Un colosse né [mission de rang III] 2ème partie-A: Hyaku, firiadel et Youki

Date d'inscription : 26/08/2010

Nous avions décidé de nous séparer en deux groupes pour accomplir la mission: le désert était vaste, et l'énergie du cyborg ne pouvant être ressentie, tenter de le débusquer était comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Cependant, selon les villageois, il y avait de nombreux endroits ou il semblait venir par habitude. Ils nous avaient fourni une carte très détaillée avec les lieux ou nous avions le plus de chance de le rencontrer, et d'en finir avec lui. Mais, malgré cette précieuse aide, ça n'allait pas être une mince affaire. En effet, dans ce désert aride ou le sable s'étendait à perte de vue, il était difficile de trouver des points de repères. Etaient marqués sur le plan le lieu ou se trouvaient des oasis, de grands rochers qui nous permettraient de nous repérer, accompagnés d'une brève description pour que nous sachions ou nous sommes. Mais c'était loin d'être suffisant, et, malgré mon sens de l'orientation assez développé, me retrouver dans ce désert n'était pas facile. Je me tournai vers vers Firiadel, qui m'avait accompagné.

"Erf... Mon cher Firiradel, je ne vais pas te mentir, je crois qu'on va vite finir par se perdre dans ce désert... Honnêtement, je pense que ça va être le colosse qui va nous trouver, et non l'inverse. Je me demande si le mieux à faire ne serait pas d'essayer de trouver un des ces endroits que ce cyborg fréquente assez souvent -d'après les villageois, tout du moins- et de l'attendre là-bas..."

Je sortis ma pipe, la bourrai de tabac et l'alluma. Je tirai une grande bouffée, puis me remise à marcher. Je repensai toujours à ce que le cyborg m'avait dit. Moi, Programmée? C'était totalement absurde. Qu'une machine de ferraille se permette de me juger ainsi, je ne le supportais pas. Je ne suivais ce que faisaient les ombres que pour mon propre intérêt, et ensuite je me barrerais, je serais libre à nouveau. Ou pour la première fois de ma vie. Mais je voulais faire vite. Je devais faire vite pour ne pas m'attirer de problèmes, et ne pas franchir un point de non-retour. Et ce point de non-retour était pour moi la privation totale de liberté. Chose qui, chez ces "ombres" -bien que je ne les connaissent pas encore très bien- m'apparaissait comme quelque chose d'évident. C'était temporaire, bon sang. Le temps d'un an, grand maximum, mais surtout pas plus. Surtout pas...
Je sentis des petits forces arriver. Je tirai une autre bouffée de ma pipe, puis me prépara à accueillir les nouveaux-venus: il nem e semblait pas les avoir remarqués dans le village, et ils n'avaient aucune force. Cependant, des personnes-il y en avais deux en tout- qui se précipitaient ainsi sur moi et Firiadel, tout cela était louche et surtout assez inhabituel. Je ne tardais pas à voir leurs silhouettes: ils étaient encore loin, mais ils devaient faire à peu près ma taille. Ils avaient les vêtements que portaient les villageois, mais, surtout, chacun d'eux était armé d'une mitraillette. Je mis la main sur mon pistolet, prêt à dégainer si ces nouveaux arrivants s'avéraient être hostile. Lorsqu'ils ne furent plus qu'à cinq mètres ils braquèrent leurs armes sur nous. Je laissai ma main sur mon pistolet, ne dégainant pas. De toute façon, même s'ils auraient voulu tirer, ils n'en auraient pas eu le temps.

"Bougez pas! Toi la blonde, écarte ta main de cette arme! [...] *Les deux individus avaient l'air stressés, et peu habitués à sortir ce genre de phrases* S'il y en a un seul qui bouge, je n'hésiterais pas à le descendre, c'est bien compris? Personne ne désire votre présence ici!"
- *Je pris un air blasé, et tout en fumant la pipe, répondit aux deux énergumènes.* Et que nous vaut l'honneur de se faire braquer ainsi? Vous êtes qui pour accoster des gens comme ça, en plein désert? Des bandits? Ou simplement deux fous à lier?"

L'un des deux, énervé par ma provocation alors qu'il se sentait en position de force laissa partir un coup. Ce coup signait son arrêt de mort. J'esquivai la balle avec une aisance déconcertante, sortit mon pistolet, et tirai en pleine tête de celui qui m'avait attaqué. Touché, il poussa un cri de douleur et s'écroula sur le sol, raide mort. L'autre, effrayé par une telle vitesse, n'osa pas tirer. Son arme n'était plus braquée sur nous et il me regardait en tremblant. Je poussa un long soupir, inspirai un peu de fumée.

