Un texte un petit peu gore que j'ai écrit il doit y avoir un an :

Le greffeur
Chroniques d'un médecin savant

5 heures du matin
Chicago

5 heures, la ville s'éveille, dans les bas-fonds des rues, un groupe de trois personnes s'acharne sur un petit dealer qui ne leur a pas payé leur part quotidienne. Les coups de poings et les coups de pieds fusent. Le dealer tombe à terre, mais les trois hommes continus en intensifiant leurs coups. Un d'eux s'empare même d'une barre métallique.
Un peu plus loin, un homme arrive dans cette même rue. Il s'assit sur une vielle caisse toute usée. Il a un grand manteau noir en dessous duquel se trouve une chemise noire. De même, il porte un pantalon en soie noire et de superbes chaussures noires. C'est à sa demander ce qu'un tel homme fait dans un lieu pareil. Il reste assis à contempler le massacre sans même lever le petit doigt. Son visage ne ressent même pas l'horrible scène qui se déroule en face de lui.
Au bout de 4 minutes et 38 secondes, un des trois hommes (celui qui tenait la barre en métal) le repère.
-Hé mec ! dit-il. Qu'est-ce que tu fous là ?! Dégage !! Va voir ailleurs si j'y suis !!!
Malgré les menaces, l'homme en noir ne bouge pas. Il sort simplement une petite trousse noire. L'homme lève sa batte de métal.
-Crève, connard !!! hurle-t-il.
L'homme en noir se contente d'ouvrir sa petite trousse noire où sont soigneusement rangés trois scalpels. A la vitesse de l'éclair, il s'empare du plus petit des trois et tranche la gorge de son assaillant. La barre de métal tombe au sol. L'homme à la gorge tranché reste quelques instants debout, tétanisé, puis il s'écroule dans une mare de son propre sang. Ses deux compagnons se retournent d'un bloc en entendant le gargouillis émis par leur ami récemment décédé.
-Putain !!! s'écrit l'un d'eux. Qu'est-ce que c'est que ce bord...
Il ne finira jamais sa phrase. Les deux scalpels que l'homme en noir vient de lui envoyer pile entre les deux yeux l'ont légèrement arrêté dans sa phrase. L'homme en noir se rapproche si vite du dernier gêneur que celui-ci n'a pas le temps de réagir. Le scalpel s'enfonce si fort dans son crâne que sa cage crânienne explose des deux cotés. Le pauvre dealer se relève au milieu du carnage.
-Mer... merci... bégaie-t-il. Mais... qui êt... êtes-vous ?
-Quelqu'un. répond l'homme en noir d'une voie presque métallique, franchement effrayante.
Avant même que le dealer n'ait pu sortir une autre phrase, un grand hachoir lui fit voler sa tête. Son corps tombe lourdement à coté de sa tête. L'homme en noir se baisse sur le reste du corps.
-Expérience sur un corps fraichement décédé #158. dit-il en sortant de gants noir, différente mixtures étranges et plein de scalpels.
L'avantage avec le noir, c'est qu'il ne tâche pas...

7 heures et demi du matin
Chicago (grandes allés)

