J'étais toujours en train de planer. Quel coup de poing ! Ces sayans étaient vraiment pleins de ressources. Broly et moi avions fait détaler quelques brigands au village, vous vous souvenez ? Puis après, a la pleine lune, il s'était transformé en espèce de gorille de six mètres... Meme qu'il m'avait envoyé valser a travers la couche d' ozone juste parce qu'il... parce que rien du tout, en fait ! Il n'avait aucune raison valable pour me faire valdinguer de la sorte ! Enfin... Mon problème majeur était de savoir comment atterrir, et sans encombre si possible ! J'avais, lors de mes combats au village, été subitement transformé en dragon. Comment j'ais fait ? Je me le demande. Car avoir des ailes résoudrait le problème de l’atterrissage. Bon, quand je me suis transformé, j'étais épris de colère envers mes adversaires. Si c'est la raison de ma transformation, rééditer cet exploit devrais être possible : les sayans se transforment bien en ssj a volonté, eux ! Bon, tentons ! Qu'es-ce qui pourrais m’énerver ? Cerveau en éruption ! Broly, qui m'avait expulsé, m'avais énervé a un point...
« sérieux, pour qui il se prend de m'envoyer voler, comme ca, la ! Qu'es-ce que je lui ais fait ? Hein ? HEIN ??? RAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!!!!!!!! »
Et voilà le travail ! Je sentais le picotement que j'avais ressenti lors de ma première transformation, ce qui prouvait que sa avait marché. Je m'envolais donc, déployant mais ailes noires comme du charbon. Elles étaient constituées d'une fine membrane, noire bien sur, mais l'on pouvais tout de même voir a travers. La partie supérieure cette membrane était recouverte par un membre puissant que j'actionnais sans difficulté. Voler ne semblais pas trop difficile. Ne semblais. A peine trois secondes plus tard, je vrillais et m'écrasais sur le sol blanc. Mon atterrissage avait formé un cratère a la surface de se qui semblait être une plaine : Au sol se trouvait non pas de la glace, mais de l'herbe givrée. Dans quel bled j'étais encore tombé ? Je me relevais avec grand peine, je devais avoir des cotes cassées. J'avais malgré tout eu de la chance, car, si je n'avais pas été recouvert d'écailles, sa aurait été autre chose que les cotes de cassées, et j'aurais sûrement péris. Mais bon, on s'en fout, puisque je suis vivant. Donc, j'étais arrivé dans une plaine ou il faisait froid glagla, et je ne savais pas comment partir. C'est alors que je vis un petit homme, a quelques mètres de la, qui me regardait, avec une tête d’illuminé. Je m'approchais, mais il continuait a regarder le trou fumant que j'avais créé. C'est vrai que sa doit être impressionnant de voir un dragon tomber du ciel et s'écraser telle une météorite sur le sol. Qui plus est dans un endroit désert ou rien ne se passe. J'arrivais a sa hauteur quand il tourna la tête pour me dévisager.
Quel étrange petit être ! Me dis-je
« Mmph mmmmphmmphm . Hmmmphmmumfmufmuf
-Hein ?
-retirant sa cagoule : j'ais dis, que faites vous ici étrange dragon divin ? Quel est le parjure qui a osé vous faire sortir du firmament ?
*sûrement un de ces neuneus qui croient a ces contes de fée que sont les écrits religieux. Mieux vaut jouer le jeu. * Hem, euh non ne t'inquiète pas, fidèle sujet. J'ai moi même pris la décision de sortir de mon antre divine. Montre toi reconnaissant envers ton dieu qui descend vers toi pour apporter bonheur a ton foyer, et offre lui un repas ainsi qu'un endroit pour dormir. Demain commenceront les miracles que je vais t'apporter »
Sur ce, le petit bonhomme paraissait enchanté, et me priait de le suivre jusque chez lui. Il sortait de sa poche une capsule miniature, appuyais sur le bouton, et une motoneige apparut. Prenant place au volant, il se retourna soudain
« Il n'y a pas de place pour un dieu dragon sur mon humble monture. Je suis désolé ! Mais par pitié ne me châtiez pas !
-Attend et regarde ! Je reprenais ma forme habituelle. Voila, je peux monter. Conduit nous chez toi. »
Je montais sur la moto, et le petit homme me conduisit dans sa demeure. On arrivais devant une petite maison faite en glace, en forme de dôme. Contrairement a ce que l'on peut croire, l'intérieur était chaud, malgré les murs constitués de glace . Il vivat avec sa femme, et deux enfants, qui devaient avoir a peu près 20-25 ans. Après une soirée ou j'avais été soigné comme jamais, je prenais place dans un lit confortable et passais une nuit agitée : Comme lors de mon évanouissement, je rêvais que je volais et que je capturait une proie, avant de la manger. Au réveil, je n'avais étrangement pas faim. Était-ce du a cet étrange songe ? Peu m'importais. Sa ferait un repas et donc du poids en moins. Je me levais, et tous me prêtèrent attention, surpris. J'avais la flemme de leur parler, et je cramais tout d'un geyser de flammes. Les murs fondus, les blédards cramés, Je repris ma route a travers la plaine. A pied. Comme un @@@, j'avais explosé la moto avec mes flammes. Plusieurs heures passèrent, et j'avais renoncé a voler : Plusieurs tentatives infructueuses m'avaient découragées. En plus, mes cotes cassées me faisaient souffrir a chaque battement d'ailes. Je m'étais mis dans une situation pour le moins embarrassante, car marcher ne me seyait guerre. Heureusement, quand je commençais a avoir froid, je n'avais cas cracher le feu pur me réchauffer. J'entendis au loin un bruit de moteurs : Une troupe d'hommes armés me poursuivaient sur des motos semblables a celle du petit homme. Ils venaient venger leur compagnon. Cool, je pourrais prendre une des motoneiges.
