Des monstres à dents de loups et avec des yeux rempli de haine et de souffrance ainsi qu’une faim énorme voulant mangé le sang des victimes qui passaient par leurs griffes tel disait cette nouvelle là. Des recherches menaient Mason aux Vampires buveurs de sang, il pouvaient également transformé les victimes qu’ils voulaient bien en les mordants et en injectant leur venin dans les victimes qu’ils attrapent. Quand une découverte se faisait alors un jour. La nuit était encore pleine des personnes se faisaient coursées par des vampires l’occasion pour Mason d’obtenir des informations. Il tirait plusieurs balles de revolver sur un des vampires qu’il avait trouvé, celui-ci ne pouvait pas mourir mais Mason très doué en combat attacha par la suite ce félin à l’aide d’une corde très grosse. Il questionnait alors le vampire puis l’élimina à l’aide de sa balle qui électrocutait alors celui-ci. En allant chez lui il se reposait alors avec sa femme Juliette quand il ouvrait les yeux voyant sa propre femme avec des dents et des griffes de vampires. On découvrait par la suite que sa femme était en faite celle qui avait tuée les parents de Mason avec beaucoup de plaisir. Il tuait sa femme avec sa balle, fut surnommé BALL et était alors devenu un mercenaire rempli de haine envers la vie. Il se faisait peu de temps après arrêté par la DBI qui l’envoyait alors sur une planète se nommant Ginyu ou il se faisait un peu plus tard incarcéré et mit en prison pour plusieurs années. La femme Juliette se mettait à avancé vers Mason qui était plus coléreux qu’effrayé. Il fixait avec dégout cette personne qu’il ne reconnaissait plus, elle n’était plus sa femme mais un monstre qu’il haïssait de tout son cœur et son corps. Ils firent un combat des plus mouvementé dans la pièce qui restait leur chambre de couple. Quand Juliette fit une morsure sur le bras de Mason le transformant en ce qu’il ne voulait pas être: Un Vampire.
III. Le Plan Tatoué:
Mason était plus Génie qu’il ne le disait et il l’avait prouvé bien au delà de ce qu’il croyait, alors qu’il passait son temps dans une prison des plus sécurisé de la planète Ginyu, il avait décidé de marqué sur son corps chaque endroit de la prison ainsi que la carte du sous sol ou une grotte s’y trouvait pour s’enfuir. Coca Coola, un prisonnier qui était devenu un de ses amis était également un très bon tatoueur et il ne prit pas mal de temps pour marqué ce plan d’évasion sur tout le dos et les bras du jeune Mason. Alors que Mason avait préparé ce plan pour s’enfuir il donna alors une carte à Coc’ & un homme se nommant Wood montrant le chemin vers la sortie de cette chose qui servait de punition. Mason savait qu’il n’avait rien à gagné en sortant de tôle seul son travail méritait d’être mit en œuvre.
Now: Retour à la Prison
Je me trouvais désormais devant plusieurs gars dans cette prison, alors que j’avais passé à tabac le chef d’une bande de délinquants qui m’avait menacé je fixais alors une dizaine de personnes qui avaient des objets en main prêt à me massacrer. Malheureusement pour moi je n’était pas encore fort pour les combattre et il fallait que je me barre avec le mari de cette femme qui m’avait suppliée de le ramener vivant chez eux. Béjitâ commençait alors à venir avec 2gars qui avaient peut être connaissance de ce personnage là. L’un d’eux avait une queue, la tenue des Sayans et un physique plutôt musclé. Était ce le mari de cette dame? Peut être bien ! Quand une baston générale se produisait aussitôt, des cries et des coups allaient de partout sous cette boue et cette pluie qui créait un massacre énorme dans le Camp de Travail. Quand des gardes vinrent soudainement avec des armes. Un homme possédait un lance flamme mais le reste eux possédaient des fusil à pompes très bruyants qu’ils commencèrent à utilisés contre les bagarreurs. Quand l’homme qui possédait le lance flamme dit alors:
« J’ai pris exceptionnellement ce Lance Flamme pour te tuer Salopard de Vampire. Ton Plan d’évasion ne sera plus que cendre car je vais en finir tout de suite. »
Le point faible de Ball était le feu et le soleil, les rayons des soleils eux ne parvenaient presque pas à la prison de la planète Ginyu et c’était d’ailleurs pour cela qu’il avait été envoyé sur cette planète très sombre ou le soleil ne passe presque pas. Quand Ball dit alors:
« Ben Viens là qu’on en finisse ami »
Le lance flamme projetait des boules de flammes qui brulèrent le corps de Ball cramant tout le long de son corps jusque ses os. Il riait en brûlant en citant une petite prière de mort, il était fier de mourir en paix et de souffrir comme il avait fait souffrir les gens de son entourage. Sous les flammes de cette machine, son corps se dispersait au sol, devenant poussière mes pensés firent choc. Je n’avais plus qu’à partir à l’extérieur en planant, Béjitâ allait sûrement ramener le mari de cette femme vivant chez lui. Je sortais alors de cette prison allant en direction de la maison de la femme.