L'homme en noir se promène tranquillement dans la rue au milieu d'une foule de personnes qui va et vient. Personne ne le remarque, a travers les yeux des gents, il apparait comme un homme tout à fait banal. Pourtant, il ne l'est pas temps que ça : Sink World, le dirigeant d'une énorme chaine de banques appelées « Life Bank ». Enfin, ça c'est la face émergés de l'iceberg.
L'homme en noir tourne sur sa gauche, rentre dans sa plus grande banque au monde. Il salue le personnel qui vient juste d'ouvrir, descend les escaliers derrière une banale porte de service. Il prend le temps de repenser à son expérience dans la ruelle. Ça c'est globalement bien passé, la plupart de ses expériences ont été concluantes. La seule chose à déplorer, c'est l'intervention d'une femme dans la rue à la fin de l'expérience. Bien sur, il l'a supprimée à temps, mais cette altercation a bien failli le griller. La prochaine fois, il faudra être plus prudent. L'homme en noir atteint le bas des escaliers. Il déverrouille l'énorme porte en métal ultra-sécurisé qui se trouve devant lui. Il entre dans son laboratoire personnel. Ses assistants l'attendent déjà. Cela fait plusieurs jours que le labo reste ouvert 24 heures sur 24, car une expérience est en cours. Elle porte sur les modifications ADN. En l'occurrence, on a mélangée de L'ADN de lapin avec celui d'un loup. Sur les 137 essais, ce lapin est le seul à y avoir survécu. Pourquoi ? Mystère... En tout cas, il est vivant et c'est le principal.
- Aucune anomalie repérée. dit son assistant principal de sa voie fluette. Le lapin n'a pas changé d'un poil.
-Pas du tout ? demande l'homme en noir. Même pas son comportement ?
-Aucun changement. répète l'assistant.
L'homme en noir réfléchit quelques instants, puis se dirigent vers un tiroir réfrigéré du labo. Il en sort un bon morceau de viande.
-Qu'est-ce que vous comptez faire avec ça ? demande son assistant.
-Venez avec moi. répond simplement l'homme en noir en se dirigeant vers le labo des expériences.
Il rentre dans le labo dans le labo avec son assistant sur ses talons. Le deuxième assistant est entrain d'examiner un lapin noir et blanc.
-Dégagez. ordonne l'homme en noir au pauvre assistant secondaire.
L'assistant, un homme plutôt intelligent mais assez impressionnable, sort en vitesse de la salle. L'homme en noir met sa viande dans les bras de son assistant et sort tranquillement le lapin de sa cage en verre. Il le pose sur le bort de la table d'observation. Soudain, le lapin repérant la viande, il s'agite violement. Soudain, il bondit sur l'assistant et mort une fois dans la viande un fois dans la chair du pauvre homme. L'assistant se met à hurler. L'homme en noir sort rapidement un scalpel et tranche la nuque du lapin dégénéré. La bête s'écroule sur le sol, inerte.
-Merci. articule son assistant principal.
En reprenant ses esprits, l'assistant principal repère le regard fixe de l'homme en noir. Une horrible pensé lui passe à l'esprit.
-Non, vous allez comme même pas...
Avant qu'il ait pus finir sa phrase, il se retrouve la trachée tranchée et cœur transpercé. Il s'écroule, le regard incrédule. Le sang commence à recouvrir peu à peu le sol, que ce soit celui du lapin, ou celui du pauvre assistant.
-Il ne faut pas prendre de risque. déclare l'homme en noir.
Il sort du labo où il trouve l'autre assistant qui le fixe, effrayant.
-Un problème ? demande l'homme en noir.
L'assistant ouvre la bouche qu'il ne refermera jamais. Deux scalpels se sont enfoncés dans ses deux orbites, pulvérisant la cage crânienne et déchiquetant son cerveau.
-Voila. dit l'homme en noir. Problèmes potentiels éliminés.
Brusquement, la grosse porte en métal subit un énorme impact et plie légèrement.
-Sortez de là !!! hurle une voie. C'est le FBI !!! Sortez immédiatement !!!
-Problème ? articule l'homme en noir en levant un sourcil.
Un deuxième impact se fait sentir sur la grosse porte en métal. Au bout du cinquième impact, la porte cède. Une dizaine d'homme armé protégé de gilets par balles se tien devant la porte un grand bélier à la main. Il doit être sacrément efficace pour arracher une telle porte. Un homme passe devant les autres il tien un papier dans la main.