Dernière édition par Draconis le Jeu 2 Juin - 17:17, édité 2 fois
Sujet: Re: Atterissage forcé*BAAM* Dim 29 Mai - 16:10
Dix minutes passèrent, et mes doutes s'étaient envolés. Les hommes sur les motos étaient bien a ma poursuite. Sa m'évitais de m'approcher, puisqu'ils venaient sur moi. J'attendais donc patiemment que les gnomes soient a ma portée, et invoquais mon fouet. Comme je le pensais, ils parurent déstabilisés mais ne ralentissaient pas pour autant leur allure. Le combat s'engagea alors. Le premier d'entre eux me sauta dessus, déployant sa puissance. Peuh , un moustique ! Un coup de fouet lui arrachais la peau du coup alors qu’un autre de ces gollums bondissait de son véhicule. Un peu plus puissant, cette fois. Ainsi, les insignifiants combattants succombaient un a un, le suivant chaque fois un peu plus puissant que celui qui l'avait précédé. La moitié étaient tombés lorsque le guerrier qui s'avançait avait l’équivalent de ma puissance, enfin de la puissance que j'arborais lors. Je déployais soudain toute la puissance que je possédais sous cette forme, soit plus du double qu'il y a un instant. Ma supériorité de dura qu'un instant : plus je tuais de guerriers, plus vite leurs puissances augmentaient, et les trois derniers me surpassaient. Plus le choix, il faut se transformer ! A ma grande satisfaction, la métamorphose était de moins en moins difficile a effectuer, et je me retrouvais bientôt avec des écailles et des dents acérées. Mais, malgré mon augmentation de puissance, vaincre les guerriers fut plus difficile que prévu, car, étonnamment ils ne semblaient pas souffrir de la chaleur même emmitouflés dans leurs doudounes, et je fus vite débordé. Lorsque l'on vous frappe au niveau des épaules, aux jambes et aux... Bijoux de familles, il est très difficile d'esquiver une des attaques sans se prendre du même coup une mandale de l'autre coté ! Ce combat ne dura pas longtemps, mais me paru tout de même une éternité. Plein d'entailles partout, je peinais a combattre. Sans réfléchir, j'envoyais une vague d'énergie en l'air. Profitant de la diversion, je tranchais le plus faible des trois esquimaux en deux, se qui éclaboussais les deux autres du sang de leur compagnon. Vif comme l'éclair, je balançais un poing d'énergie dans l'un d'eux, qui tombait inconscient. Mon autre adversaire put alors me transpercer l'épaule de sa lance, qui se brisait sous l'impact, laissant un morceau long comme un avant bras entre mes écailles ensanglantées. Je me retenais de hurler, mais cet effort me coûtait un coup de bâton sur le crane. J'étais sonné, mais cela n'étais pas grave : les restes de lance avec lesquels il m'avait frappé s'étaient éclatés en mille morceaux, laissant l'inuit sans arme. Tout a l'heure, il visait mes valseuses ? Vengeance ! Un pied d'énergie dans les roubignols l'avaient plié en deux, et il restait devant moi en m'insultant. J'abrégeais ses souffrances avec un coup d 'épée qui le traversa de part en part. Nagéis venait de perdre ainsi trois combattants. Cela servirait de leçon aux idiots qui pourraient, pour une quelconque raison, s'en prendre a moi. J'enfourchais alors une moto qui me semblais en bon état et continuais ma route à travers cette plaine toute blanche.
Bientôt, j'eus la confirmation que je n'y connaissais rien en moto, puisque j'avais pris un engin ou il ne restais même pas pour trois heures d'essence. Donc, je descendais de l'engin, et continuais a pied, comme une âme en peine. Dans un fol espoir, je tentais de m'envoler comme je le faisais dans mes rêves, mais ne réussissait qu'a planer pendant deux ou trois secondes, et m'écrasait au sol. A ma grande surprise, le sol était chaud et mous. Il semblait se mouvoir, au même rythme que... Ma respiration !? Je baissais la tête : le sol n'était plus blanc et constitué d'herbe, mais beige et lisse comme du cuir . Par simple curiosité (et bêtise, accessoirement.), je cramais cette étrange matière. Un cri suraigu retentit, et je basculais sous l’effet de la surprise. Surgissant de terre, une espèce d'asticot me fonça dessus en déployant ses crocs ; si rapidement que je peinais a esquiver. D'un coup de sa queue géante, il m'envoyait manger le sol. Il était rapide, le bougre ! Je me relevais seulement qu'il rechargea tête la première, mai, cette fois, je n'allais pas me laisser avoir par ce monstre hideux. Je sautais au dessus de sa tête, et aperçu un œil énorme, qui me fixait. Je n'hésitait pas, et plongeais, le rendant borgne de mon épée de feu. Encore un cri. Et encore une fois je tombais au sol. La bébête ouvrit grand les mâchoires. Quelle ne fut pas ma surprise quand, au millieu de ses dents pointues, se formais une boule d'énergie plus grosse que moi ! Un rayon plus gros encore me fonçais dessus au moment ou il lâchais son énergie. Une seconde de plus la ou je me trouvais, et j'étais mort. Un mystérieux personnage aux cheveux noirs hérissés en piquants venait de me projeter sur le coté. Sa puissance était presque égale a la mienne, quoique légèrement plus haute, mais de peu. Il venait de me sauver la vie et me regardais. Puis, surpris, je m'exclamais :
« qui est tu étranger ? Et que vient tu faire dans ce coin paumé infesté de vers géants ? »
Oui bon bas c'est tout ce que j'ai trouvé a dire.
Dernière édition par Draconis le Jeu 2 Juin - 17:18, édité 1 fois
Sujet: Re: Atterissage forcé*BAAM* Dim 29 Mai - 21:32
En arrivant sur la planète Naegis, je sentie une grande puissance, même si elle était plus faible que moi, elle était quand même considérable. La puissance en question, devenait de plus en plus faible. La personne qui dégageait cette puissance, méritait que je l’aide. Quelque qui se rapprochaient de mon niveau a ce point c’était plutôt rare!
Je m’envolais vers la zone ou je sentis la puissance, survolant la région, je vis plein de cadavre joncher le sol. Je continuais ma route. Soudainement je vis un ver géant qui préparais une boule d’énergie, elle relâcha toute la pression, je sautais par en avant et je fit projeté sur le cote le guerrier avec une grande puissance. Je lui dis :
-Qui est tu étranger ? Et que vient tu faire dans ce coin paumé infesté de vers géants ?
-Pfff! Comment ose tu me parles ainsi! Je suis venu te sauvé!
Le ver géant me montra les dents, il avança la tête vers moi et claqua des dents. J’ai eu facilement le temps d’esquivé sont attaque. Je concentra le ki dans ma paume de main, et lui lança en plein ventre. Le monstre tomba à la renverse, mais se releva aussi tôt! Je courut vers le monstre et lui donna un coup de pied dans l’œil fonctionnel. Le monstre entra en une sorte de rage incontrôlable et me chargea sans même faire attention a mon poing qui le heurta de plein fouet.
Le temps qu’il reprenne ses esprits je me mis a méditer pour reprendre mes forces, car le combat qui allais bientôt reprendre ne sera pas tache facile. Le monstre ayant repris ses esprits me frappa avec toute la rage qu’il portait en lui et le choc qui se repartit dans mon corps fit céder le sol sous mes pieds.