"Bien. Maintenant tu vas nous dire qui tu es, et pourquoi avec ton copain vous nous avez braqué comme ça. Bien évidemment, je suppose que tu sais que tu n'as pas le choix si tu ne veux pas finir comme lui *fis en pointant du pouce le cadavre de son compagnon.*
-En... Entendu... Je vais tout vous raconter... En réalité, je suis un des villageois qui avait été envoyé à la rencontre du colosse. Je m'y connais en armes, en arts martieux, et était réputé comme étant un des meilleurs combattants du village, on m'appelait "Youma l'invincible"... Je pensais pouvoir faire face au colosse, mais..."

Deux mois plus tôt

Youma était parti tôt le matin, avec un sac à dos rempli de provisions, de munitions et d'armes en tout genre. Il pensait être paré pour se débarrasser du colosse qui tuait tant de villageois. C'était plein de confiance qu'il y avait été. Cependant, tout ne s'était pas passé comme prévu: au bout de deux jours passés dans le désert sans le moindre signe de vie, il finit par rencontrer ce fameux colosse, constatant alors sa nature: un cyborg. Le cyborg justement, remarquant qu'il portait les mêmes vêtements que ceux que portent les villageois, l'avait directement attaqué. Youmase rendit alors vite compte qu'il était beaucoup trop faible pour lui tenir tête, et que même une armée entière ne suffirait pas à le terrasser. Il avait toutefois réussi à éviter ses attaques, et, épuisé d'avoir fourni tant d'efforts, de désespoir, s'était rendu au monstre. Mais celui-ci ne l'entendit pas de cette oreille, et engagea la conversation, demandant à Youma s'il était au courant de ce qui se cachait dans le désert. Celui-ci répondit que non, que tout ce qu'il savait était que ce colosse tuait les villageois pour une raison inconnue. Le détecteur de mensonges greffé dans la boite crânienne du cyborg ne tilta pas; il disait la vérité. Ce fut après une longue explication du cyborg que Youma repartit avec lui...

***

J'avais lié les poings de Youmaet détruit son arme pendant qu'il contait à moi et Firiadel sa rencontre avec le cyborg. Toutefois, il ne raconta pas sa conversation, et ne fit que la survoler. Une fois attaché, je braquai mon flingue sur sa tempe et l'ordonna de m'emmener dans la cachette du cyborg. Il s'exécuta, sachant que s'il refusait je l'exécuterais sans aucune sommation. Les raisons de faire ce que faisait ce cyborg m'étaient de plus en plus floues. Ils prenaient desvillageois sous son aile? C'était totalement absurde. Son objectif n'était surement pas de tuer les villageois "pour le plaisir" si l'on pouvait employer ce genre de termes pour un cyborg. Alors pourquoi? m'avait-il menti?

"Youma? Je suppose qu'il s'est passé la même chose pour ton ami que je viens d'exécuter, non? Cependant, il y a quelques choses sur lesquelles tu es resté beaucoup trop vague. Le cyborg t'as expliqué pourquoi il faisait ça?
-... Oui... En réalité, les fous, dans cette histoire, ce sont les villageois... Vous connaissez Kuja? Un génocide a eu lieu sur une planète lointaine, Celestia... Les dieux ont quasiment tous été exterminés. Jusqu'à il y a encore peu de temps, je pensais que ce n'était qu'une légende, mais des scientifiques auraient créé une arme pour contrecarrer les plans ce Kuja -qui est aujourd'hui apparemment décédé. Seulement, même si cette histoire s'était répandue aux alentours du désert, personne ne savait ou se trouvait cette arme, ni même si elle existait réellement. Jusqu'à il y a deux ans... Un dieu, mortellement blessé, s'était refugié sur Ginyu. Sa planète s'était écrasée juste à côté de notre village. Ce dieu... Etait au courant de l'emplacement de l'arme. Le dieu, avant de mourir, révéla au chef du village et ses proches l'emplacement de cette arme et leur fit promettre de l'utiliser pour tuer Kuja avant de succomber. Mais le chef du village, au lieu de ça, n'y voit que son profit personne: il veut s'emparer de cette arme pour contrôler le monde, et même l'univers. Le colosse, ainsi que deux gardiens moins puissants que lui, protègent l'arme. Et il m'a proposé de l'aider...
-*J'avais attentivement écouté le récit de Youma: son histoire était crédible, certes, mais était-ce la vérité?* Et qu'est-ce qui t'amènes à croire ce cyborg? Et pourquoi ce cyborg protège-t-il cette arme, pour le "bien de l'humanité"? Ca ne tiens pas debout ton histoire...
-Je l'ai vu. l'arme. Elle n'est pas encore très puissante, mais elle a un potentiel monstrueux. Et, honnêtement, je ne sais pas si je dois croire ce cyborg ou non... Mais s'il y a une chose dont je suis sur, c'est que le chef du village est le pire chef qu'on ait connu depuis longtemps, et que, cette arme entre les mains, il serait bien capable de mettre Ginyu à feu et à sang. Ce n'est pas ce que je veux."

