Vegeta, l’an 300 ou 400 par là, planète bien agitée. Ici résidait la plus puissante race que l’univers n’a jamais connu, les Sayanjins. Ces barbares qui annexaient heures après heures une planète de plus dans leur effectif. Race tant redoutée à cause de cette terrible malédiction du Oozaru ; grand avantage pour ces primitifs, cette malédiction permirent à grand nombre de sayanjins de se transformer d’un simple regard visé vers la lune, scintillante. Nous les sayans, furent et sommes toujours les plus puissants de l’univers. Notre exploit fut répandu assez rapidement pour atteindre les oreilles de la famille Cold... Notre technologie extrêmement bien avancée, grâce aux centaines de planètes sous notre pouvoir, fut de très grand aide pour nos combats. Nous gardions tous la classe, nous Sayanjins. On nous compare peut être physiquement aux terriens, mais notre niveau de combat dépasse largement celle de cette minable race. Sayanjins que nous sommes portions des tenues aussi issues d’autres planètes à notre merci. De jolies armures bien ajustées à notre corpulence de robuste et nos plus grands besoins. Et je peux vous dire qu’avec une technologie pareille, nous fûmes assez vite les rois de l’univers.

Je vous avez parlé des Cold ? Cette famille de pourrie et lâche ? Famille très puissante, elle était constituée des trois pires tyrans de l’univers. J’ai nommé... le roi Cold, suivi par ses deux fistons, Freezer ainsi que Cooler. Cette famille tyrannique n’avait fait son apparition qu’après, mais avant.. Retour en arrière...

Enfin bref, Planète Vegeta, c’était un soir bien commémoratif pour nous, ce soir là, l’alcool et autres boissons ainsi qu’un magnifique banquet rempli des meilleurs délices qui soient. Notre premier roi allait être introniser. Je ne sais pourquoi mais c’était peut être car nous devions éventuellement être guidé par un roi compétent. Ou parce que c’était tout simplement voulu. Cette soirée là avait accueilli des centaines de milliers de sayanjins dans une arène immense érigée par certainement des esclaves que nous avions ramenés de quelque part d’autre. La première arène de ma planète fut construite, sous mes yeux ébahis, à peine inaugurée, la salle fut aussitôt remplie de peuple, voulant de l’action déjà. Je ne trouve même pas de mots pour décrire l’immensité de la salle.

Des bruits incessants se firent entendre, il y avait tout de même des millions de personnes qui venaient admirer le tournoi qui allait déterminer le roi des sayanjins. Évidemment, il y avait les spectateurs, et bien sûr les candidats, ces pauvres fous qui pensaient avoir une chance face à mon père, qui, je voyais bien de ma place de spectateur, assis dans les vestiaires, pensif et à la fois souriant. Mon papa que j’admirais à cinquante mètres de lui étaient le plus majestueux de tous, il avait la même coupe que moi, hérissé vers le haut, mais qui était plutôt marron. Mais moi je n’avais pas autant de classe que lui, certainement grâce à sa barbe ni trop épaisse ni trop peu visible. Père ces derniers jours s’était entraîner jours et nuits comme un malade sous le vent humide et frais de la nuit. Pour le Jour J, papa prit sa plus belle armure, et la plus résistante.

Alors que l’ambiance folklorique était à son comble dans le stade, c’était plutôt la tension qui montait dans les vestiaires. Malgré ma petite taille quand j’étais jeune et les bras agités qui me gâchaient la vue, je pus apercevoir quand même la dizaine de combattants, prétendants au titre de roi de ma planète. Les vestiaires étaient insalubres malgré le fait qu’ils venaient à peine d’être bâtis. Ceux-ci accueillaient chacun un combattant. Les petits logements temporaires des probables futurs rois étaient fermés à l’aide de barreaux métalliques qui bloquaient accès à l’arène, arène où le sang allait couler pour déterminer notre monarque suprême. Toute l’arène fut satisfaite de la qualité du service qui servait toute les minutes quelques sucreries pour l’un, et de l'alcool pour l’autre.

Sans plus tarder, l’annonceur, qui était un sayanjin plutôt petit mais très musclé, arriva à l’improviste tout fier sous un tonnerre d’applaudissements de la part du public. Nous étions tous très impatients de voir le tournoi royal qui allait débuter dans pas longtemps.

« Acueillons sans plus tarder les dix combattants qui prétendent au titre de roi de nous Sayanjins ! Ces derniers vont se battre tous en même temps, aussi bien dans à la loyale, mais aussi bien la fourberie ! Vous l’aurez compris, il n’y a pas de règles ! Faîtes entrer les guerriers !!! »

Les cages s’ouvrirent un par un, sous une pluie d’acclamations du public ! Tous se levèrent pour encourager leur combattant favoris. Moi, je me levais pour mon père bien sûr. C’était pour moi le seul qui avait la carrure d’un dirigeant compétant. Un sourire se fit remarquer chez moi, comme si j’avais déjà idée de ce que je serai en tenue de petit prince. Tous s’alignèrent un par un devant l’annonceur tout fier.

« Depuis votre gauche jusqu’à votre droite ! J’ai nommé… Bozu ! * clap * … Maletino ! * clap * … Vegeta ! * clap * … Fenua ! * clap * … Dônô ! * clap * … Tega ! * clap * … Sakopo ! * clap * … Bitashi ! * clap * … Vala ! * clap * et enfin… Aliki ! * clap * »

Les combattants ne perdirent pas de temps pour s’entre taper dessus. La foule arrêta les applaudissement à la demande de annonciateur. La baston générale fit, après dix minutes, déjà des victimes. Malgré leurs corps résistants, deux d’entre eux tombèrent suite à de multiple coups portés par une alliance mortelle. Les deux furent conduits en dehors de l’arène, sous les huées du peuple, pauvre d’eux, leurs armures étaient déjà fissurés, leurs têtes défigurées. Je n’étais pas vraiment excité comme ces sauvages autour de moi, je poussai quand même un petit rire à l’égard des deux blessés. Imaginez un roi comme eux… Pfff. Ma place et ma petite taille ne me permettait pas vraiment de bien regarder le combat? Mais ça n’avait aucune importance.