-Mr Sink World, ou plutôt Mike Sangker, je vous arrête pour expérience illégale et pour meurtre à répétition !!! dit-il.
-Vous êtes bien informé. déclare Mike. Mais, ce n'est pas ça qui va vous sauver la vie.
Il est entrain de jouer avec une corde qui semble plutôt solide. L'homme au papier suit la corde tout le long du mur et remarque qu'elle va jusqu'au dessus de leur tête. Il voit quelque chose qui brille au dessus de lui. Ses yeux s'agrandissent comme des soucoupes.
-Merde ! hurle-t-il.
Mike coupe les fils. Des dizaines de scalpels s'abattent sur les agents du FBI. 9 corps tombent au sol, complètement lacérés. L'homme qui venait pour arrêter Mike s'est jeté juste a temps en avant. Un autre homme s'en est sortit, il a des scalpels plantés un peu partout, mais il tien encore debout. D'ailleurs, il est plutôt du genre robuste. Mike en a profité pour aller se planquer. Il parle d'une autre salle, collé contre un mur à coté d'une porte.
-Alors, Mr l'agent, quel est votre nom ? demande-t-il.
-Qu'est-ce que sa peut vous faire ?! réplique l'agent.
-J'aimerais savoir comment s'appelle l'homme qui a réussit à mettre à jour mes activités et a retrouvé mon vrai nom. Je croyais pourtant avoir éliminé tout les personnes connaissant ce nom. explique Mike.
La remarque fait frissonner l'agent. Il se tourne vers son collègue et lui fait signe d'avancer à deux vers la provenance de la voix.
-Je m'appelle Franck Worn.
-Worn ? répète Mike. Alors c'est toi ? Le pleurnichard qui se faisait martyriser par tout le lycée ?! Quelle ironie ! J'ai toujours cru que tu ne ferais jamais rien d'intéressant dans ta vie !!!
Cette fois, Franck serre les dents. Il défonce une porte et se tourne vers sa droite, persuadé que Mike y serrait. Il ne trouve personne, sauf un petit micro posé là.
-Merde ! hurle-t-il.
Sur sa gauche, il perçoit un mouvement. Par pur reflexe, il se colle au sol, contrairement au soldat derrière lui. Une seringue se plante dans le cou de celui-ci. Ses muscles se raidissent, ses yeux s'injectent de sang. Il se tourne vers Franck et lève le bras. Les cris de terreur de Franck qui se faisait démembré atteignirent Mike qui sourit pour la première fois depuis longtemps.
-Une bonne chose de faites. déclare-t-il.
Au bout d'un petit moment, les cris s'arrêtent. Mike lève la tête. Juste devant lui se tien se qui était il y a peu un homme. Maintenant, ce n'était plus qu'une caricature pleine de muscle. Mike évite le bras qui se dirige le bras qui se dirige vers lui. Il court jusqu'à une autre table d'expérience qu'il renverse. Derrière celle-ci, il lance trois scalpels qui ricochent sur la peau du monstre.
-La formule de folie a des répercutions sur le physique. pensa Mike. Merde !! Putain, va falloir que je trouve autre chose !!
Il se tourne vers un tiroir et prend ce qu'il y a dedans.
-Exactement ce qu'il fallait !! pense-t-il en retirant l'objet du tiroir.
Il attend que le monstre se rapproche et juste au moment où celui-ci arrive devant la table, il se sert de cette même table pour faire un saut au niveau du monstre. Il se sert ensuite de la tronçonneuse qu'il vient de prendre pour tronçonner le monstre à gauche de la tête du monstre. La dépouille de celui-ci tombe, en deux morceaux.
-Fait chier. déclare Mike en lâchant sa tronçonneuse. Je déteste le travail mal fait.
Il sort du labo, enjambe les cadavres dans l'escalier et remonte à la porte de service. Il traverse le hall rapidement.
-Euh... monsieur... dit l'homme à l'accueil.
-Plus tard. réplique Mike.
Il sort et fait face à un énorme barrage de policier.
-Levez les mains au dessus de votre tête et pas de mouvement inconsidéré !!! crie l'homme au mégaphone.
-Bien monsieur. dit Mike en levant les mains au dessus de sa tête. Vous avez gagné le 1er round.
L'avantage avec les petits scalpels, c'est qu'on peut en cacher partout, vraiment partout...