En supposant que toute cette histoire était vraie, et après tout, ce n'était pas si difficile à avaler, une question subsistait: pourquoi? Pourquoi ce cyborg protégeait-il cette arme? Etait-il tout simplement programmé pour? Mais aussi, d'où venait-il? Tant de questions auxquelles je finirait par rapidement trouver mes réponses, une fois face à l'arme... Et face au colosse. Après environ trois heures de marches, nous arrivâmes enfin à destination: Youma nous fit entrer dans un passage secret menant à iun laboratoire souterrain. Il avait l'air de plus en plus stressé: si le colosse arrivait et le voyait amener des inconnus jusqu'à l'arme, il l'exécuterait sur le champ. Il nous fit passer par plusieurs salles, puis nous arrivâmes enfin face à la porte derrière laquelle se trouvait l'arme: Youma déglutit. J'étais impatiente, j'allais enfin voir à quoi ressemblait cette arme. Par un procédé spécial, notre prisonnier ouvrit la porte: j'y entrais, découvrant la nature de cette arme: une femme. Cette femme était donc la fameuse arme? Elle était enfermé dans un tube rempli d'un liquide, et semblait profondément endormie.

"Moi aussi, j'ai été surpris en découvrant la nature de cette arme. Mais ne vous fiez pas aux apparences: c'est un cyborg, une arme créée pour obéir. Ceux qui l'ont créées ont laissé dans le laboratoire quelques notes sur elle: son nom est Youki, et sa force, bien que peu imposante maintenant, pourrait prendre de grandes proportions. Si le chef du village tombait dessus, ce serait la fin..."

Youma restait devant Youki, la contemplant. Je me retournai alors pour voir si personne n'était arrivé: surprise. Le colosse nous regarderait de ses yeux vides. Je poussai un juron. Je ne l'avais pas senti arriver, faute de dégager du ki. Un canon sortit alors du corps du cyborg: la même attaque que la dernière fois. Il allait aussi tuer Youki et Youma, qu'il protégeait et avait pris sous son aile? Je ne le laisserais pas faire. Je détruisis le tube qui contenait Youki, m'empara de cette "arme" et eut juste le temps de crier:

"Firiadel! La puissance de son attaque va faire exploser le laboratoire, nous devons vite nous enfuir!"

Puis le cyborg déclencha son attaque. Je réussis à m'enfuir, toujours en prenant Youki, et à me réfugier dans le désert. de l'endroit ou j'étais, je vis alors l'énorme explosion créée par l'attaque: un champignon se créa au-dessus de laboratoire -qui était de toute façon désormais en miettes. je me réfugiait derrière un rocher et masquai ma puissance -il avait certainement un détecteur integré- et me donnai le temps de reprendre mes esprits. Tout s'était passé extrêmement vite, et j'avais perdu firiadel de vue. Je posai Youki à côté de moi. J'allumai ma pipe rapidement, et tirai une première bouffée. Je me sentais déjà mieux. Je repris tranquillement mon souffle: le cyborg ne nous avait pas encore trouvé, et je profitai du peu de répit que j'avais. Je tournai ma tête vers Youki, et pris une autre bouffée de ma pipe.

"Youki, c'est ça? Tu peux te réveiller? Merde, ce cyborg allait tous nous détruire... Et je ne sais pas ou est passé Firiadel... Bon, en premier lieu il va falloir s'occuper de ce colosse, Firiadel n'est pas de taille pour s'en occuper, et s'il se trouve face à lui, ça risque de mal tourner..."

Le colosse se trouvait désormais sur les débris du laboratoire. Son attaque avait tué Youma sur le coup, cependant, il ne savait pas ou se trouvait l'arme et les deux inconnus. Il n'avait plus le choix désormais: maintenant que Youki était libérée, pour ne pas qu'elle tombe entre de mauvaises mains, il lui fallait l'éliminer. Et pour s'assurer que le village ne verrait pas cette arme, il ordonna à ses deux gardiens -avec lesquels il était toujours en contact- d'aller exterminer tous les villageois. La véritable bataille venait d'être lancée...

Date d'inscription : 18/08/2011

Durant le temps où ils s'étaient séparés des autres, Firiadel ressentait une grande inquiétude envers sa partenaire... elle semblait plus que perplexe, hormis le fait qu'elle était totalement perdue, et il l'était aussi car il n'avait pas fait lui même attention à la route qu'ils avaient empruntés. Une ambiance certaine semblait peser sur ce désert...si un dieu existait sur cette planète,celui-ci n'était pas bien heureux de leur venue... Le vent soufflait dangereusement à l'encontre de leurs destination... Firiadel marcha tout de même aux cotés Hyaku et acquiesçait à ses moindres réflexions, qui étaient juste tout de même dans le fond. Si toute fois il pensait que c'était plus que dangereux de se laisser tenter à la facilité, d'un autre coté cela ne pouvait pas être pire, il était au cotés d'une puissance qui lui semblait plus gigantesque, il n'avait donc rien à craindre d'une simple machine. Il s'était permit de parler un peu de lui pendant la marche, même si elle ne semblait pas écouter.