Je tomba dans le vide, la chute fut longue et douloureuse, car les parois rocheuse qui se rapprochais de plus en plus de moi écorchait chaque partit de mon corps. J’eus l’impression que la chute dura des heures et des heures, enfin rendu au fond. J’entendis un craquement sourd, j’ouvris les yeux avec peine, je vis le vers les sauté dans le trou, j’eu a peine le temps faire une roulade sur le coté.
Mon visage était plein de sang, j’avais de la difficulté a respiré. Mon corps refusait d’obéir! Comment une créature pouvait me faire autant de dommage c’était impensable. Le ver ce leva me prit dans sa gueule, et commença a ferme la bouche, ses dent acéré transperçait mon armure. Le désespoir commença a m’habité, la souffrance était telle que je n’arrivais même plus a réfléchir.
Soudainement, je revoyais ce que j’ai vécu, la femme que j’avais amené comme concubine, l’enfant que j’ai corrompu au vice , le bébé que j’ai fait explosé et le bébé saiyens a qui j’ai promis de rendre plus fort que moi. Tout ces souvenir et la souffrance que je ressentais me firent comprendre que tout le mal que j’avais fait n’était aucunement utile, elle ne servait qu’à faire la peine autour de moi.
C’est a se moment la que je compris que je devais survivre pour réparé les erreur que j’avais commis lors des précédent méfaits, puissant mes forces du désespoirs, je me transforma en super saiyens 2, sentant en moi une puissance infini.
Je leva les bras, je sentie la créature ouvrir de plus en plus la bouche, je réussi a me libérant. Je me relevai. Le ver géant me fixait. Il n’était pas sur si il devait continuer a m’attaque ou fuir, malgré ma force infini, je sentais mon énergie se vider a une vitesse extrême, je contrôlais a peine cet transformation, je devais en finir le plus vite possible de ce ver géant, je m’envolais dans le trou, le ver était tellement long que juste en sautant il me rattrapait.
Sortant du trou, deux énormes boules de kikoha, étaient près pour. Enfin le ver sorti du trou, il reçut les deux boules en plein visage. Enfin j’ai réussi à le tuer! J’haletais encore de fatigue, que soudainement une chose me happa dans le dos. C’était un autre ver géant, pas aussi gros que le premier mes toujours aussi fort.
Trop fatigué et je n’avais plus d’énergie pour contenir la puissance du super saiyens deux. Mes cheveux dorés sont redevenus noirs et mes muscles sont revenus à leur état initial, toute les blessure que l’autre ver mon fait me refait encore plus mal qu’au départ.
Le ver qui venait de me frappé disparu dans un des ces trou, il ne faisait que passé par la et il m’avait happé en chemin. Couché sur le dos, je ne pouvais même plus bougé. Je sentait la mort m’emporté. Soudainement, j’entendis une voix douce à mon oreille. J’ouvrai les yeux dans un ultime effort et je vis une femme blonde et grande, de beaux yeux bleus. Sa peau paraissait si douce au touché.
Elle me chuchota à l’oreille de survivre et d’aller voir celui que je suis parti aidé, que je n’allais pas le regretté. Elle me disait aussi que j’étais dans la bonne voie pour me faire pardonner. Elle disparu comme elle est apparue.
Encore une fois, mon intuition me disait de prendre au sérieux les paroles de la belle dame, je concentrais mes dernières forces et je me levais. L’effort me faisait mal… Mais je savais que je devais aller revoir l’inconnu à l’énorme puissance
Broly_zou
Sayans
Nombre de messages : 34
Age : 30
Date d'inscription : 15/05/2011
Fiche du guerrier Renommée: Zénies: 72250 Niveau: Niveau 92 +5 (Armure)
Sujet: Re: Atterissage forcé*BAAM* Lun 30 Mai - 21:50
♫ Sayan.… ♫
Une pleine lune resplendissante, c’était si beau mais terriblement dangereux en présence d’un sayan comme c’était le cas présent. Une étrange sensation m’envahissait d’un seul coup, qu’est ce que cela pouvait bien être. Lentement mais sûrement chacun de mes membres s’engourdissait peu à peu. Commençant d’abord par les jambes je tombais lamentablement au sol impuissant…Levant péniblement les yeux au ciel je contemplait cette lune qui serait bientôt le fléau de mon compagnon possédant la marque des Majins. Dans un moment de désespoir je le suppliais de s’enfuir tandis que de longs et épais poils bruns se propageaient sur l’ensemble de mon corps. Mes muscles grossissaient, ma poitrine s’élargissait et je grandissais de plusieurs mètres pour atteindre bientôt une taille gigantesque. Quel monstre étais-je devenu ? Alors que mon esprit ordonnait à mon corps de bouger je restais statique, plus rien ne répondait. Ma persévérance n’avait à rien car après quelques minutes je poussa un terrible grognement et frappa violemment Draconis qui fut expulsé au loin. C’était comme si j’étais saoul, j’étais conscient mais mes actions étaient incohérentes, je détruisais tout sur mon passage. Dans ma folie je me prit pour le roi de la jungle et frappa vigoureusement ma poitrine avec mes deux énormes poings, un bruit sourd se fit entendre. Puis sans même que je le veuille prit la direction où le Majin avait été expulsé peut être dans mon illumination je voulais en terminer avec ce type allez savoir. Traversant une étrange foret que j’écrasais à chacun de mes pas, j’était implacable.
L’obscurité de la nuit doucettement éclairé par la lune avait laisser place à un radieux lever de soleil. L’agitation de la veille était bien loin désormais puis que le jeune sayan était redevenu comme avant…Enfin...Presque. Sa croissance l’avait forcé à faire craquer ses vêtements, du moins simplement son pantalon qui n’avait pas vraiment résister au cuissot de gorille. L’armure sayen avait quand à elle survécu si je puis dire au désastre, ayant la capacité de s’élargir en cas de besoin. Le pauvre garçon s’éveilla lentement ébloui par la lumière du soleil qui venait réchauffer sa peau tandis qu’il s’étirait de tout son long. Cela pouvait paraître étrange mais Broly n’avait que de très vague souvenir de sa soirée passer au clair de lune, il se rappelait simplement qu’il avait heurté Draconis lorsqu’il était dans sa forme primitive. Tout ceci n’était qu’un accident rien de plus mais avec la puissance qu’il avait atteint il serait dangereux de s’être prit un coups par ce monstre. Inquiet au sujet de son compagnon le jeune humanoïde croisé chimpanzé se releva nu comme un vers et chercha une habitation dans l’espoir de pouvoir avoir de nouveau un pantalon. Mais sa quête envers une tenue descente fut rapide car à peine sortit de la forêt enneigée où il venait de passer la nuit, il tomba nez à nez avec un homme avec toute sa petite famille. Le petit groupe entièrement composé d’adulte semblait désemparée du faite que leurs maison construit à base de glaçon fut complètement réduit à l’état liquide.