Bureau du FBI
19h39

Mike se tien dans un bureau du FBI, devant lui se trouve un agent qui le regarde avec un air menaçant. Mike est aussi entouré de deux gardes armés de fusils à pompe. Devant lui, sur le bureau se trouve tout ses scalpels et autre de ses instruments.
-Pourquoi faisiez-vous toutes ses expériences ?! demande l'agent.
-Par pure curiosité. répond Mike.
-Comment ça par pure curiosité ?! s'écrie l'agent. Vous êtes complètement fou ma parole !!!
-Comme ça nous sommes deux. réplique Mike.
-Vous vous foutez de moi ?! hurle l'agent.
-Oui.
L'agent envoie une baffe en direction de Mike, mais celui-ci mort la main qui lui passe à proximité. L'agent hurle douleur et les gardes interviennent pour faire ouvrir la bouche à Mike. Il finisse par y arriver, mais Mike a réussit à arracher un bout de peau de la main de l'agent, et il l'a avalé.
-PUUUUUUTAIN !!! hurle l'agent.
Il part à toutes vitesses vers l'infirmerie, deux étages plus bas. Un des gardes s'adresse à son collègue :
-Je vais l'accompagner, on serra la dans à peu près une demi-heure. Fait gaffe à ce malade. T'es tout seul à l'étage, mais il y a les caméras.
Sur ces mots, il part à la suite de l'agent. Le garde restant se positionne en face de Mike. Le prisonnier se met à frotter son index sur son pouce de sa main gauche, enlevant la fausse peau sous laquelle se cache un petit scalpel. Il répète l'action avec son autre main. Le garde ne repère pas le mouvement car les mains de Mike sont sur son angle mort. Le tueur commence à crocheter la serrure de ses menottes sans faire de bruit. Au bout de 5 minutes et 41 secondes plus tard, il y arrive. Il retient ses menottes pour ne pas qu'elles tombent. Ses mains sont complètement libres, il n'y a plus qu'à attendre le bon moment. 1 minute 3 secondes plus tard, le garde s'assoit, fatigué de rester debout.
-Une occasion !! pense Mike.
Il se jette sur le garde qui réagit au dernier moment. Le garde referme sa main sur son fusil à pompe et vise Mike. Celui-ci prend le canon dans sa main droite et le dévie. Le garde tire tout de même. La main de Mike est transpercée par une balle qui laisse un énorme trou dedans. Mike sert les dents et se retint de crier. Avec l'autre main, il envoie les menottes détachées sur le cou du garde. Le bout d'une des menottes se plante dans la trachée du garde et Mike referme la menotte. Il tire dessus, faisant sortir le tube de la trachée du corps du garde et referme l'autre menotte sur un des barreaux de la chaise. Le garde se retrouve attaché à la chaise par la trachée. Il lâche son arme dont Mike s'empare et vise le crâne du garde. Il fixe le regard complètement désespéré du garde et sourit, faisant durer l'instant présent.
-Achève-moi ! supplie le garde.
-Pas question. répond Mike. Je ne vis que pour ses moments là !
Il vise la main gauche du garde et y fait un énorme trou dedans. Il brise aussi les deux genoux du garde. Seule sa main droite reste intacte. Enfin, il achève le garde d'une balle dans la tête. Il regarde ensuite sa main droite mortifiée. Sur le bureau, il s'empare de quelques scalpels, plus ou moins grand et il prend un flacon de liquide.
-Ouf ! lâche-t-il. Il me reste de l'anesthésiant !
Il se penche ensuite sur les lambeaux du corps du garde.
-Ça fait longtemps que je n'avais pas fait de greffes hors labo. déclare Mike.
Il commence à trancher la main du garde.
-Greffe # 38 sur sujet vivant en cours...
L'avantage avec les expériences, c'est qu'on peut en faire autan qu'on veut, et de toutes sortes...


