Sangoku JrSayans
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| Sujet: Double fanfic, Oblivion. Lun 19 Juil - 20:19 | |
| Voilà, depuis quelques temps je travaille sur un projet que j'ai décidé de poster ici. Avec l'aide de Kuja, on à fait une fanfic sur Oblivion, nos aventures dans le jeu. Je précise que lui jouera le rôle de Dunan alors que moi je serais Dantes. Le premier chapitre est un début pour notre aventure. Après celui-là, à chaque chapitre, vous aurez un post de Kuja et un de moi car nos aventure seront différentes, mais dans le même monde. Je vous laisse désormais à votre lecture... Jour 1 : Vifazur 27, 3E433... Le Commencement
Dantes… C’était mon nom, une des seules choses dont je me rappelais. Le froid de cette prison me rendait à présent dingue. A vrai dire je ne savais ni depuis combien de temps j’étais ici, ni pourquoi. Je venais à peine de me réveiller et déjà, un mal de crâne m’agressait. Ma première de mes réactions était de regarder mes mains… mes mains qui étaient de couleurs rouges, le rouge des rougegardes. Et oui, je ne suis pas un simple humain, mais je suis né sous cette race qui est de nature puissante et guerrière. Je ne pouvais pas me regarder dans un miroir, mais à première vu j’avais plutôt les mi-cheveux longs et de ce que je pouvais voir, noir. Je continuais de m’observer en examinant mes vêtements de prisonniers, pas très classe. Je portais aussi des menottes non attachées, heureusement car je déteste l’être. Derrière moi ce tenait un homme à la peau assez clair. Il devait avoir entre 20 et 25 ans, avec les cheveux de taille moyenne et de couleurs noirs. Au début je n’y faisais pas attention, car il n’était pas réveillé Tout en me touchant la tête, je m’approchais des barreaux quand j’entendis quelqu’un me parler. Je pouvais voir clairement un homme à la peau noire. Il se présenta sous le nom de « Valen Dren », un Dunmer (Elfe Noir) et commença à me narguer en m’annonçant ma mort. L’elfe m’apprenait aussi que l’homme derrière moi était un bréton, une personne résistante et forte dans le pouvoir de la magie. Mais à la suite des insultes mes poings se serraient et je jurais alors qu’une fois sorti, je le tuerais ! Mais trêve d’enfantillage… j’entendais des voix, des pas. Les gardes arrivaient t’ils vraiment pour me tuer, comme me l’avais annoncé l’autre ? Sans le vouloir, je reculais et chutais sur la table qui se tenait derrière moi et je me retrouvais alors sur le pauvre bréton qui semblait écrasé sous mon poids. Je me retirais rapidement et la conversation commença.
Dantes : Excuse-moi, j’ai chuta la table je suis vraiment…
Dunan : Ce n’est rien, putain, j’ai un de ces maux de crâne. Mon nom est Dunan, et toi ?
Dantes : Moi c’est Dantes, mais… Tu n’entends pas des pas, on dirait que quelqu’un arrive…
Effectivement, c’est alors que 4 personnes apparurent devant moi. On aurait dit 3 gardes et une personne de haut grade que je ne reconnu pas, par contre lui disait m’avoir déjà vu ainsi que Dunan. Il s’approchait de nous deux et nous scruta bizarrement le visage… C’est alors qu’il annonça de vive voix :
........ : Vous deux… Je vous ai vu dans mes rêves. Alors, mes étoiles disaient vraie, le jour annoncé est arrivé… Dieux ! Donnez-moi la force.
Dantes : De quoi ? Que ce passe t’il ?? Je ne comprends pas un seul de vos mots…
Dunan : De quoi parlez-vous vieil homme ?
........ : Des assassins s’en sont pris à mes fils et je suis surement le prochain sur leur liste. Mes Lames* m’entraînent hors de la ville par une issue secrète. Par le plus grand des hasards, l’entrée de ce passe se trouve d’ailleurs dans votre cellule.