-Tu sais, j'ai fais un vœu ,celui de renier à la puissance, si tu as rencontré un Oblivien comme moi,tu devrais remarquer qu'ils sont extrêmement fort,ce sont nos gènes qui le veulent... Moi j'ai voulu le refuser... Parce que...Cette violence nous à coûté trop cher à tous. Mais je suis partagé entre battre le feu par le feu, et devenir une cible vivante pour marquer les esprits. Malheureusement je pense qu'inévitablement je vais devoir renoncer à mon voeu... Pour moi, pour nous tous...pour elle.

Firiadel venait de faire sa première allusion à Lylia en face d'Hyaku.

-Si tu me demandes qui c'est...c'est Lylia... Une oblivienne magnifique, rousse, avec un rire qui vous allège le cœur de tous les maux. Mais aujourd'hui, elle n'est plus que les bribes d'un souvenir trop frappés et trop violentés pour qu'il puisse y subsister ne serais-ce qu'une vérité entière d'elle. Elle est morte, en chassant... L'animal, l'a empalé par surprise, sa défense a touché le cœur...quand je suis arrivé,elle ne lui restait que quelques secondes avant sa fin. Elle m'as demandé de vivre ma vie, et de continuer à vivre simplement, et d'être heureux, en quelque sorte, que maintenant notre histoire est finie, mais que moi je devrais continuer...C'est presque injuste, dans un sens, et complètement crétin de ma part car malgré les larmes que j'ai eue, je l'ai écouté, et c'est pour ça qu'au bout de vingt années ou je me suis réfugié dans ma peine, je me suis décidé à voir le monde tel qu'il était ,un peu le monde qui avait tué celle que j'aimais. Mais c'était le monde qui m'avais donné ma chance, et c'est ce que Lylia aurait voulu je pense...ouaip, c'est ce qu'elle aurait voulu.

Son visage c'était aggravé petit à petit et au fur et à mesure qu'il parlait. Quand il s'en est enfin rendu compte, il secoua la tête, eut un rire très léger et dit rapidement

-C'est la vie, c'est la vie. Et maintenant on s'retrouve à chasser de la ferraille, construction de l'homme, la belle affaire.

Il redressa la tête, afficha un grand sourire et continua sa route d'un meilleur pied.

La suite est que Firiadel et Hyaku c'étaient retrouvé face à deux hommes armés, Hyaku en à descendu un qui était trop nerveux. "L'invincible" nous à raconté son histoire. Ensuite elle lui avait posé une question, mais quelque chose trottait dans la tête de Firiadel pendant qu'il répondait. Il n'a pas fait mention de la discussion, ou même son inexplicable survie face à cette machine de guerre. Certes,il semblait protéger quelque chose, mais même, si ça à une telle importance, alors pourquoi lui et pas les autres...quelque chose n'était pas logique... Firiadel était presque sur qu'il n'était pas totalement franc avec eux, et qu'ils allaient se diriger droit dans un piège...Mais Hyaku semblait sûre d'elle et avançait vers un endroit plus que ...malsain. Cet endroit était un laboratoire de recherche, pour une arme soi-disant. L'homme semblait de plus en plus stressé,Firiadel ne manqua pas de garder constamment un œil sur lui, au-cas où il décide de sonner l'alarme ou quoi que ce soit. Une fois arrivés à destination, ils tombèrent nez-à-nez face à cette arme, Firiadel ne pu s’empêcher de dire.

-Une femme?...

Cette femme était magnifique à regarder, d'une pure beauté...mais pourquoi une arme...elle semblait totalement endormi, puis il se retourna...

Une masse immonde se tenait en face de lui, le cyborg dans toute sa colère irrationnelle.

-Firiadel! La puissance de son attaque va faire exploser le laboratoire, nous devons vite nous enfuir!"

Firiadel fut surpris par le cri,et voyait le cyborg déclencher son attaque. Il détala moins vite que les autres et s'entrava dans sa course. L'explosion ne s'était pas faite attendre. Firadel se retrouva catapulté plus loin et roula sur 300 mètres sur le sable avant de rencontrer un rocher qui lui à stoppé la route.

A moitié sonna il se releva, il était toujours humain,ce qui veut dire qu'il n'a pas perdu conscience. Il avança tant bien que mal pour se mettre à couvert. Mais il heurta de nouveau un rocher et tomba face contre le sable. Il se releva plus péniblement. Il se retourna et la... le cyborg marchait vers lui.