Bureau du FBI
19h 59

La greffe avait duré exactement 13 minutes et 28 secondes. Elle avait partiellement réussit, car quelques articulations avaient été brisées durant l'opération. La main droite de Mike paraissait complètement déformée et elle l'était. Mike s'empare de tous les instruments qu'il y a sur la table. Comme personne n'était intervenu, Mike en conclue donc qu'il n'y avait pas de caméras à cet étage. Il commence à créer un piège pour les prochains arrivants. Grâce à un système de fils, l'homme qui rentrera après lui se fera décapiter par trois hachoirs, tenus tant que la porte restait fermée. De plus, il avait enduit le sol d'un acide puissant qui ferait glisser les hommes qui survivrait aux hachoirs sur des scalpels. Il se dirige ensuite vers un autre bureau et allume l'ordinateur. Il consulte le plan de l'immeuble et repère :
1/Le relais électrique qui alimentait l'immeuble en électricité ;
2/ le bureau du directeur de l'agence.
À quelques bureaux de lui, Mike entend les cris de douleurs de deux hommes différents, il sourit. Le piège avait marché. Il sort du bureau et se dirige vers l'ascenseur. Il appuie sur le bouton « sous-sol -2 ». L'ascenseur s'ébranle et se met à descendre. Arrivé au relais, Mike fait face à un homme tout crasseux qui maintient la machine en marche.
-Vous êtes ? demande celui-ci.
Mike remarque qu'il a oublié sa veste en haut et qu'il est donc en chemise.
-Je viens vérifier que le relais est en sécurité et qu'il ne peut pas être court-circuité. bluffe Mike.
L'homme le jauge quelques instants et sourit.
-C'est impossible mon bon monsieur. dit-il.
-Pourquoi ? demande Mike.
-Parce qu'il n'y a qu'un endroit d'où on peut faire ça et c'est ici.
-On peut donc le faire ? demande Mike.
-Oui, mais pour cela il faudrait carrément pulvériser le générateur.
-C'est possible ?
-Oui, car il chauffe facilement. Mais, c'est quasiment impossible que cela se produise naturellement.
-Pourquoi ?
-Parce que pour le faire chauffer il faudrait un énorme bug. Enfin, venez voir.
Il le conduisit vers la machine et ouvrit un compartiment. Une énorme source de chaleur émanait de celui-ci. Le mécanicien indique le mécanisme.
-C'est assez fragile. déclare-t-il. C'est pourquoi je suis là.
-Je vois. déclare Mike.
Violement, il saisit la tête du mécanicien et l'enfonce dans le mécanisme. Le mécanicien s'enflamme tout à coup et se fait réduire en cendre. Le mécanisme se met à dérailler jusqu'à l'arrêt complet. Tout les lumières s'éteignent.
-Voila ce que j'en fais de ton putain de mécanisme. dit Mike.
Il se retourne vers l'ascenseur et réalise que celui-ci est hors-service à cause de la panne.
-Merde. déclare Mike. C'est partit pour 39 étages de marches !!
L'avantage avec le corps humain, c'est qu'il est fragile et facile à détruire...