Dans un sens il avait maintenant un second problème sur les bras…Celui d’un homme de vingt ans nu et qui se tenait juste devant eux. Le sayan ne semblait pas pus gêner que cela quoi que les regards était dirigé sur lui et ses…Attributs viril. Bien qu’il ne soit pas gêner, Broly n’aimait pas vraiment se balader ainsi, on pourrait toujours le prendre pour un détraqué sexuel qui sait et de nos jours se n’était pas rare d’en croisé un. Il salua comme si de rien n’étais la petite famille et attrapa un pantalon qui se trouvait sur l’étendage juste à coter et l’enfila le vêtement tandis que les jeunes gens était bouche bé. Il repartit aussitôt pour retrouver son ami qu’il avait frappé par accident, la meilleur façon de pouvoir le recherché avec efficacité : Prendre de la hauteur. Ce fut donc peu de temps après cette brillante idée que Broly décolla du sol et vola, le rêve que chaque homme déjà eut au moins dans sa vie. Voler de ses propres ailes…Sauf que là c’était sans battre des bras qu’il planait. C’est alors qu’il était en train de perdre espoir de sa recherche de son ami qu’il découvrit une silhouette juste dessous, un homme c’est tout se qu’il savait. L’inconnu en dessous semblait prit au piége par un vers géant, le sayan usa de sa technique de dématérialisation pour se transporté au coté du jeune inconnu mais alors qu’il était réapparu il y avait déjà un autre sauveteur.
Tournant légerement la tête, Broly eut la confirmation sur l’identité de l’inconnu, s’était bien Draconis mais le second homme….Il avait tout de même quelque doute sur sa race. La théorie du sayan serait très probable étant donner qu’il avait lui aussi une queue. Mais alors qu’il venait de mettre hors d’état de nuir le ver géant Draconis entama la conversation. -Qui est tu étranger ? Et que vient tu faire dans ce coin paumé infesté de vers géants ? -Pfff! Comment ose tu me parles ainsi! Je suis venu te sauvé!Hmm…Il était bien susceptible ce sayan…Sa n’allait pas arranger Broly qui allait bientôt le questionner pour avoir plus d’information à son sujet et sur les sayans. Il voulut le questionner il était déjà repartie combattre un ver…Qu’il aille s’amuser ailleurs on avait d’autre chat à fouetter…Et trandis qu’il s’amusait comme un enfant avec son ver de terre, Broly s’excusa au prés de Draconis.
« Excuse moi pour tout à l’heure, je n’était pas moi-même. »
Ceci je crois qu’il le savait déjà mais autant en être certains et ne pas mettre de malaise entre les deux hommes. Ce ne fut qu’après quelques minutes que le précédent sayan revint de son combat contre son ver. Combat qui…Avait du être difficile car il saignait énormément…En tout cas il était faible pour son niveau, sa puissance était plus faible que celle de Broly bien qu’il soit en super sayan de niveau 2 et que Broly ne soit que dans sa forme sayan au cheveux bleu foncé. A peine fut-il revenu que le sayan légendaire interpella le guerrier.
« Hey toi…Autant te mettre au parfum tout de suite, les sayans je les traque pour récupérer de précieuse informations sur mon passé…Continue à répondre ainsi à Draco et ma traque sera récompensé par un fabuleux trophée…Ta tête. »
Voulait-il vraiment le tuer s’il continue à agir ainsi ?...Sans doute qu’il le ferrait s’il voit que le sayan prés trop d’aise envers son ami, il était peut être amnésique mais c’était avant tout un homme avec un cœur qui à des liens d’amitié.
Sujet: Re: Atterissage forcé*BAAM* Mar 31 Mai - 21:19
Le souvenir était présent. Présent en moi. Ce jour, ou j'avais intégré mon illustre clan. The fallen god... Le dieu tombé. Tombé mais prêt a reprendre le flambeau de la domination. Le jour ou je lui ais juré allégeance, j'avais promis que je serais digne de mon dieu, digne du seul et unique dieu ! Kuja, je serais fiers, et ne salirait pas ton nom ! Je deviendrais fort.
Plusieurs jours avaient succombé sous le poids tu temps. Plusieurs jours depuis que j'avais rencontré broly, et ou il m'avait asséné un coup d'une puissance telle que j'avais littéralement décollé, traversant le ciel, tel un héron, pour ne m’arrêter que très rarement. Très rarement, c'est le mot. La seule et unique fois ou je m'étais « arrêté » de voler, c'est pour m'écraser... On diras ce que l'on veut, même un dragon peut avoir des difficultés a voler, c'est pas simple. Il faudrait vraiment que j'apprenne a léviter, comme broly... Mais là n'est pas l'important. L'important, c'est ce que j'allais faire pour me sortir de cette grosse bouse dans laquelle je m'étais mis : paumé dans une plaine paumée.. Sans nourriture, boisson, ni endroit ou dormir... En plus, manque de chance, j'étais tombé sur un gars qui ressemblait a une peluche avec son manteau de fourrure... D'ailleur, j'avais cramé sa maison, sous le coup d'une pulsion. Je ne m'en était pas rendu compte sur le moment, mais j'avais de plus en plus de pulsions, et c'était flippant, même bien flippant ! Ensuite, plusieurs hommes-peluches étaient venus me casser les ******** parce-que j'avais grillé leur pote. Quels cafards ! Cafards que j'avais écrasés de ma semelle. Cependant, trois d'entre eux m'avaient tout de même donné du fil a retordre, tant leur puissance était élevées, pour des humains en tout cas. N’empêche, une fois changé en dragon, ils n'avaient rien pus faire, malgré leurs niveaux. Tout cela m'avais malgré tout épuisé, et je me souviens avoir peiné a progresser dans le désert herbeux. Plusieurs tentatives de vol infructueuses avaient fini de m'achever, et ma lassitude était telle, que je ne réfléchissais plus, puis vint mon erreur. C'est donc sans réfléchir que je carbonisais un morceau de sol étrange qui dépassait de l'herbe givrée. A ce moment, un vers de plus de 10 mètres surgit du sol, me frappant, dans une rage implacable. J'y serais sûrement passé si un étrange être qui passait par la ne m'avais pas éloigné du rayon fatal que le monstre lachait sur moi. Un gars très succeptible : a peine lui avais-je demandé qui il était qu'il se mit en colere... Comme quoi, on trouve de tout de part le monde !