Sujet: Re: Sayan en Danger [Rang IV] [PV: Végéta] Mer 31 Aoû - 3:57
» Les chemins de l'Enfer :.
La bataille entre les deux camps fut très très sanglante. L'action fut tellement confuse au début. Ce qui était sûr c'est que nous fûmes tous blessés lors de ce combat. J'avais reçu plusieurs coups de poings dans la mâchoire, tellement que je sentis qu'elle allait se briser en mille morceaux. Je m’efforçai tout de même à continuer la baston. Dés que j'avais un laps de temps libres, je regardais la situation générale, qui était blessé, si quelqu'un se sauvait. J'avais enfin revu Coc' en plein action, ce dernier profita de sa belle armure piquante pour empaler tous le gangster. Broly lui réussit à en finir avec le présumé chef de gang. Pour l’instant, ça allait, on était, certes, blessés, mais au moins les soldats ne nous avaient pas repérés, il était grâce à dieu midi. Mes poings étaient satisfaits, le sang de mes ennemis ainsi que mon propre sang se mélangeaient simultanément pour finalement se poser sur mes seules armes, mes poings. Nos ennemis étaient très nombreux ce qui faisait leurs avantages, mais notre force renversait toute la situation. D'après ce que je voyais, Wood s'en sortait très très bien, il esquivait avec tant d'agilité les coups ennemis pour riposter avec tant de brutalité. Le combat prenait toujours place, je me mis au milieu du lieu de combat. Je plaçai mes deux mains, pieds écartés, je dis.
« Wood, Coc', accrochez vous ! »
D'un seul coup, je renvoyai alors mes ennemis se cognant contre les parois d'un mur qui se fissura tellement la puissance avec laquelle j'ai expulsé le gang fut puissante. A présent il n'y avait plus que moi, Wood, Coc' et Broly qui restions toujours debout. Les gros imbéciles étaient tous allongés, d'autres bavaient déjà, laissant leurs baves couler dans le sol sec, se mélangeant avec le sang chaud que mes ennemis vomissaient à chaque fois que ces derniers toussaient. Nous pensions alors que le combat violent était désormais finis. Mais malgré ça quelques survivants kamikazes eurent le courage de venir encore nous affronter. Mais... Coca suffisait amplement pour les accueillir façon sayan, c'est-à-dire un bon coup droit dans le ventre, suivi d'une énorme rayon énergétique bleuté qui sortit de la bouche, grande ouverte, de mon frère d'arme et qui renvoya les quatre défunts et derniers survivants à leurs places. Ces derniers poussaient un petit crie, leur dernier. Une mini champignon de fumée apparut alors sur leurs cadavres. Mais... on avait un sacré problème. J'avais prévenu mes camarades de ne jamais utiliser de kikohas, au cas où les gardes ne nous trouvent. Raté. Il nous restait simplement une chose, espérer.