Bureau du FBI
20h 28

39 étages plus tard, Mike atteint le pallier.
-Enfin, on n'a pas idée de construire des saloperies d'escaliers aussi grands ! déclare Mike.
Il ouvre la porte. L'étage est entièrement plongé dans le noir. Il est aussi sombre que désert. Dehors, c'est l'hiver et il fait déjà nuit. Mike se dirige vers le fond du bureau. Il s'arrête devant le mur du fond et attend. Au bout de quelques instants, il repère une voie couverte sur sa droite. Il tourne et arrive à remarquer une grosse porte dans le noir. Il l'ouvre doucement.
-Quoi encore ?! hurle une voix derrière la porte. Vous feriez mieux de réparer ce foutu relais électrique à la place de venir m'enquiquiner !!
-Je suis sur que je ne vous embêterais pas Mr le directeur. affirme Mike.
Il rentre doucement et s'assoie devant le directeur. Celui-ci est occupé sur son téléphone. Il raccroche rapidement.
-Donc ? demande le directeur.
-Je suis venu vous tuer. déclare Mike.
L'homme en face de lui lui éclate de rire au nez.
-Elle bien bonne celle-là !! s'esclaffe le directeur. Vous seriez venu de je ne sais où pour me tuer en rentrant comme ça dans mon bureau ?!
-Exact. répond Mike.
-Alors, dit le directeur en redevenant sérieux, c'est vous qui êtes mort.
-Si vous le dîtes.
Le directeur se baisse rapidement vers un tiroir, mais Mike ne lui laisse pas le temps d'essayer quoi que ce soit. Un scalpels se plante dans la tempe du directeur, bientôt suivit d'un autre dans l'œil gauche. Le directeur tombe de sa chaise et s'écroule sur le sol. Mike fit rapidement le tour du bureau et s'agenouilla, un genou sur la poitrine de l'homme. Il regarde droit dans l'œil droit de l'homme en lui coupant la gorge très lentement. Une fois cela terminé, Mike se retourne et s'adosse au mur quelques instants. Il se laisse quelques instants de pause pour se reposer. C'est à ce moment là qu'il repère la lumière rouge qui émane de sous le bureau.
-Merde ! pense-t-il. Une alarme silencieuse !!!
Il barricade directement la grande porte de métal avec le bureau. Il regarde ensuite par la fenêtre et aperçoit des dizaines de voitures de polices qui sont déjà en bas de l'immeuble. Il regarde autour de lui et remarque un pan du mur qui parait bizarre. Il pousse mais cela ne s'ouvre pas. Il recule puis charge pour défoncer le petit faux mur. Mike arrive dans une chambre installé derrière le bureau. Cela le fait sourire. Il regarde autour de lui et commence à élaborer un plan. Il revient dans le bureau et prend le corps du directeur il le jette contre la vitre. Celle-ci se craquèle mais ne cède pas. Il frappe plusieurs fois et finit par réussir à envoyer le directeur a travers la vitre. Le corps retombe des étages plus bas, sur une voiture de police qui plie sous le choc. Mike sourit, puis met son bras dehors. Immédiatement, une balle lui écorche l'avant-bras. Il retire précipitamment son bras.
-Sniper. pense-t-il.
Dehors un vent fort souffle vers la mer. Mike prend le drap blanc sur le lit et revient. En arrivant dans le bureau, il peint un symbole sur ce drap avec le sang sur le sol. Il se met sur le bord de la vitre. Un sourire féroce se peint sur son visage. Il se dit que s'est le plan d'évasion le plus fou du monde. Il prend de l'élan et sauta. Il déplie le drap qui sert de parachute. Ses bras lui font affreusement mal sur le choc, mais il tient bon. Des balles de snipers l'effleurent sans le toucher. Le vent l'amène vers la mer, comme prévu. Heureusement qu'il n'y a pas de bateau en mer. Il arrive assez facilement au dessus de la mer.
-Plus qu'à amerrir en douceur ! pense-t-il.
Soudain, un bruit de mitrailleuse lourde se fait entendre du rivage. Une douleur sourde se fait sentir dans le bras droit de Mike. Il le regarde et voit qu'une balle est passé à travers et a cassé l'os. De plus, Le drap est déchiré en deux par la rafale. Mike fait une chute de 20 mètre et finit par un plat sur l'eau. Le sang se mélange à l'eau.
L'avantage avec l'eau, c'est qu'on retrouve rarement les corps qui y meurent...


Plage de Chicago
23h 37

Une masse de sang arrive sur la plage. C'est en fait un corps en sang dont la plupart des veines ont éclaté. Il lui manque son bras droit. Un pêcheur qui passe par là accoure. A sa grande surprise, l'homme en sang n'est pas mort. Il le fixe avec des yeux horrifiant. L'homme a des morceaux de vêtement sur lui de ce qui a du être un costume noir. Dans sa main gauche se trouve un objet brillant, très brillant... Le pêcheur tombe, la gorge tranchée. La masse de chairs se relève avec des mouvements horriblement saccadés. Il se penche sur le corps du pauvre homme.
-Dernière expérience de Mike Sangker dans ce foutu monde. dit la masse de chairs avec une voie même plus humaine.
Ce qui se passa ensuite fut classé dans les dossiers du FBI très profondément dans leurs archives. C'est suite à cela qu'il fut appelé le greffeur car durant cette expérience, il essaya désespérément de greffer les organes vitaux du pêcheur sur lui-même. Bien sur, l'expérience n'aboutit pas et Mike Sangker mourut sur cette plage à minuit pile. A croire que la mort avait voulu lui faire la peau ce jour là. Enfin en ce qui concerne sa mort, c'est ce qui est raconte... Qui sait... Un jour vous rencontrerez peut-être un homme au costume noir portant une petite trousse noire et marchant bizarrement...

Fin

Ok Ginyu, je vais suivre tes conseils !

Ps : l'horreur en me relisant maintenant je vois toutes les fautes, les répétitions et les incohérences, horrible !!!