Dantes : Mais… Je ne vous connais pas moi, qui êtes-vous ? Et pourquoi suis-je en prison d’ailleurs ?
Dunan : Et alors qu’attendez-vous ?
Empereur Uriel Septim : Du calme mes jeunes amis, du calme. Je suis votre empereur, Uriel Septim, un des descendants de Tiber Septim, homme qui a conquit Cirodiil** et s’est autoproclamé empereur. Par la grâce des Dieux, je sers cette province en la dirigeant et sachez que vous faites de même en étant citoyen de cette contrée. Malheureusement pour vous, je ne sais pas comment vous vous êtes retrouvé ici. Peut-être les Dieux vous ont-ils conduit ici afin que nous fassions connaissance. Je vois que vous ne comprenez toujours pas. Les dieux font beaucoup de chose et je suis sûr que vous trouverez votre propre voie. Mais prenez garde, car le sang coule à flot et la mort frappera à maintes reprises avant que tout ceci ne soit fini.
Glenroy : Je vous en prie Sire, nous devons continuez d’avancer. Apparemment, on dirait que c’est votre jour de chance prisonnier. Contentez-vous juste de ne pas vous mettre en travers de nôtre route, tout ceci ne vous regarde pas.
Tout ceci n’avait aucun sens… Mais bon, je vu une femme ouvrir un passage secret qui se tenait derrière un mur. Je n’allais pas me faire prier et j’allais bien entendus, sortir de ce trou à rat. Juste avant d’emprunter le passage, je fis un signe de la main à mon compagnon qui m’avait si bien accueilli. Il semblait, comment dire… énervé de me voir partir si vite.
Je descendis alors quelques marches pour arriver dans une sorte de grande grotte, assez bien aménagé je dois le dire. Le carrelage blanc ainsi que de gros piliers de mêmes couleurs parsemaient la pièce. C’est alors que, dans le calme le plus total, 4 guerriers habillés en rouges apparurent devant nous par un passage qui semblait totalement inconnu, mais, c’était sans compter l’adresse des Lames qui envoya ses hommes au tapis. Ce qui me surprit le plus chez eux, c’est leur sort à faire apparaître leur armure… Tout bonnement incroyable ! Je m’approchais alors d’eux et telle un voleur leur piqua quelques potions de soin. Malheureusement… lors de cet affrontement, une des Lames avait perdu la vie. Je m’empressais donc de lui piqué son magnifique Katana. J’allais alors continuer à suivre l’empereur quand un de ses gardes m’interdit de les suivre, tout en fermant à clé la porte qui me sépara définitivement d’eux. Je regardais à droite à gauche, mais je ne vus aucun chemin susceptible de me sortir de là. Par contre, je remarquais que Dunan m’avais suivis et portais l’habit des agresseurs qu’il approprié sur un des corps de ces derniers. Je me retournai, quand, un mur de pierre s’effondra et deux énormes ras sortirent du chemin. Ce n’était pas des rats normaux, mais alors pas du tout, ils avaient au moins la taille d’un chat, si ce n’est plus. Dunan me demanda de m’écarter et jeta une énorme boule de feu qui grilla les deux horribles créatures… J’étais vraiment impressionné, je ne savais même pas lancer un léger sors de guérison alors que lui… En tout cas, grâce à eux, on avait désormais un chemin où sortir. Je passais donc par le passage tout en trouvant des anciennes personnes mortes, armes en mains. Je ne me dérangeais en rien de prendre l’arc, les flèches, les crochets de ses hommes tout en les partageant avec le bréton qui semblait maintenant armée. Je traversais la salle de fond en comble pour trouver quelque chose d’utile quand, je vus un coffre. Une des premières choses qui me vinrent à l’esprit était de prendre un de mes crochets et de tenter d’ouvrir la caisse… Je cassais le premier bout de ferraille, par contre, l’autre fus largement plus