C'est sans crier gare que broly apparaissait, dé-transformé a mon grand soulagement^^. A peine avait-il posé pied a terre que le ver fonçait vers mon susceptible sauveur. La bête avais creusée d'énormes galeries, du fait de sa grande taille. Les deux tombèrent dedans. Plusieurs minutes passèrent, et broly s'était excusé de son comportement. Je l'avais déjà pardonné, naturellement, puisqu'il n'était alors pas dans un état conscient. Mais, de voir qu'il prenait la peine de s'excuser, cela me faisait plaisir. Je m’apprêtait a combler ses doutes en acceptant ses excuses, quand, couvert de sang, le guerrier sortais du trou profond. Ce n'était plus le même homme : de noirs, ses chez-eux étaient maintenant passés au blond. Un super sayan, lui aussi ? Mais une autre chose me choquais alors : d'une plaie apparemment sans gravité, peu profonde mais longue, jaillit une giclée d'un sang rouge clair, le même sang propre et clair que celui qui passait dans les artères. La blessure le fit tressaillir, mais pas tomber. Au moment ou il diminuait sa puissance, un autre vers -moins grand que le premier- le happait, et cette fois-ci, il s'écroulait. Broly semblait remonté contre cet étrange inconnu sayan. Lui qui s'exprimait d'habitude d'une voix calme et posée, il me surpris, car c'est d'une voix ferme et tranchante qu'il s'exprima :
« Hey toi…Autant te mettre au parfum tout de suite, les sayans je les traque pour récupérer de précieuse informations sur mon passé…Continue à répondre ainsi à Draco et ma traque sera récompensé par un fabuleux trophée…Ta tête. »
La, j'étais gêné. Moins que l'inconnu, qui resta figé sur place. Il venait de se relever et je crus que cet avertissement ne se termine par un décès, car le sayan (pas broly, l'autre) se retrouvais a terre une nouvelle fois. Même si broly ne l'aimais pas, il m'avait sauvé la mise. Un macchabée de plus n'aurais été que trop.
« Broly, meme si tu ne l'aimes pas, il faut l’emmener a un quelquonque médecin. Je ne veux pas d'une nouvelle mort par ma faute. De plus, si arrogant soit-il, il m'a sauvé. Si tu ne l'aides pas, je le ferais, mais tes bras seraient une aide précieuse. Aidons-le, il le mérite. »
Cela gènait broly, je le voyais bien. Sans un mot, je pris le blessé dans mes bras et avançais, en route pour la plus proche agglomération. Broly me suiverait si il le désirait, et je ne le regardais pas lorsque je partais en quete d'aide.
Dernière édition par Draconis le Jeu 2 Juin - 17:16, édité 1 fois
Sujet: Re: Atterissage forcé*BAAM* Mer 1 Juin - 12:30
Je me réveillais en sursaut, j’ouvris tranquillement les yeux. J’étais confortablement couché dans un lit, la pièce était vraiment petite. Malgré sa petite taille je me sentais à mon aise. Les murs était fait en bois rond tandis que le planché était fait de bois. Je vis que l’inconnu à qui j’avais sauvé la vie me regardait en souriant, tandis qu’une autre personne, assez musclé et avec les cheveux noirs, me regardait avec un air méprisant. Je levais ma main vers mon visage a la recherche de quelque blessure je vis que ma peau n’avait aucune marque. Quelle médecine pouvait accomplir un tel miracle! Je m’interrompis dans mes pensées et je dis :
-Je suis extrêmement désolé de vous avoir parlé sur ce ton, malgré que votre puissance est inférieur a la mienne j’ai cru bon de vous interpellé sur ce ton. Depuis mon combat contre le ver géant, en moi tout a changé. Je vous serais reconnaissant à ce que vous me pardonniez, et je peux connaître votre nom, le mien est Aurus Aurisu.
Je me levais, j’étais nu. Les deux guerriers ainsi que moi n’éprouvaient aucune gêne à me voir ainsi. Dès que je touchais le planché de mes pied, j’eu un grand frisson qui me parcourra la colonne vertébral. Je me tournais vers le guerrier qui me regardait d’un air méprisant et je lui dis :
-Je ne sais pas pour quel raison vous êtes méprisant à mon égard. D’après mes souvenirs je ne vous ai jamais adressé la parole. La seul chose que je me souviens c’est que j’ai aidé à combattre le ver géant ce guerrier au grand cœur. Je vous pris d’accepté mes excuse si j’ai dit quelque chose de menaçant ou déplacé.
Toujours nu j’allais j’us qua mes vêtements posés sur une petite table muni d’une lampe et d’un gros livre sur la médecine. Je mis mon pantalon tout réparé des trous qui suivait le combat ainsi que mon armure Saiyens. J’examinais mon Scooteur il paraissait en bonne état, je regardais le guerrier auquel j’avais porté de l’aide précédemment et je vis qu’il était de puissance encore inférieur a la mienne. Tandis que l’autre, le grand musclé, était d’une puissance de supérieur a la mienne. La mienne variait entre les deux, mais penchais plus vers le guerrier le plus faible.
Je le sentais en moi que le combat contre le ver géant m’avait changé, j’étais plus fort ainsi que j’avais en moi une patience et une bonté que je n’avais jamais connu. Après avoir calculé la puissance des deux personne, quelque entra dans la pièce et me dit :
-Tu as eu de la chance que tu ais des amis aussi valeureux, il ton porté pendant des heures j’us qu’ici. J’ai réussi à extraire de ton corps le poison que le ver géant a infiltré en toi en te mordant. Si je ne l’avais pas extrait tu serais qu’un tas d’os aujourd’hui, ce poison a pour effet d’assécher complètement le corps. Ma femme elle a mit une sorte d’onguent très rare qui répare les cellules de la peau. Tes amis et toi avait eu de la chance d’être tombé ainsi cher un médecin.
Je remerciais le médecin sincèrement. Je lui demandais ou se trouvait la sortie car j’avais extrêmement besoin de prendre de l’air. Il m’indiquât qu’elle se trouvait à deux portes a gauche. En sortant dehors le froid glacial pénétra mes narines en une seule bouffé d’air. Le paysage était enneigé et désertique, la seule chose qu’on voyait était des montagnes ainsi que des sapins. Plus loin j’aperçue des villageois trainant le ver géant que j’avais combattue. Ils se débattaient pour savoir qui allait avoir la plus grosse part du ver. Pour eux c’était de la nourriture, je trouvais cette pratique complètement répugnante.
Les deux autres personnes firent leur apparition derrière moi, la plupart des gens qui se partageaient le ver accoururent vers nous. Les applaudissements ce firent de plus en plus belle. Un gros personnage vint à notre rencontre et nous. Le personnage en question nous aborda :
- Je suis le maire de ce petit village! Moi et mes compatriotes nous vous invitons à la grande fête en l’honneur du grand ver mort! Ces ver son vénéré par notre peuple et dès que l’un d’eux mort nous festoyons pendant une semaine au complet et ne mangeons que la viande retiré de ce ver.