Firiadel pris de panique courra en direction d'un massif de rocher et s'y plongea dedans et rampa entre eux. Il devait survivre le temps qu'Hyaku le trouve et lui refasse les circuits façon tartare. Il s'avança en s'appuyant avec les coudes et sur la pointes des pieds pour pas qu'il l'entende. Et après s'être débattu. Il n'entendais rien et décida de ne plus bouger.

*Il a du partir... *

Quand soudainement,le gros rocher qui cachait Firiadel se souleva,laissant place au cyborg.

-J'ai un détecteur, tu ne peux pas te cacher...

Le cyborg tendis la main, comme pour déclencher une attaque de ki envers lui. Mais au dernier moment,Firiadel donna un grand coup de pied dans la main,ce qui eu pour effet de dévier le tir et explosa a coté. Firiadel se releva à nouveau sauta à la figure de ce monstre et lui donna un coup de poing des plus puissants qu'il avait en réserve. La réaction ne se fit pas attendre. Le cyborg, qui n'avait rien senti, attrapa la jambe de Firiadel et l'envoya valser plus loin. L’atterrissage fut forcé mais chanceux, il avait manqué de taper sa nuque sur le massif, et il était atterrit sur le sable créant tout un soulèvement de particules granuleuses autour de lui..

Ayant encore assez de force, il s'était relevé et décida de lui faire face. Vu qu'il n'y avait aucune possibilité de lui échapper. Le brouillard de sable se dissipa, laissant apparaître le cyborg.

-Tu m'as l'air coriace mon grand... Je ne sais pas ce qu...

-Es-tu programmé?

-Qu...Quoi?

Firiadel ne s’attendait pas à une discussion face à ce cyborg...il prit un temps de réflexion et annonça

-Mes parents m'ont programmés, mais pas avec des machines, avec de l'amour. Mais tout ce qui nous entoure est programmé. La seule différence avec toi par exemple, c'est que cette programmation n'as pas de limite...ce qu'on appelle la vie. Ton intelligence m'intrigue pour autant... Mais une chose que ton programme n'a pas en stock, c'est pouvoir appréhender...CELA!!

Firiadel tendit la main brusquement pour envoyer un rayon de ki dans la tête du cyborg. Ce dernier recula légèrement d'un petit pas. Le visage du cyborg vira à la colère... Le canon sorti de sa poitrine. Firiadel,se savait pas quoi faire, il était complètement à sa merci...le canon se chargea lentement...Firiadel serra les poings forts. L'attaque se déclencha, Firiadel hurla et esquiva in extremis l'attaque en sautant sur sa gauche, malheureusement il n'avait pas vu ou il avait sauté et sa tête frappa contre un rocher. Firadel était complément sonné et sans défenses.

Date d'inscription : 26/08/2010

Les yeux de Youki s'ouvrirent lentement. Elle était réveillée, et opérationnelle. Je me levai. Elle fit de même. Son visage n'affichait aucune émotion, son corps, rigide, ne dégageait aucune sensualité malgré sa plastique généreuse. Cela se voyait au premier coup d'oeil: cette Youki était une machine, une arme démunie d'une quelconque notion de sentiments, à la conscience atrophiée. Elle n'avait d'humaine que l'apparence, un simple costume. Je n'ue pas de mal à me faire à cette idée, et ne me pris pas au piège; c'était une machine, point. J'avais rencontré assez de personnes humaines attachantes dans ma vie pour ne pas m'attacher à un vulgaire bout de ferraile, et n'aurais aucun scrupule à l'utiliser comme tel. Youki était désormais à mes ordres, et me serait surement d'une grande aide face au colosse. Mais avant d'aller le dénicher, il fallait tout d'abord retrouver Firiadel. Je commençai à m'inquiéter pour lui: depuis notre première rencontre, il me donnait l'impression de ne pas savoir ou il allait, m'accompagnant dans des aventures peu glorieuses. Malgré le fait qu'il avait le double de mon âge, l'image que j'avais de lui était celle d'un petit bonhomme qui voyageait au gré du vent, sans se soucier du danger. Cela ne me déplaisait pas, et il était de très bonne compagnie. Malheureusement, la puissance lui faisait défaut, et il risquait de se faire tuer par le cyborg s'il le croisait. Je crois que, au fond de moi, je me sentais coupable de l'avoir embarqué dans mes histoires sordides. S'il lui arrivait malheur, nulle doute que la culpabilité s'abattrait sur moi. Je me concentrai: la puissance Firiadel... Faible, mais pas assez pour que je ne puisse pas la répérer. Il se trouvait à un ou deux kilomètres d'ici, et sa puissance avait fortement diminué. Il s'était surement fait attaquer par le cyborg. je fis signe à Youki de me suivre, et me précipitai dans sa direction.