utile me permettant d’ouvrir cette boîte et d’y trouver de l’or. Fier de moi j’en donnais une partie à Dunan, même si cela n’était rien. Nous continuons notre chemin tout en observant les pièces qu’on traversait et en prenant des choses utiles pour nôtre survis. Ce ne fut sans attendre que nous tombions sur des gobelins tueurs voulant nous découper en morceaux. Grâce à une certaine agilité, à mon bouclier et à l’aide de Dunan, on réussissait à en tuer quelques uns. Imaginez-vous alors, la grande stupeur que j’ai eux quand je vus une de ces bêtes me lancer à l’aide d’un bâton enchanté, un éclair me foudroyant sur place. Une de mes réactions fut de prendre ma potion de soin et de la boire sans attendre, tout en courant sur le côté histoire d’éviter la prochaine attaque. Je m’approchais alors de plus en plus du gobelin, puis, luis planta ma lame dans le ventre pendant que Dunan lui, se servait de sa magie pour écarté les autres bêtes. C’en était alors fini de lui, tout comme les rats avant lui. Le bréton me dit alors de prendre le bâton magique, car il n’en avait pas besoin vu la puissance ça magie. Par la suite, on trouvait aussi quelques bières dans un coffre, ça ne fait jamais de mal d’en boire une de temps en temps. Dans cette même caisse, je découvris aussi un marteau me permettant de réparer armes et armures. Mes recherches finies, je repartis en direction de la sortie de ce labyrinthe infernal tout en trouvant différentes potions, armes et armures qui me servaient bien et me tenaient chaud. J’en partageais bien sûr une partie avec Dunan qui m’était d’une grande aide… Et c’est sans compter après plusieurs minutes que je tombais sur l’empereur et ses gardes qui se faisaient attaquer de part et d’autre par les mêmes personnes que l’autre fois. On ne put s’empêcher, bien évidemment, de les aider un peux dans cette tâche. Mais même après cela, Glenroy demanda à l’empereur s’il pouvait nous tuer. Ce dernier répondit évidemment non tout en nous avouant qu’il ne pouvait pas comprendre pourquoi il avait tant confiance en nous. La suite de la conversation était intéressante.
Empereur Uriel Septim : Comment vous expliquez… Connaissez-vous les neuf ? Savez-vous qu’ils guident notre destinée de leur main invisible ?
Dantes : A vrai dire… je ne me rappel plus du tout. Je devais surement les connaître avant, si cela est si important.
Dunan : Je ne crois pas aux neuf, leurs soi-disant pouvoirs ne sont pas réels. Seuls les grand Daedras on d’aussi grand pouvoir ! Que ce soit Azura, Nocturne ou même Shéogorath. Ils sont taus aussi puissant.
Empereur Uriel Septim : Ne soyez si arrogant mon garçon, vous croyez en ce que vous croyez mais, effectivement, pour certaines personnes cela est important, et de mon côté, j’ai toujours servis les neufs et je base mon chemin de vie sur les cycles célestes. Les cieux sont parsemés d’étincelles qui sont autant de feux et de signes. Sachez que je connais bien ces étoiles et je me demandais laquelle a marqué votre naissance ?
Dunan : De mon côté c’est le Mage… Et toi Dantes ? »
J'eux alors un flash… L’histoire des neufs avait soulevé quelque chose en moi qui me révélais alors la réponse pour l’empereur :
Dantes : Le voleur ! Il me semble que c’est lui, qui a marqué ma naissance.
Dunan : Le voleur… voilà bien un signe qui correspond à la lâcheté.
Dantes : Ce n’est pas moi qui ai choisit, mais j’aime bien être sous son étoile. Empereur Uriel Septim : Bien, bien… Apprenez que ces signes m’ont révélé que j’allais bientôt mourir et cette mort qui est nécessaire arrivera bien assez vite.
Dantes : Et… Et moi, voyez-vous mon destin ? Voyez-vous ce que je vais faire plus tard ?