« Coc', tu m'apprendras un jour à faire ce genre de truc. Finalement tu me caches plein de chose hein ! »
« S'bien beau tout ça... Mais... Je suis sûr que les soldats sont tous en train de chercher qui a fait.. ! »
« Désolé ! Mais hey ! A couvert ! »
Nous fûmes alors attaqués par un soldat armé comme il le faut. Ce dernier avait plusieurs armes derrière son dos, et je n'étais pas le seul à avoir remarqué ça. Wood avait une certaine idée, et ça se voyait déjà sur son petit sourire narquois. Coc' et moi avions sentit que les balles qui essayaient de nous atteindre étaient chargées de Ki. Une technologie tsuful encore une fois. Nous qui ne craignions pas les balles autrefois. Le dénommé Ball et Broly s'étaient mis à couvert grâce à une rangé de rochers très très résistants. Nous faisions alors la même chose, et en vitesse. Heureusement qu'il n'y avait encore qu'un soldat. Sinon, nous serions déjà mort. Mais malheureusement pour nous, le soldat, qui avait les même tenues que ses confrères, avait sur lui un lance flamme, ce qui renforça une nouvelle fois la situation. Wood et moi réfléchissions, tandis que Coca, lui, divertissait le soldat. Le bruit incessant des balles qui percutent notre protection énerva peut être Ball pour qu'ils se montre comme ça, à l'affut des balles. Ou peut être voulait-il simplement mourir. Wood arrêta de réfléchir, à la vue de son ami.
« Ball ! Mais t'es malade ! Mets-toi à couvert bordel ! »
Ball ne semblait pas se préoccuper de son ami qui l’interpellait, je me retournai pour voir la scène, on était dans une sale posture. Le soldat qui se trouvait juste au dessus de nous se mit à descendre de sa petite tourelle, prenant alors le lance flamme. Ce dernier poussa un énorme rire qui résonna dans toute la prison.
« J'ai pris exceptionnellement ce lance flamme pour te tuer salopard de vampire. Ton plan d'évasion ne sera plus que cendre car je vais en finir tout de suite. »
Notre compagnon suicidaire se rapprocha encore plus de notre ennemi, comme pour une incitation à le tuer. Il cria alors ces derniers mots.
« Ben viens là qu'on en finisse ami. »
Le soldat n'eut aucune pitié et incinéra alors le corps de Ball devant nous. L'assassin prit un plaisir fou à appuyer sur la gâchette pour balancer des flammes sur tout le corps de Ball qui soufra en regardant le ciel, même si on pouvait distinguer un sourire de sa part. Un énorme cri se fit entendre, c'était un des derniers cries de douleurs de notre ancien ami. Wood lui aussi cria, mais cette fois-ci, c'était un cri de rage. Mon ami fixa une dernière fois le corps de Ball tomber, totalement carbonisé. Seul ses pauvres dents étaient encore visible. Wood s'emporta alors juste à côté de moi, Celui-ci prit une poignée de terre, pour finalement la lâcher pour ensuite sauter sur le soldat meurtrier. Wood plaça des coups de poings en signe de vengeance sur la gueule du meurtrier. L'assassin tenta de se débattre, mais... la rage de Wood était plus grande. Il mit fin à ce combat en le tuant grâce au pistolet qu'il ramassa par terre. Et croyez moi, le tir était parfait. On entendit un son strident, puis nous vîmes quelques oiseaux s'envoler de peur. Le sang du meurtrier alla tâcher le tricot de Wood enragé. Coc' prit alors les armes qui étaient avec le défunt soldat. Nous étions tous armés à présent. La bataille finale allait commencer. Broly lui me regarda alors puis me dit.