La chance semblait être de mon côté: quand j'arrivis enfin, Firiadel était contre un rocher, et avait l'air sonné. Le cyborg s'approcha, et tendis sa main vers lui. Doigts dépliés et écartés, un canon sortit de sa paume. J'étais vraiment arrivé juste à temps. Au moment ou le colosse allait en finir avec mon acolyte, je sautai sur le cyborg et lui décochai un coup de pied en plein visage qui le fit reculer de quelques mètres. Je me posai à côté de Firiadel, et commençai à lui secouer la tête.

Hé! Ho! Firiadel, tu m'entends? *Pendant ce temps, le cyborg, qui n'avait pas été réellement blessé par mon coup, commença à s'approcher, préparant la riposte.* Merde... Youki, retiens-le, dépêche! *Youki se jeta alors sur le cyborg et commença à l'attaquer, gardant toujours cet air impassible et inhumain.* Firiadel, je vais m'occuper du cyborg. J'ai réveillé l'arme, mais elle na tiendra pas, ça saute aux yeux. Mais moi, je saurais le mater. Je vais pas te dire d'aller te trouver, une cachette, après tout, tu fais ce que tu veux... Mais bon sang, évite de se trouver dans sa ligne de mire, il ne ferait qu'une bouchée de toi!"

Les attaques de Youki était droites, raides, précises et coordonnées. Chaque mouvement semblait être le fruit d'un énorme calcul et elle réussissait à déstabiliser le cyborg. Aucun doute, elle était conçue pour le combat. Cependant, elle ne tiendrait pas longtemps. Si le colosse était un peu plus désordonné, ses attaques étaient plus puissantes mais aussi, et ce malgré sa corpulence, plus vives. Ainsi, après avoir encaissé un léger coup de pied en pleine poitrine, le cyborg riposta d'un violent coup de poing qui envoya valser youki contre un rocher. Il suffisait. C'était à mon tour désormais. Youki se releva rapidement, prête pour la contre-attaque. Malgré l'impressionnant coup qu'elle avait reçu, elle n'affichait toujours aucune émotion. Dans ce sens-là, elle était effrayante. Le colosse sortit à nouveau son maintenant bien connu "canon de la poitrine" et s'apprêtait à tirer. Il était temps de lui ôter ce joujou auquel il semblait tenir. Je me précipitai sur l'adversaire et concentra du ki au bout de ma main gauche. Ce fut alors une longue lame et tranchante lame de ki qui se forma, et je vins me placer sur le torse du cyborg. De ma main droite, je saisis le canon, puis abattit ma main gauche dessus. Le canon fut tranché net. Le colosse poussa un cri, et recula, tandis que, tenant le bout du canon coupé de la main droite, je me retirai aussi et vint me poser quelques mètres plus loin. Je venais déjà d'enlever à mon ennemi ce qui devait être un de ses meilleurs atouts. La victoire n'était plus qu'une question de temps. Alors que j'allais sortir mon pistolet pour lui tirer dessus, je sentis une vive douleur me traverser le corps. Je m'écroulai au sol en poussant un léger cri, surprise. Le cyborg n'avait pas bougé. Je me retournai: Youkise tenait alors derrière moi, et sa main droite, encore fumante d'une boule de ki, était tendue devant elle. Je poussa un juron et me relevait. Le cyborg ne bougeait toujours pas.

"Merde... J'aurais du m'en douter... Tu as piraté les fonctions de Youki quand elle était encore endormie, hein? Vicelard, va... Tu lui donnes des ordres via des ondes ou une connerie du genre, je suppose? Mais pourquoi ne l'as-tu pas fait plus tôt, quand je lui ai ordonnée de t'attaquer?
-Je ne... Veux plus voir des personnes contrôlées... Par d'autres... Alors je ne l'ai utilisée que... Qu'en dernier recours...*Le cyborg n'avait pas bougé d'un pouce, et son visage était resté le même tout durant qu'il parlait. Youki non plus ne cillait pas.*[b]
-Eh bien, mon bon tas de ferraille, puisque tu n'as pas l'air fermé à la discussion... [b]Je rallumai ma pipe, et tirait une bouffée. Qui t'as programmé pour que tu protéges Youki?
-Quand on... Est utilisé comme une arme de destruction massive... Mais qu'on n'a pas de conscience... On ne ressent rien... Mais c'est quand des scientifiques se prenant pour des génies vous... Vous greffent une conscience que l'on se rend compte... De tout ce qu'on a fait... Quand on m'a donné une conscience, soi-disant pour m'améliorer... Je n'ai plus supporté les ordres de mes créateurs... Je ne... Je n'étais pas d'accord avec... Eux et leur façon de pensée... Alors je me suis enfui... J'ai voyagé de planètes... En planètes... Et je suis finalement arrivé ici, et j'ai... Découvert Youki... Elle aussi... une arme de destruction massive... Le jour ou on la découvrira... On cherchera à l'améliorer, et si on lui greffait une conscience... Après lui avoir ordonné d'organiser des... massacres?
-C'est donc qu'on t'a greffé une conscience? Je t'avoue qu'un robot qui épreuve des sentiments, cela me fait bizarre. Au lieu de l'avoir détruite, ce qui m'aurait paru la meilleure décision, tu as quand même décidé de la protéger. Tu te serais attaché à elle? Identifié? Mais au final, tu as plus de liens avec elle qu'avec une photocopieuse. Je crois qu'il est temps que tu te retires, mon vieux, et il est aussi temps que Youki quitte ce monde.
-*Le robot sortit un canon de sa paume et me tirai dessus. j'esquivai de justesse.* Je vais... Te tuer pour... Continuer à protéger Youki...
-Ha! Je ne saurais dire si ce que tu dis sont les paroles d'un robot qui s'est auto-programmé ou tout simplement d'un humain qui s'obstine..."