Empereur Uriel Septim : Vos étoiles ne sont pas les miennes mon enfant, le voleur guidera vos pas. Je ne peux donc pas voir quand votre heure arrivera et ce que vous ferrez. Mais sur votre visage, je peux voir le compagnon du soleil. L’aube de la gloire d’Akatosh*** réussira peut-être à bannir les ténèbres.
Dantes : Excusez-moi, mais n’avez-vous pas peur de la mort ?
Empereur Uriel Septim : Je ne suis pas accompagné des trophées de mes triomphes, mais j’ai bien vécu et mon âme reposera en paix. Les hommes ne sont que chair et sang. Ils savent quelle forme prendra leur fin, mais pas quand elle se produira. En cela, je suis béni de voir l’heure de ma mort. Cela me permet d’affronter dignement mon sort et ma chute.
J’en apprenais d’avantage sur les neufs et sur ma destiné grâce à cette discutions. Avec les 2 gardes restant, ont continuait nôtre traverser tout ensemble vers la sortie. Malheureusement, alors qu’on touchait droit au but, une grille fermée nous bloquait le passage. Baurus, l’autre garde, proposa alors une autre sortie. Mais c’était un cul-de-sac. C’est à ce moment-là, que des partisans de l’aube-mythique**** apparurent. Les deux gardes se jetèrent dessus en nous laissant avec l’empereur. Ils m’annoncèrent aussi que nous devions le protéger au péril de ma vie…
Empereur Uriel Septim : Je ne peux pas aller au-delà. C’est à vous, et à vous seul, de vous dresser devant le Prince de la Destruction et ses serviteurs mortels. L’amulette des rois de doit en aucun cas tombé entre leurs mains. Prenez le talisman et donnez-la à Jauffre. Lui seul sait où se trouve mon dernier fils. Retrouvez-le et refermer les mâchoires d’Oblivion…
Dunan : Les mâchoires d’Oblivion, non ! Merhunes Dagon !
Dantes : Mais… Que…
C’est alors qu’apparu par magie un homme qui tua l’empereur d’une lame dans le dos. Pris d’une rage incommensurable, je m’acharnai sur lui à coup d’épée jusqu’à le voir tomber par terre. Je lâchai alors mon sabre et me reposa sur la dépouille de l’empereur tout en voyant Baurus arriver :
Baurus : Renault… Glenroy… et maintenant l’empereur… Nous avons échoué. J’ai échoué… Les lames avaient juré l’empereur et maintenant il est mort, avec tous ses héritiers.
Dantes : Baurus, sans vouloir vous offensez l’empereur nous a confié l’amulette tout nous annonçant qu’il existait encore un héritier et que seul, un certain Jauffre le connaissait. Nous allons donc aller le voir dès que possible.
Dunan : .........
Baurus : Etrange… L’amulette des rois et un artefact très précieux. On dit que c’est le sang de Dragon qui coule dans les veines de tous les Septim. Ils sont plus clairvoyants que le commun des mortels. L’amulette est le symbole le plus sacré de l’empire et seul un véritable héritier de sang peut la porter. Connaissant Jauffre, il doit être au Prieuré de Weynon, regarder cette carte, je vous la donne et vous faire une croix sur l’endroit de cette chapelle. Je le connais bien, car c’est le maître de mon ordre. Tenez, prenez cette clé pour sortir de là et passer par les égouts. Il y a des rats et des gobelins, mais vous avez l’air d’un chevalier aguerri et vous le bréton d’un puissant magicien, n’ai-je pas raison ?
Dantes : Je me vois plutôt comme un éclaireur. Quelqu’un de rapide et de fort avec une certaine adresse.
Dunan : Effectivement.
Baurus : Je n’étais pas très loin, mais cela ne change rien les créatures des égouts de vous feront aucun mal. Vous devez survivre et portez l’amulette à Jauffre, pendant que moi je resterai ici et veillerez à ce que personne ne vous suive.