« Vegeta. Coc', c'est le prisonnier 69... Qui l'aurait-cru. Je dois y aller, on se retrouve chez * elle * »
Le sayan légendaire s'envola alors, profitant de la mort du soldat en chef. Alors c'était donc lui le fameux prisonnier. Pourtant il ne m'avait jamais dit qu'il avait une femme. Eh bien, on aura des comptes à régler nous deux après qu'on se serait débarrassé d'eux. Enfin bref, nous étions tous armés, prêt à percer la défense « implacable » de cette prison. Nous étions donc au nombre de trois. Chacun d'entre nous faisait preuve de confiance et d'impatience. Nous trouâmes alors l'immense dôme de verre, laissant rentrer une immense vague de fraîcheur nous rafraîchissant alors, avant notre combat décisif. L'immense dôme se fissura de plus en plus, jusqu’à ce que cette construction ne se brise en plusieurs morceaux tranchants. Il faisait alors encore plus frais que d'habitude. Nous nous décidâmes alors de passer à l'offensive.
« Alors Vegeta, Wood, prêt à pourfendre ces putains de mecs ? »
Nous fîmes un petit hochement de la tête, réponse positive. Nous continuions notre chemin, à la recherche de ces putains de soldats. Sauf que c'était eux qui nous avaient eut. Ils nous attaquèrent par surprise derrière nos dos : les salauds s'étaient cachés derrière les rochers. On eut alors le réflexe de tirer un peu partout, quoi qu'il arrive. Wood fut touché sur le pied, la balle ayant atteint son objectif, on devait se replier, même fier comme je suis.
« On se barre les gars ! Wood je te porte, Vegeta, suis-moi ! »
Coc' prit alors Wood sur ses épaules, robuste comme il est, ça devait être facile. Nous évitâmes alors les balles de justesse, jusqu’à ce qu'on rentre dans une cachette, que Coc' connaissait bien. Je fis alors un retour dans le sombre, comme tout à l'heure, on était obligé de fuir, malgré mon envie de les combattre, Wood était blessé. On était dans le noir. Enfin... pendant quelques instants, Coca se mit à faire un petit feu, on se croirait à la campagne. Jusque là il faisait très humide, mais, grâce au feu, on avait de quoi se réchauffer. Moi et Coc' surveillaient le pauvre Wood, qui semblait énormément blessé, tellement qu'il perdit connaissance...
FLASHBACK SPECIAL WOOD : HIS STORY Point de vue de Wood...
Déjà petit, les seules intérêts que j'avais ne se portaient que sur le sport. J'adorais ça. Tout comme les autres de ma classe. Je suis un humain comme vous le voyez, mais avant tout un fanatique du sport. Je ne m'intéressais à rien d'autres que le sport. Sport, sport, sport. Le problème, c'est que mes parents, qui étaient d'une sévérité sans égal, voulaient que je sois un intellectuel, comme eux d'ailleurs. Comment être un intellectuel alors que je n'aime que le sport. Leur défi était impossible pour moi, mes moyennes dans les matières tels que le français, les maths, argh, allaient de 2 à 6 sur 20. Mes parents allaient jusqu'à me battre juste pour mon avenir. Tous cela me mit dans une rage sans limite, j'allais lever pour la première fois ma main sur mes parents... mais non, la rage n'était pas assez grande. Mais elle était amplement suffisante pour que je fasse quelque chose en rapport avec ma passion... L'armée ! Mais pour cela, je devais fuguer. Aaaah l'armée, je fus facilement intégré dans mon élément, j'ai été promu colonel un mois après. Que du bonheur. Enfin... Jusqu'à ce que mes parents ne me retrouvent, en pleine mission en ville. J'étais déjà grand, j'avais une vingtaine d'années déjà, mais, malgré 5 ans de séparation, mon père ne fut pas vraiment heureux de me retrouver, tout comme ma mère. Au contraire, les deux avaient contacté des mercenaires afin de m'emmener loin de mes parents. Rrrr... La capsule arriva juste après ma rencontre avec mon père et m'embarqua subitement. Je ne sais même pas si mon père et ma mère eurent pitié de moi à ce moment là. Je en savais même pas où on allait m'emmener. Finalement... C'est sur cette maudite planète que je suis tombé, on m'a fait prisonnier... Et grâce à dieu, je les ai rencontré...
MAINTENANT... Point de vue de Vegeta...