- Je suis vraiment ravis de votre invitation mais je me dois de refuser. J’ai quelque chose a accomplir ailleurs. N’aie crainte je vais surement revenir un de ces jour.
- Je vous interdis de quitté cet endroit sans que vous ayez gouté ce succulent ver!
Le regard de la foule qui s’était amassé devenait de plus en plus gênant, je pris le morceau de ver que le maire m’offrait. Mon visage exprimait le dégout même si personnes me remarqua. Les encouragements venus de la foule grandissaient à une vitesse folle. Presque rentré dans ma bouche, j’entendis le médecin annoncé à la foule que j’étais allergique au ver depuis que j’avais eu le venin dans mon sang. Je me tournais vers le médecin qui me fit un clin d’œil, c’était surement le seul de ce village qui avait comprit que j’étais dégouté par leur coutume.
Après avoir rentré dans la maison, le médecin vint me voir pour m’annoncé que je devais me reposé encore quelque temps. Je retournais dans mon lit, lorsque je m’effondrais de fatigue. Tout de suite après mon réveil, je me levais et je vis que les deux guerriers m’avaient quitté. Le médecin revenu me voir et m’annonçait qu’il était parti depuis trois jours et qu’il ne les avait pas revue.
Sortant du lit, je remerciais le médecin de ses bon soin et quitta la maison pour de bon. Il était dans les alentours de midi, on entendait encore la musique de la fête qu’avait organisé les villageois pour la mort du ver. Je mis mon scooter en marche afin de retrouvé mes deux sauveur, je vis qu’ils étaient asse loin du village mais je pouvais les rattrapé a pied. Je marchais depuis une bonne dizaine de minute, lorsque soudain j’aperçu une dizaine de gens qui entraient dans les maisons et ressortait avec du matériel de valeur.
Cependant, ces voleurs ne s’attendaient pas à ce faire prendre en plein vol car tous les autres étaient à la fête. En descendant les marches d’une maison un voleur m’aperçu, il fit tellement le saut, qu’il en échappa tout ce qu’il tenait. Tout les voleurs attiré par ce bruit, sortie de la maison dans lequel ils étaient et regardaient en ma direction.
Fâché de s’être fait dérangé de la sorte, ils approcheraient lentement de moi. Je dénombrais environ une dizaine de voleurs et trois voleurs qui avaient l’air un peu plus fort. Rien de compliqué. Les trois qui ressemblait aux chefs de bande ordonnaient de m’attaque et de ne me pas laisse la vie sauve. Cinq sur les dix coururent vers moi, j’évitais facilement leur coups. Je donnais un coup de poing dans le ventre de chacun qui tomba de douleur. La même chose arriva aux cinq autres. Tous ce tenaient les ventres dans d’atroce douleur, les chefs de bandes restaient figées. Ils avaient trop peur pour me combattre, je m’approchais d’eux et je leur disais de tout remette ce qu’ils avaient trouvé a leur place. Et que si un villageois remarque qu’il manque quelque chose, que j’allais leur faire payer les crimes. Après avoir surveillé les voleurs remettre en place ce qui venaient de volé. Je me dirigeais vers l’endroit ou j’avais aperçu ceux qui m’avait secouru d’une mort certaine. Soudainement la musique s’arrenta je continuais tout de même ma marche j’us qua je réfléchisse que la fête devait durer une semaine. Je me retournais et je revis un autre ver géant, plus gros que tous ceux que j’avais, qui tuait les villageois pour se vengé son compagnon défunt. Je m’élança vers eux afin des les sauvé.
Broly_zou
Sayans
Nombre de messages : 34
Age : 30
Date d'inscription : 15/05/2011
Fiche du guerrier Renommée: Zénies: 72250 Niveau: Niveau 92 +5 (Armure)
Sujet: Re: Atterissage forcé*BAAM* Mer 1 Juin - 23:31
♫ Ver… ♫
Une entré plus que fracassante serait les mots juste pour décrire l’arriver du sayan. Il avait longuement cherché son ami porté disparu, les causes de sa mystérieuse disparition ? La soudaine colère de Broly qui l’avait frappé alors qu’il était un énorme gorille dont l’intelligence ne dépassait même pas celui d’une poule. C’est bien malheureux d’en avoir arriver là mais se n’était en même temps pas de sa faute, c’était celle de la lune, celle-ci rendait les sayans encore agressive et abruti. Non pas que tous les hommes de la fameuse race guerrière étaient imbéciles, loin de là mais certains se comportaient vraiment comme des idiots, des exemples ? Il y en avait tellement, selon Broly les seules qui ne méritaient pas d’avoir le titre de guerrier de l’espace étaient ceux qui n’avaient pas le sens de l’honneur et du devoir. Bon ou mauvais qu’importe, l’important était qu’il est un certains sens du respect envers leurs adversaires qu’ils soit eux aussi bon ou mauvais. Le guerrier légendaire avait toujours voulu affronter quelqu’un avec un tel sens du combat et dans le passé il avait trouver cette perle rare…Goku. Lui qui avait su le combattre avec respect sans pour autant retenir ses coups, cette homme était un véritable combattant.