Je remerciais Baurus et parti rapidement dans les égouts suivis de Dunan. La première créature que je tuais était un crabe de vase. Par la suite, plusieurs gobelins et rats s’en suivent, mais rapidement on découvrit la sorti et on se retrouva dehors, à la lumière des clairs de lune. C’est alors que Dunan m’avoua quelque chose :
Dunan : Je te laisse à tes occupations… J’ai quelque chose à faire.
Dantes : Tu ne viens donc pas avec moi chercher Jauffre. Bien, je comprends, tu dois bien évidemment avoir un but dans la vie et bien donne chance. Sache que je suis sûr qu’un jour on se retrouvera…
Dunan : Qu’on se retrouve ou pas, j’aimerais te dire quelque chose : « Oblivion », cet endroit n’est autre que le lieu de vie de Merhunes Dagon : Prince daedrique de la destruction. Je te conseille de ne pas te mêler de ces affaires. Ou tu risquerais de ne plus jamais pouvoir le jour se lever.
Dantes : Que ce soit un Dieu, un Prince, un Empereur où même un mendiant, ce monstre menace cette région et je ne le laisserais pas faire, je serais au premier lieu lors de la bataille finale. Je compte bien me faire des compagnons et mettre fin à la folie destructrice de ce Dieu Daedrique. Quoi qu’il arrive, je porterais cette amulette à Jauffre.
Dunan : La région n’est pas encore menacée… Si jamais les portes s’ouvrent, elle le sera à ce moment-là. Je suppose que je dois te laisser bonne chance. Alors bonne chance et adieu.
Dantes : Même si j’aimerais savoir ce que sont tes projets, je ne vais pas te le demander si tu ne veux pas me le dire. Je dois aussi te souhaiter bonne chance dans tes desseins…
Dunan : Ce que je compte faire… Rejoindre le rang de Dieu. Mais ce serait trop long à t’expliquer.
Dantes : Hey bien, je n’ai plus rien à dire. Vaque donc à tes fonctions et j’espère pour toi que tu rejoindras, comme tu le dis si bien, le rang de Dieu…
Dunan : Adieu…
Dantes : Adieu…
Je regardais alors Dunan partir jusqu’à ce que je ne le voie plus… Ces ambitions était t’elle que j’espérai pour lui qu’il réussira même si semblait quasi impossible. Comme ma quête à vrai dire. Je traversais alors à la nage l’étang qui était devant moi pour me retrouver face à des sortes de ruines elfiques ou quelque chose dans le genre. A côté de celle-ci, un camp était installé. Mais une fois repéré, les possesseurs de ce terrain m’attaquèrent sans aucuns scrupules. Il y avait deux personnes que je ne connaissais pas. D’une flèche entre les deux yeux je tuais l’homme et d’un coup de sabre, je découpais la tête de la femme. Par la suite, je jetais les corps des deux campeurs dans l’eau et m’appropriais leurs nourritures ainsi que leur lit. Le repas finit je trouvais un livre vierge ainsi qu’une plume… C’est alors que j’eux une idée amusante, et si j’écrivais mes aventures ? Désormais, je me promis qu’à la fin de chaque soir, j’écrirais ce qui se déroulera dans la journée, ce que je fais en ce moment-même. Une fois que l’ouvrage sera posé, je me coucherais soigneusement dans mon lit tout en me reposant de la folle journée que je venais de vivre et en rêvant de ce qui m’attendais. J’étais vraiment excité à l’idée que des aventures, digne d’un héros de conte ou d’un brave chevalier allait m’arriver. Je pensais malgré tout à Dunan… Que faisait-il en ce moment ? Ça seul lui le savait…* : Les Lames sont un ordre créer dans le but de protéger l'empereur. ** : Cyrodiil est la région dans lequel notre aventure se déroule. *** : Akatosh est un Dieu qui fait partis des Neufs. Vous en apprendrais plus sur eux au fil de l'aventure. **** : L'aube mythique est l'association qui a assassiné l'empereur. |
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