« WOOD ! Enfin ! Tu t'es réveillé, tu te sens prêt ? Dehors ça s'agite, les soldats sont énormément bien armés... »
« Ça peut aller... J'ai connu bien pire que ça, donne moi mon putain fusil.... »
Wood s'était enfin réveillé de son long sommeil . Je fis signe à Coca de me rejoindre, avec le stock d'arme que moi et lui avions ramassés alors que Wood perdit connaissance. Mon nouvel ami se releva grâce à mon aide, puis je lui donnai alors une arme, peu importe laquelle, mais du moment qu'elle soit puissante.
« Moi et Coc' pouvons insuffler du Ki dans les balles que nous tirons, ce qui rend ça très puissant. Comme tu es un humain, j'essayerai de t'apprendre à faire ça. »
Nous souriions tous les trois, prêt à foncer dans le tas afin de se casser de cette prison. Coc' éteignit le feu qu'il avait fait, nous étions déjà en routes. Plus on sortait du tunnel, plus on avait de la lumière. Nous courûmes alors dans le tas comme je l'avais prédis, et nous tirâmes alors un peu partout. Plusieurs soldats furent touchés par chance, et quelle chance ! Quelques balles frôlaient nos tête. J'avais cette impression de ralenti en moins alors. Notre trio fit un tabac. Nous réussîmes à éliminer un des derniers soldats, merci Wood ! Je pus voir la concentration que nous éprouvions lors de ce combat intense, Wood visait comme si c'était le combat de sa vie, en même temps, c'était vrai. A chaque mètre que nous parcourions, il fallait impérativement qu'on se trouve un abri pour se couvrir. En répétant cette action plusieurs fois, nous avions exterminés toute l'armée qui garde la prison. Héhéhé ! Le sang coulait de partout, il y avait des cadavres à pertes de vue. Nous avions réussi à percer l'ultime défense. Les bruits incessants de mitrailleuses, les cries de douleurs, tout ça, c'était fini ! Le calme revenu, nous criâmes alors un cri de joie, qui signifiait alors notre victoire complète. Nous étions 3 contre toute une armée de soldats bien armée. Pour Wood, ce n'était pas de la chance. Je pris les clés des mains toutes dures du défunt garde d'entrée, puis ouvris la porte... ON EST LIBRE ! Enfin ! Après une lutte interminable dans cet enfer, nous nous retrouvâmes libres, à l'extérieur de la prison.
J'avais jeté mes armes, mes deux amis firent de même. Jusqu'à ce qu'un dernier survivant ne surgisse derrière nous, le survivant me prit avec rapidité et brutalité par le cou, j'étais foutu. Wood se joignit à moi puis plaça un coup de poing énorme en plein la gueule du survivant . Je fus libéré pour mon plus grand bien, surtout que le mec avait un couteau. Wood continua de s'acharner sur le dernier soldat, mais malheureusement il s'est fait avoir. Le soldat avait un pistolet ! Le soldat releva Wood devant moi et Coca et fit subir le même sort que moi. Coca allait s'en occuper mais...
« Non Coc' ! Va-t-en avec Vegeta ! Laisse le me tuer, je ne mérite que ça. Ne te retourne pas ! Et vas y ! Ta femme t'attend »
Wood s'est sacrifié... J'aurai pu le sauver... Mais... Pour lui... Coca devait impérativement retrouver sa femme... Quel mort. Je jurai devant tout ce que j'ai que j'allai venger ce pauvre Wood. Mais pour l'instant il fallait d'abord ramener Coca chez sa femme. L'enfer était désormais terminé. C'était une sacré aventure. Moi et Coca Coola nous nous contentions de marcher à pieds, foulant tout les deux le sol de Ginyu. Nous entendîmes alors de loin un bruit de fusil. Une larme apparut dans mes yeux, tout comme dans celle de Coc'. Nous nous arrêtâmes un moment. Repose en paix.... Nous arrivâmes alors à destination, j'espérais voir Broly...