Le colosse fonça alors dans ma direction. En parallèle, il contrôlait aussi Youki, qui se ruait alors aussi sur moi. Avec deux adversaires en face de moi, le combat n'allait pas être simple. J'esquivai le premier coup du cyborg, puis un coup de pied de Youki. Heureusement, les deux adversaires étaient moins forts que moi, même réunis. Je ripostai: tout d'abord, je créai un immense mur de flamme en soufflant sur les cendres de ma pipe entre mes deux opposants. Vu toute l'énergie que j'y avais mise, le mur de flammes empêcherait mes adversaires de le traverser, et ils seraient obligés de le contourner. Cette action leur laissait juste le temps pour moi d'en détruire déjà un. Ma cible fut Youki. Je fonçai sur elle et lui donna un énorme coup de poing en pleine figure.Un deuxième, puis un troisième. Sa peau commençaient à s'effriter, laissant découvrir des circuits électroniques. Je sortis alors mon pistolet et tirai sur la cyborg. Youki fut projeté en arrière, l'oeil éxplosé, faisant jaillir des milliers d'étincelles. Cependant, elle se reprit vite. La tête n'étais pas son point faible. Pendant ce temps, le colosse avait contourné le mur de flammes et se précipitait vers moi. J'esquivai un coup de poing et ripostai par trois balles en pleine tête. Ce fut à peine si le colosse eut l'air de les sentir passer. Il me lanca un autre coup de poing. J'esquivai à nouveau sans trop de difficultés. Toutefois, je ne pouvais pas continuer ainsi indéfiniment: mes deux adversaires ne ressentaient pas la fatigue, et je risquais de m'essouffler si l'affrontement s'éternisait. Je décidai de prendre véritablement les choses en main et de détruire mes ennemis au prochain coup. Je me reculai d'une centaine de mètres en une fraction de seconde, sortis mon pistolet, et le transforma en un gigantesque canon. Ma technique préférée. je commençai désormais à avoir l'habitude de l'utiliser, et c'était sans aucun doute l'attaque la plus expéditive que je maîtrisais. Les deux cyborg, côtes à côtes, se ruaient sur moi. Mais, quand mon pistolet est transformé en un fort et puissant canon, rien ne peut l'arrêter. Rien ne peut arrêter l'immense obus qu'il envoie. Et surtout, rien ne peut y résister. Je tirai. Il y eut une énorme explosion qui retentit à travers tout le désert. Le bruit assourdissant, toute la poussière que cela dégageait... Cette technique me plaisait vraiment. Et ainsi, mes deux ennemis étaient définitivement hors d'état de nuire. Mon pistolet redevint normal, et je le remis à sa place. Je me retournai, essayant de capter l'aura de Firiadel pour le retrouver, puis en finir avec cette mission. Ce fut alors qu'une énorme douleur m'envahit. J'eus l'image, en me retournant, du colosse, plus abîmé que jamais, désormais manchot et extrêmement affaibli, tenant la carcasse de Youki dans sa main. Le colosse voulait me dire quelque chose, mais je ne l'entendis pas. L'attaque surprise qu'il m'avais porté me fit perdre très vite connaissance. Je sentis alors le colosse se diriger vers l'aura de Firiadel, puis, plus rien.

Date d'inscription : 18/08/2011

Firiadel retrouva peu à peu connaissance, il avait mit du temps a se réveiller, mais il se mit sur ses quatre pattes (quand il est inconscient il retrouve sa forme normale) quand il a entendu un bruit lourd et assourdissant. Il se secoua la tête et se transforma en humain a nouveau. Il prit un grand bol d'air et se tiens les côtes, sa poitrine lui faisait mal,très mal. C'est alors qui siffla un air... Une aura bleue et calme se posa tout autour de Firiadel, le régénérant petit à petit, puis il recouvra toute sa force. C'est avec stupeur qui découvrit le cyborg au loin, encore en vie, tenant l'androïde dans sa main et qui de plus, se dirigeait vers lui. Il semblait plus qu'amoché, il lui manquait même un bras. Firiadel se concentra,il n'avait droit qu'à un coup...