Mais tout ceci n’a rien avoir avec notre histoire actuelle et il était grand temps de revenir à nos précieux moutons. Broly avait tenté de secourir Draconis d’un ver géant mais un parfait inconnu était déjà précieux et lui avait couper l’herbe sous le pied. Voulant en savoir un peu plus sur son identité le jeune Majin parla à l’inconnu qui l’envoya baladé. Pourquoi être aussi agressif, Broly aussi était un peu froid envers les étrangers mais quand même…Il y avait des limites à ne pas franchir surtout en la présence d’un de ses amis. Le sayan ne resta pas passif et voulu exprimer son mécontentement mais l’homme était déjà reparti combattre un autre vers. Pendant ce temps le super guerrier s’était excuser auprès de son ami pour se qu’il avait fait tout à l’heure, le majin le pardonna sans problème. Et alors que les deux hommes discutaient le jeune guerrier inconnu revint de son combat contre le vers, affrontement qui avait due être titanesque puisque l’inconnue était revenue ensanglanté de la tête aux pieds. Son état déplorable n’empêcha pas Broly de dire se qu’il voulait lui annoncer tout à l’heure. Draconis en fut presque gêner car il prit rapidement la défense de l’inconnu grièvement blesser. « Broly, meme si tu ne l'aimes pas, il faut l’emmener a un quelquonque médecin. Je ne veux pas d'une nouvelle mort par ma faute. De plus, si arrogant soit-il, il m'a sauvé. Si tu ne l'aides pas, je le ferais, mais tes bras seraient une aide précieuse. Aidons-le, il le mérite. » Bon sang…ce type était pourtant un sayan mais Broly n’avait vraiment pas envie de l’aider. Que lui avait-il fait ? Rien du tout, il avait juste répondu un peu froidement à draconis rien de plus. Mais s’il était aussi sec avec son compatriote c’est parce qu’il voulait le mettre tout de suite au parfum avec lui. Il était en quête de son passer et c’était donc à lui de s’imposer, pas le contraire. Ce fut donc avec méprit qu’il aida son ami à porté le jeune homme qui s’était évanoui…
Les jours passaient et toujours aucune nouvelle du sayan endormi. En effet l’inconnu avait été transporté dans un petit village juste à coter, certains habitant ont eu la bonté de les aider. Ils passèrent la nuit chez eux et au matin étaient rester devant le lit de l’inconnu qui ne semblait décider à ouvrir les yeux. C’était un remake de la belle au bois dormant, les jeunes prétendant attendait le réveil de la jeune et belle femme assoupi…ils attendaient. Mais comme toujours cette vieille grognasse ne se réveille jamais et ils attendent comme deux guignols devant son lit !...Je m’égard un peu du sujet. Puis se fut la délivrance, il ouvrit lentement les yeux pour qu’il puisse enfin voir les deux jeunes combattant qui l’avait amener jusqu’ici. Broly le regardait toujours avec un air de mépris mais à peine fut-il réveiller qu’il présenta ses excuses en prétendant que son combat contre le ver l’avait changer…Ah bon…Je pensais qu’en combattant un vers géant on pourrait devenir quelqu’un de meilleur dans la vie m’enfin peut être qu’il y à quelque exception à la règle. Il donna finalement son identité, Aurus Aurisu…Aurus, un peu comme le dieux egyptien du soleil. En tout cas il semblait en forme car il se leva de son lit entièrement nu, il voulait nous montrer quoi au juste ? Il vint ensuite s’adresser à Broly. -Je ne sais pas pour quel raison vous êtes méprisant à mon égard. D’après mes souvenirs je ne vous ai jamais adressé la parole. La seul chose que je me souviens c’est que j’ai aidé à combattre le ver géant ce guerrier au grand cœur. Je vous pris d’accepté mes excuse si j’ai dit quelque chose de menaçant ou déplacé.
L’une des choses qui était déplacé ici et maintenant…C’était le faite qu’il soit nu comme un vers mais bon sinon ses excuse n’était pas vraiment utile, si Broly ne l’aimait pas trop s’était sûrement juste pour l’intimider. Par chance il alla chercher ses vêtements. Une fois qu’il fut entièrement habillé, un personne pénétra dans la petite pièce. « Tu as eu de la chance que tu ais des amis aussi valeureux, il ton porté pendant des heures j’us qu’ici. J’ai réussi à extraire de ton corps le poison que le ver géant a infiltré en toi en te mordant. Si je ne l’avais pas extrait tu serais qu’un tas d’os aujourd’hui, ce poison a pour effet d’assécher complètement le corps. Ma femme elle a mit une sorte d’onguent très rare qui répare les cellules de la peau. Tes amis et toi avait eu de la chance d’être tombé ainsi cher un médecin. » Hmm non je suis pas son ami…Enfin je crois pas, bref tout ceci pour dire qu’Aurus après quelque instants demanda à sortir dehors. A ce moment là Broly s’éclipsa en se dématérialisant, inutile de resté un instant de plus ici. Le monde attire le monde et plus il allait traîner ici et plus il y aurait du monde pour voir le grand héros qui à tué le vers et qui s’est fait soigné dans cette humble habitation. Il s’isola pendant plusieurs heures le temps de retrouver un peu ses esprits et de repartir sur de bonne base avec le sayan dénommée Aurus, au fond s’était pas un mauvais gars juste qu’il était parti du mauvais pieds tout les deux. Le guerrier légendaire était resté seul un moment jusqu'à ce que Draconis le rejoigne mais sans dire un mot, Broly le salua d’un signe de tête puis attendit les bras croisé que le temps passe.
Cette attente fut de courte période puisqu’un bruit suspect se fit entendre un peu plus loin, comme un énorme fracas. Plissant les yeux pour mieux distinguer se qu’il se passait plus loin, Broly peut apercevoir un autre vers encore plus grand que celui qu’avait précédemment battu Aurus. Les villageois semblait terrorisé mais le sayan qui avait tué le vers était encore une fois présent sur les lieux avant tout le monde. Avait-il besoin d’aide, évidement que oui mais le super guerrier n’était vraiment pas décider à lui venir en aide et pourtant s’il voulait se faire pardonner il devait aller l’aider. Prenant rapidement une décision le sayan se dématérialisa pour se reformer au coté d’aurus qui se battait contre le vers. Il l’aida à le frapper à plusieurs reprise dans le corps puis envoya une boule d’énergie. Mais la créature restait debout. Broly recula de quelque pas et envoya plusieurs Eraser canon sur sa cible, il ne cessait d’envoyer une multitude de boule d’énergie dans l’espoir de faire trépasser la créature. En vain…Bon…Assez perdu de temps, il allait maintenant en finir avec ces conneries. D’un geste il se transforma en super sayan légendaire 3. Ce stade lui permettait t’atteindre une puissance considérable. Puis il se projeta sur le vers et l’affronta dans sa nouvelle forme.
Sujet: Re: Atterissage forcé*BAAM* Jeu 2 Juin - 17:16
Bon, une semaine. Une semaine que Broly et moi nous étions rencontrés, et avions vécu de fabuleuses aventures, a la dora l’exploratrice. Bon, je déconseille Gulli de passer nos aventures pendant la journée, a moins que les petiots aiment voir des femmes décapitées, d'autres coupées en deux, et des brigands se faire couper les membres par un fouet, ou même assister a la transformation d'un sayan en gorille géant tellement intelligent qu'il envoie voler ses amis plus près des étoiles que du sol, ou encore le spectacle d'un bonhomme qui se fait cinquante esquimaux après avoir cramé une maison pour le plaisir. Une autre chose a ne pas diffuser : Quand un guerrier qui se fait harceler par un vers de vingt mètres, puis sauver par un autre bonhomme bizarre, qui déglingue le vers mais qui en ressort complètement mort et couvert de sang. Et puis la seule chose diffusible serait le moment ou Broly et moi emmenions Aurus chez le plus proche médecin... Et encore, je pense que sa ferait chier les gens de voir deux gugusses marcher en portant un type a moitié mort. En bref, l'histoire continue.