Dernière édition par Végéta le Mer 31 Aoû - 10:09, édité 1 fois
Sujet: Re: Sayan en Danger [Rang IV] [PV: Végéta] Mer 31 Aoû - 5:08
Un Bain de Sang
Je me mettais désormais en direction vers la maison du Numéro 69, le temps passait un peu plus, des morts et un combat s’était créé dans cette prison (The Hell) ou les gardes avaient prit la mort. Ball ayant prit la mort m’avait dit quelques temps avant:
« J’ai des pertes de mémoires dû à une maladie qui me bouffe mes pensés à chaque instant de ma misérable vie »
Cela expliquait pourquoi cet homme m’avait demandé de le faire évadé alors qu’il possédait bien avant le plan lui-même… Une triste nouvelle qui me rendait si confus. Le chef de ce pénitencier restait inconnu à mon égard, s’était il mit à mes trousses? Je ne le savais pas mais je devais allé annoncé à cette femme tristement ému que son mari allait venir avec Béjitâ qui allait forcément venir de grés ou de force avec Coca Coola. En allant vers la maison de la dame je voyais alors des hommes qui se tenaient à l’extérieur avec les mômes ainsi que la mère elle-même. Ils semblaient être en pleine discussion et je devais y’allé. Alors que j’étais sur le point de me poser au sol une balle de revolver électrique se mettait à venir à pleine vitesse vers mon épaule, elle pénétrait profondément en rejetant des gouttes de sang ainsi que d’énormes souffrances en moi. Je perdais tout contrôle sur mon envol me laissant chuté au sol prés des personnes qui étaient avec la famille de ce Coc’. Je levais les yeux vers le haut quand je voyais soudainement des hommes qui tenaient à l’aide de leurs gros bras cette famille qui était menacée de mort. Un homme très musclé se trouvait au milieu c’était sûrement le chef des gardes qui était coléreux face à nos actes. Quand il dit alors:
« Alors ! C’est toi qui a foutu un sale bordel dans la prison? Euh bien nous allons vous montrer ce que vous méritez »
Béjitâ & Coc’ vinrent peu de temps après sur les lieux voyant les hommes tenir en otage Juliette et Julia. Coc’ était sur le point d’attaquer quand les hommes de la prison tranchèrent les gorges de la femme, de son fils et de sa fille qui prirent la mort par la suite. Le sang s’écoulait au sol le chef ricanait tel une victoire sans pitié, la colère envahissait Coca Coola à chaque instant qu’il voyait sur la scène quand il prononça ses mots d’un ton de rage et de fureur:
« VOUS ALLEZ ME PAYER BANDE D’ENFOIREE »
Il fonçait avec rage en cognant la figure du chef qui se mettait à rire sans arrêt en regardant constamment notre ami qui était sortit de prison. Béjitâ lui était là, fixant une fois de plus cet évènement impuissant face à ce moment de l’histoire. Il était comme choqué de voir cette femme sous son voile morte avec une flaque de sang qui recouvrait le sol noirâtre. Quand Coca lança par surprise une boule d’énergie blanche qui se formait dans le ciel tel une nouvelle Lune qui s’empressait de métamorphosé celui-ci en un gorille géant qui allait détruire toute matière sur son passage. Il attrapait les hommes les étranglant de rage quand il aplatissait les corps de ses ennemis sans aucun répits les transformant en une crêpe rougeâtre. Après avoir tué le reste des gardes ainsi que le chef du pénitencier qui firent partie des cadavres restants de la famille du Sayan que l’on avait fait évadé. Végéta prenait par la suite une barre de métal très tranchante quand il enfonça directement sur la queue du jeune Coc’ qui reprit sa forme initiale. Un temps après le mari veuf et triste prenait un des fusil qu’avait utilisé les jeunes gardes, quand il tirait une balle sur le front de son crâne prenant la mort soudaine. Cette fin d’aventure n’était pas la meilleur et je ne pouvais plus voir ce massacre total ainsi que la mission réussi pour finir dans un bain de sang fatal. Je prenais la route m’envolant de toute mes forces laissant Béjitâ sur les lieux choqué par ce moment intense et triste.
Spoiler:
RP finit ! Demande de comptage de lignes + coopération et un Bonus pour nous deux, merci