*La technique que j'ai apprise, cette technique qui me viens du cœur... Je l'ai déjà utilisée auparavant...Je peux le faire...Je dois juste me concentrer...et penser a elle...*

Ce n'était plus qu'une question de temps, Il posa ses deux jambes bien parallèlement puis ferma les yeux....La dent en pendentif se mit a étinceler étrangement, et puis de plus en plus fort afin de devenir un soleil, le soleil de l'âme qu'il a perdu avec celle qu'il aimait. Cette flamme de ce soleil viendrais a bout de ce monstre, il devait le faire, il est le dernier debout....Il doit le faire. Une aura bleue et jaune tournais tout autour de Firiadel, faisant lever le sable tout autour de lui, créant une sorte de mini-tornade qui tournait de plus en plus vite. Puis il ouvrit les yeux, il avait un œil jaune et un œil bleu....il allait détruire ce monstre, coûte que coûte. Le Cyborg senti ce qu'il allait préparer, il jeta alors l'androïde au sol plus loin et tendis sa main, chargée d’énergie il allait tirer un rayon, et c'est ce qu'il fit.

C'est alors que le temps semblait s'arrêter pour Firiadel, il sentait que le vent lui donnait l’énergie nécessaire pour cette technique, et qu'il li murmurait comment ils s'aiment, lui et Lylia...Une larme coula et il ouvrit grand sa bouche.

*Pour Lylia...*

Le sable s'arrêta de tourner un instant, le monde s'arrêta l'espace d'un seul instant, L'univers entier était en pause pendant cet instant dans l'esprit de Firidel. Il n'existait plus que son esprit parmi tout les êtres vivants qui existent, qui ont existé ou qui existeront. La larme tomba sur le pendentif qui brilla tel le soleil qu'il est devenu,d'un bleu intense. Le Lylia's Call...

C'est ainsi que l'univers reparti comme a son habitude, l'attaque de Firiadel c'était élancée, un magnifique rayon d'espoir sorti de la bouche de Firiadel, un énorme rayon d'espoir,tellement blanc et brillant qu'on ne pouvait même pas mesurer la taille de cette attaque. De la poussière d'étoile s'échappait de ce rayon, des rires d'enfants, des prières, des chants, des pensées et de l'espoir en débordait tout autant. L'attaque annihila le rayon du cyborg détruisit ce dernier par la même occasion, le rayon continua sa route vers l'univers, ou il se désagrégerais naturellement.

Tout, tout avait changé, le sable semblait magnifique, le ciel semblait coloré comme celui d'un dessin d'enfant, tout avait changé pour Firiadel après l'attaque. Il chercha de l’œil l'androïde, elle ne fut que projetée plus loin, mais aucun signe vital du cyborg. Firiadel se mit a genoux, il redevint Oblivien et se traîna lentement vers Hyaku. Il voyait difficilement et il tremblait,il n'avait plus d’énergie, il lui en restait juste un peu pour se diriger vers Hyaku, il marchait difficilement, se vautra dans le sable, mais se releva, il lui restait que 20 mètres avant de l'atteindre. Et puis a force, il finit par voir son visage, un sourire se dessina sur la gueule de Firiadel, il tomba raide ,la tête sur le ventre d'Hyaku...il ne pouvait plus bouger, ni même siffler l'air....il voulait juste...dormir.

*J'ai...réussi.*

C'est alors qu'il sombra dans le monde des rêves et il vit Lylia, il la vit encore et encore comme toutes ses années, il n'avait qu'une obsession c'était elle, elle et encore et toujours elle. Cela n'allait donc jamais finir ? Cela allait t-il enfin avoir une fin, une bonne fois pour toute. Pour la première fois en toutes ses années il était rempli de rage contre Lylia, il semblait hurler dans son rêve, il semblait dire de l'abandonner, de le lâcher une bonne fois pour toute, qu'il ne voulait plus jamais la revoir. Mais finalement il tomba au sol, et pleura, lentement. Il était tourmenté par celle qu'il aimait, par Lylia. Il voulait que ça s'arrête, il était presque prêt a se sacrifier quand il entendit la voix de Lylia lui dire qu'elle ne l'avait jamais abandonné, et qu'elle l’avait toujours aimé. Firiadel était resté silencieux... il ne pouvait plus rien dire et restait paralysé. Mais avant de pouvoir engager la conversation, il sentait qu'il revenait au monde de la conscience, il entendit la voix de Lylia qui semblait crier, puis elle se transforma tout doucement...en une autre voix familière.

Date d'inscription : 03/12/2009

Hyaku : 260 lignes -> 26.000 xp - 13.000 Zénies.

Firiadel : 141 lignes -> 14.100 xp - 7.050 Zénies.

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