Le tintement de la cloche venait de retentir. Un homme d'une cinquantaine d'années ouvrait la porte, tout vêtu de blanc. Rien d’étonnant, étant donné que l'on avais sonné chez un médecin. Il portait son regard sur Aurus qui était a moitié mort sur mon épaule, et, sans un mot, d'un air grave, il nous invitait a entrer dans la cabanne de bois qui lui servait de cabinet et sans doute de logement. Il avait alors pris le blessé et l'avais allongé sur une couche de soie blanche. Le moment ou le docteur avait retiré Aurus de mon épaule avait été un moment de pur bonheur : Tour a tour, Broly et moi avaient portés notre compagnon pendant les deux jours de voyage dans l'espoir de trouver une aide. Inutile de dire que mon épaule avait souffert et était a présent toute engourdie. Bien que mon ami et moi soyons couvert de blessures dues a nos précédents combats, on n'avait pas réclamé de soins, car la priorité était alors de permettre à Aurus de survivre. Aurus Aurisu. Il nous avait déclaré son nom lors de son réveil, environ trois jours plus tard. Il s'était d’ailleurs excusé de son comportement envers moi lors de mon « sauvetage » .Au moins, il n'était pas bête au point dénerver Broly, se qui lui aurait couté si non la vie un membre en moins. Il avait totalement recouvré ses forces, par je ne sais quels miracles, quand le médecin et sa femme s'étaient enfermés pour le soigner. Sur ce, il se rendormit, car, moralement, il devait encore être exténué de son combat contre les vers. Je profitais de son repos pour demander au Docteur de soigner mes quelques blessures. Par chance, a cause du froid les plaies n'avaient pas été infectées. Une heure plus tard, j'étais guéri par cette étrange médecin. Je me promettais de revenir si un quelconque mal me prenait, puis je partait rejoindre Broly qui était partit quelques temps plus tôt. Arrivé près de mon compagnon, je l'informais que j'avais payé le docteur et que j'avais laissé Aurus qui se débrouillerais bien tout seul. Nous fument tirés de nos bavardages par un énorme craquement. Un autre vers, et plus gros, celui ci ! Broly était déjà sur les lieux en train de soutenir Aurus dans sa bataille contre le monstre blanc. Plusieurs attaques des deux sayans fusèrent alors, mais le vers faisait comme si de rien n'était et ripostait par des attaques monstrueuses. Broly poussa un cri, et je fus submergé par sa puissance. Les cheveux blonds, il avait décuplé sa puissance, et son corps avait doublé de volume, lui octroyant une musculature impressionnante. Le combat venait enfin de commencer. Pour ma part, la puissance qui émanait de broly me donna comme des ailes. Ma puissance augmentait, et je savais que c'était le moment. Alors je me transformais, non pas en dragon, mais dans la forme que j'avais jusque maintenant gardée secrète.
Une nouvelle armure recouvrait mon corps, bien que celle sayan gardait ses effets. Mes cornes étaient passées de longues et pointues a courbées et majestueuses, a la façon des bois de cerfs. Une claymore avait replacée mon épée longue, et j'avais désormais un heaume, ou Deux trous laissaient passer mes nouvelles cornes. Mais les changements physiques n'étaient rien a coté de l'augmentation de mon pouvoir. Cette forme, je l'appelais dragon's hunter, le chasseur de dragon. Assez contradictoire avec mon état de dragon, mais s'était la classe. Moi aussi, je pourrais désormais aider Broly, malgré la différence toujours présente entre nous. Je fonçais sur le monstre, tout comme Broly et Aurus. Le vers résistait, malgré les dégâts considérables que Aurus et moi provoquions, et même Broly qui était ultra puissant peinait a le faire faiblir. Je reculais, et lançait mon attaque ultime, le dragon blast. La bestiole cria, mais, l'instant d'après, revint pour me charger. Broly lançait alors sa propre attaque ultime, l'éraseméha. Transpercé par le rayon, le vers n'était pas mort pour autant. Rapidement, je passais au dessus du vers, lui crevais l’œil pour qu'il me prenne pour cible. Objectif atteint ! Le ver me poursuivais, et je rentrais dans l'énorme trous au milieu de son abdomen que l'attaque de Broly avait creusé. Bingo, le ver se défonçait lui même le poitrail en essayant de m'avoir. Autre chose, que je 'avais pas prévu : le monstre était coincé dans la déchirure qu'il avait lui même agrandit ! Seule sa tête dépassait, et je laissais à mes compagnons le loisir de l'achever. Le monstre lançait alors un gigantesque rayon d'énergie vers le village. Deux choix s'offraient a moi : esquiver et laisser le village et les habitants dépérir, ou me prendre l'attaque et mourir a coup sur. Dans un élan de bonté, je choisissais la deuxième option et fermais les yeux. J'étais prêt a mourir. J'attendis, et mon trépas ne vint pas. Ouvrant les yeux, je découvrais le médecin, fumant, devant moi. Le vers était mort : Broly venait de l'achever. Une puissance considérable me parvint : le docteur ! Il me regardait, et, a ce moment, je le reconnaissais. C'était mon père. Je ne pus jamais savoir les raisons de sa venue ici, ni comment il avait obtenu une telle puissance. Je le voyais qui tombais, et le rattrapais. Dans mes bras, il me dit une dernière chose :
« Je vous en prie, trouvez mon fils. Comme vous, il a des cornes et un M sur le front. Il vit sur terre, et en vous voyant, j'ai pensé a lui. Dites lui que je l'aime, et contez lui ma mort. Puis vint son dernier souffle. -Papa ! Papa, c'est moi ! Aucune réponse. Il était mort. Mon dernier geste envers lui fut de lui fermer les yeux. Je ne l'avais que trop peu connus. -N'aie crainte. Ton fils connais ta mort. Je t'aimes, papa. »
A ce moment, toute haine mourut en moi, et le M sur mon front devins moins foncé. Ainsi se terminais l'histoire de mon père. Une tristesse m'envahit, en meme temps qu'une colère. Papa, pourquoi m'avez vous fait croire que vous étiez mort de la maladie ? Les questions se bousculaient dans ma tête tels des gens dans le métro. Maman était-elle aussi toujours en vie ? Quelle était la raison de ses mystères ? Pourquoi était-il venu ici ? Et pourquoi la femme de e médecin qu'était devenu mon père n'était-elle pas ma mère ? Broly me ramena a la réalité :
« Sa va comme tu veux, draco ?
-Sa va, Broly, n'aie crainte. »
/HRP/ j'ai mis mes textes en jaunes, mais je ne les ai pas modifiés/HRP/
Accueil 
Portail 
Dernières images 
S'enregistrer 
Connexion 
Sujet: Atterissage forcé*BAAM* 
Sam 28 Mai - 22:18
